j6test.cgtsocgen.org j6test.cgtsocgen.org
  • Se Connecter
  • S'inscrire
  • BookMe !
  • BookMe - Admin
  • Comité Social et Economique Central (CSEC)
Infos en bref du CSEC, session de travail - Juin 2025
Featured

Infos en bref du CSEC, session de travail - Juin 2025


Session du CSEC de Juin 2025

 Retrouvez cette informations en format PDF (10 pages - 1 Mo ) : ICI
(Rappel, 
avant de cliquer sur le lien, vous devez être connecté au site, pour avoir accès au fichier PDF)
infosbrefavril

SOMMAIRE

  • COMMISSION ECONOMIQUE

PROJET ÉDITIQUE : RATIONALISATION DÉGUISÉE OU VRAIE AMELIORATION ?. 2

TOP PERFORMERS : LA RECONNAISSANCE FINANCIÈRE DISCRÉTIONNAIRE ET A DURÉE LIMITÉE. 2

MAP ET OBJECTIF ANNUELS AU QUADRIMESTRE. 3

DRESS CODE ? AU VESTIAIRE ! 3

SIGNATURE ELECTRONIQUE MARCHÉ ENTREPRISE INDISPONIBLE. 3

FRONTALISATION EN TEST : LES GRC VERS ENCORE PLUS DE SURCHARGE. 4

TRANSFERT D'ACTIVITÉS DES CAUTIONS PRI VERS LES CDS FPE PRO.. 4

DÉPLACEMENTS PRO, FRAIS PERSO : NOS VÉHICULES PERSONNELS NE SONT PAS DES VÉHICULES DE SERVICE. 4

DÉLAI DE REMBOURSEMENT CRÉDIT LOGEMENT. 5

ENTRÉE EN RELATION À DISTANCE : FAUT-IL QUE LES SALARIÉS CHANGENT DE NOM POUR PRODUIRE PLUS ?. 5

EER PROSPECTS CASH SERVICES. 5

OPÉRATION CONNEXION.. 6

 

  • COMMISSION EPQS

RÉSEAU : MISE EN PLACE DU VARIABLE OBJECTIVÉ. 6

NOTE EMILE NOEBES : SALARIÉS EN DIFFICULTÉ FINANCIERE. 6

CODE SG, MODIFICATION DES RÈGLES D’ENVOI D’INFORMATIONS PROFESSIONNELLES EN EXTERNE. 7

SERVICE SOCIAL DU TRAVAIL SG : POINT D'ÉTAPE. 8

  • COMMISSION SSCT

POINT D’INFORMATION SUR LES COMPORTEMENTS INAPPROPRIÉS  2024. 9

  • COMMISSIONS VACANCES

1%.. 9

  • COMMISSION VACANCES FAMILLES

BUDGET VACANCES FAMILLES. 9

STATISTIQUES ÉTÉ. 10

PROCHAINES NOUVEAUTÉS. 10

NON RENOUVELLEMENT POTENTIEL DE CENTRES POUR L’ÉTÉ 26. 10

TOURISME SOCIAL. 10

TRANSPORTS CORSE. 10

 

  • COMMISSION VACANCES ENFANTS

COLONIES ÉTÉ 2025. 10

COLONIES HIVER PRINTEMPS 2026. 10

 

 

 

PROJET ÉDITIQUE : RATIONALISATION DÉGUISÉE OU VRAIE AMÉLIORATION ?

Commission Economique

La Direction, par la voix de Christine TILLIEZ (DRH/DOP) et Gilles HUBSCHWERLIN (DOP/FPE), est venue présenter le projet de transfert de l’activité éditique PRO, aujourd’hui assurée par 15 personnes chez SOGEPRO, vers les CDS spécialisés dans les crédits professionnels. À l’horizon 2026, cinq CDS (Montpellier, Rennes, Stade de France, Strasbourg et Lille) auront en charge l’édition de l’ensemble des contrats PRO, soit une activité estimée à 20 000 contrats annuels, dont 3 000 avec garanties complexes et 3 000 dits « tiers ».

Sous couvert d’une recherche de fluidité, de lisibilité du processus pour les équipes commerciales et d’un lien renforcé entre front et back, la Direction engage une transformation majeure de l’organisation de cette activité. Ce projet, structuré en trois grandes vagues s’étalant sur toute l’année 2026, s’accompagnerait de la création de 18 postes budgétaires de chargés de financement répartis entre les différents CDS concernés. Si ces créations peuvent, de prime abord, sembler positives, la CGT reste extrêmement vigilante sur plusieurs points.

Tout d’abord, l’ambition affichée de proximité et de réactivité ne peut pas masquer l’insuffisance des moyens mis en face de la charge réelle. Chez SOGEPRO, les collaborateurs étaient entièrement dédiés à cette activité, tandis que dans les CDS, les chargés de financement cumulent déjà plusieurs missions (prise de garanties, gestion des crédits, événements sur prêts, cautions…). Autrement dit, l’éditique viendra s’ajouter à des tâches existantes. Sans redimensionnement clair des effectifs, le risque est grand de voir les conditions de travail se dégrader, voire la qualité du service rendu s’affaiblir.

À ce jour, la Direction n’a pas encore été en mesure de fournir une ventilation précise de l’activité par région. Cette donnée est pourtant essentielle pour évaluer l’adéquation entre la charge prévisionnelle et les effectifs projetés. La CGT a demandé cette répartition afin d’objectiver la pertinence des créations de postes annoncées. Nous attendons un retour chiffré et transparent.

Par ailleurs, des zones d’ombre subsistent sur les outils qui seront utilisés dans les CDS. La Direction évoque GARANCE comme solution probable, sans trancher. Une incertitude technique à ce stade du projet est pour le moins inquiétante. Il est impératif que les équipes soient dotées d’outils adaptés, performants, et que les formations soient anticipées, complètes et accompagnées dans la durée.

Enfin, la CGT s’interroge sur le sort des salariés actuellement en poste chez SOGEPRO. Des promesses ont été formulées concernant leur accompagnement, mais les garanties concrètes font encore défaut. La vigilance s’impose pour qu’aucun salarié ne soit laissé sur le bord du chemin.

Ce projet, bien qu’il affiche une dynamique de réorganisation « gagnant-gagnant » sur le papier, ne saurait se faire au détriment des conditions de travail, ni masquer une logique de rationalisation qui ne dit pas son nom. La CGT continuera de porter une exigence de clarté, de moyens à la hauteur des ambitions, et de respect des droits des salariés concernés, actuels comme futurs.

TOP PERFORMERS : LA RECONNAISSANCE FINANCIÈRE DISCRÉTIONNAIRE ET A DURÉE LIMITÉE

Commission Economique

La CGT a interpellé la direction afin d’obtenir des éclaircissements sur les critères d’attribution des primes dites « top performeurs ». En réponse, la Direction nous informe avoir débloqué des enveloppes de primes exceptionnelles, sous prétexte de vouloir « encourager » et « récompenser » le bon démarrage de l’année commerciale.

Cette prime, nous dit-on, pourrait être versée de manière collective ou individuelle. Mais très vite, la Direction minimise la portée de ce dispositif : elle botte en touche, renvoyant la responsabilité aux régions, affirmant que cette prime restera discrétionnaire, non pérenne et sans garantie d’équité.

Et pendant ce temps, rien pour les autres salariés de SGRF hors agences, qui ont eux aussi, contribué de manière significative au redémarrage de l’activité. Quelle reconnaissance pour ces équipes invisibilisées ?

Nous dénonçons l'opacité totale autour de ces modalités d’attribution. Ce manque de transparence rend toute lisibilité impossible, et surtout, vide de sens toute notion d'équité et de reconnaissance collective du travail accompli.

Nous demandons que des critères clairs, objectifs et équitables soient définis et communiqués, pour que chaque salarié soit justement reconnu à la hauteur de son engagement.

MAP ET OBJECTIF ANNUELS AU QUADRIMESTRE

Commission Economique

La CGT est une nouvelle fois revenue sur les objectifs annuels du MAP qui ne sont pas encore clairement lisibles pour les équipes.

La Direction nous indique qu’en effet les objectifs annuels auraient déjà dû être visibles sur le MAP malheureusement un problème technique a empêché l’implémentation de la donnée dans les MAP.

Nous avons ajouté que ce manque de lisibilité sur l’avancée de la réalisation de la production sur l’année pouvait engendrer une démotivation.

La direction s’engage à passer les messages pour que l’information soit communiquée aux équipes pour plus de transparence et de lisibilité en attendant que l’outil permette cette lecture.

DRESS CODE ? AU VESTIAIRE !

Commission Economique

Suite à l’apparition sur ATLAS puis sur CANAL ANI d’une note sur les “Règles d’or de l’accueil physique en agence” et surtout les “repères” sur les tenues vestimentaires professionnelles avaient suscité pas mal de remous, la commission avait demandé de mettre ce point à l’ordre du jour.

La direction avait eu le temps de peaufiner ses éléments de langage, et c’est Nicolas ISIDORE (directeur des relations sociales SGRF) qui nous en a fait l’exposé, avec une conviction manifestement vacillante.

Le but est :

- d’améliorer la satisfaction client

- donner un outil pour les managers en difficultés pour gérer ce sujet de la tenue vestimentaire professionnelle.

Nicolas ISIDORE, spécialiste des argumentations audacieuses, nous a déployé une promotion de l’inclusion particulièrement inattendue : il y a un risque d’exclusion avec des choix vestimentaires discutables et en informer le collaborateur c’est pour son bien.

Il a bien souligné qu’il n’y avait “pas de volonté de contraindre”.

Le contraire n’est de toute façon pas autorisé par le Code du Travail et l’abondance des jugements en défaveur des employeurs qui s’y sont essayés ne fait que le confirmer.

S’il peut y avoir ponctuellement un sujet vestimentaire, la direction s’y prend très maladroitement, sans avoir pensé aux effets indésirables :

  • Surexposition en réunions d’équipes, ce qui peut rendre mal à l’aise les managers
  • Risques d’excès de zèle, dont nous avons fourni quelques exemples croustillants
  • Rejet et incompréhension de la méthode jugée infantilisante et coercitive.

Le règlement intérieur est clair et c’est lui, et lui seul, qui fait foi : les collaborateurs doivent avoir une tenue correcte dans le contexte de relation avec la clientèle. Lui reprocher des problèmes d’interprétation et produire un document avec des pictogrammes qui en provoque encore davantage, c’est cumuler procès d’intention et vision simpliste voire caricaturale de ce qu’est la tenue vestimentaire adaptée au travail.

Bref, après 1 h 30 de palabres peu productives, nous avons demandé que les pictogrammes soient retirés.

Nicolas ISIDORE a conclu “vous m’avez presque convaincu”.

Olivier PREVOTEAU, soucieux que tout ce remue-ménage ne perturbe pas la dynamique commerciale à maintenir à tout prix, a enfoncé le clou, en promettant un retour rapide.

Suite à la réunion, le document litigieux a été retiré d’Atlas, et nous souhaitons que ce retrait soit définitif.

Nous demandons que le sujet de la tenue vestimentaire, qui peut ne pas convenir, soit géré au cas par cas au titre d’une situation managériale individuelle.

Quant aux autres aspects de la satisfaction client, bien plus impactants, nous attendons que la direction les adresse avec plus de finesse et d’efficacité.

SIGNATURE ÉLECTRONIQUE MARCHÉ ENTREPRISE INDISPONIBLE

Commission Economique

La Commission a indiqué à la Direction que la signature électronique sur le marché Entreprises n’est plus disponible depuis une récente mise à jour de l’outil CONTACT. En effet sur certains dossiers de prêt les bénéficiaires effectifs n’étant pas remontés automatiquement comme par le passé, cela bloque la signature électronique tant appréciée par nos clients et qui optimisent grandement l’efficacité des acteurs du marché de l’entreprise.

La Direction prend le point pour informer les acteurs qui seraient en mesure de rétablir la situation et résoudre le dysfonctionnement.

FRONTALISATION EN TEST : LES GRC VERS ENCORE PLUS DE SURCHARGE

Commission Economique

La Commission a demandé à avoir plus d’informations sur le test de frontalisation de certaines tâches qui seront prises en charge par les GRC.

La Direction nous indique que la liste définie des tâches doit être précisée dans tous les CSEE en Région et que le pilote est lancé à partir du mois de Juin sur les entités choisies. En tête de liste sont concernés les tâches d’ouverture de comptes secondaires, les saisies dans IACOR pour les crédits court terme et encore d’autres.

Cette frontalisation se fait à iso effectif car selon les remontées faites à la Direction, le même temps est nécessaire pour créer la tâche Harmonie que pour faire l’ouverture du compte secondaire d’un client. La CGT a fortement réagi sur ce point en faisant remarquer à la Direction que le métier de GRC a déjà eu beaucoup de tâches ajoutées à sa fiche de poste ces derniers mois suite à une précédente frontalisation. Par ailleurs la Direction a du mal à recruter des GRC : c'est un métier en souffrance avec une matrice des compétences de plus en plus étendue. 

Si le test devait se généraliser, la CGT demande que la classification des GRC soit revue et que le niveau minimal soit le statut cadre aux vues des responsabilités et de l’enjeu stratégique de ce poste pour le marché de l’entreprise et pour valoriser leur polyvalence. Par ailleurs les GRC souhaiteraient avoir des outils à leur disposition qui soient plus performants pour améliorer leur efficacité.

La Direction clôt le débat en nous indiquant que si ce test et ce pilote n’a pas de sens et se trouve être contre-productif, il y aura un retour en arrière et cette frontalisation ne sera pas déployée.

TRANSFERT D'ACTIVITÉS DES CAUTIONS PRI VERS LES CDS FPE PRO

Commission Economique

La Direction dans la continuité du plan de simplification des process et le fait de redonner du temps commercial au Front nous informe du transfert de l’activité caution des particuliers vers FPE PRO.

La Direction a constaté une extinction progressive de certaines cautions sur le marché des particuliers telles que les cautions loyers, cautions fiscales et location droits de chasse …

La volumétrie pour les émissions de garanties représente, pour l’année 2024, 837 opérations d’émissions et environ 2000 demandes de mainlevées montrant une diminution de la demande.

Le choix est fait par la Direction de ne plus proposer de « garantie loyers » à partir d’avril 2026. Cette activité a représenté 39% des cautions soit 119 émissions de garanties en 2024.

DÉPLACEMENTS PRO, FRAIS PERSO : NOS VEHICULES PERSONNELS NE SONT PAS DES VÉHICULES DE SERVICE

Commission Economique

Il n’a échappé à personne que dans les DCR & CAR, le parc de véhicules de service fond comme neige au soleil. De plus en plus de collègues se voient contraints, et forcés, d’utiliser leur véhicule personnel pour assurer leurs missions professionnelles.

Cette situation a des conséquences concrètes, notamment pour nos collègues experts ou commerciaux en agence, qui doivent se déplacer dans plusieurs agences de l’UC ou du groupe pour leurs rendez-vous. Non seulement ils utilisent leur voiture personnelle, mais ils doivent aussi payer de leur poche le stationnement.

En effet, la Direction ne rembourse que les indemnités kilométriques, en ignorant trop souvent les frais de stationnement. Cette situation est inacceptable.

Nos collègues doivent se rendre dans des agences situées en centre-ville, où il est impossible de stationner gratuitement. Ils n’ont bien souvent aucun autre choix que d’utiliser des parkings payants.

Il est déjà anormal que les salariés doivent utiliser leur véhicule personnel pour pallier la réduction drastique des moyens mis à disposition par la SG. Il est encore plus scandaleux qu’ils soient pénalisés financièrement pour pouvoir exercer correctement leur métier.

La CGT exige la prise en charge intégrale des frais de stationnement engagés lors des déplacements professionnels avec un véhicule personnel.

Sur ce point la Direction dit comprendre la problématique et va voir comment elle peut la solutionner.

DÉLAI DE REMBOURSEMENT CRÉDIT LOGEMENT

Commission Economique

Vite encaissé, lentement restitué… patience requise !

Une grande majorité des prêts immobiliers contractés à la SG sont garantis via Crédit Logement, dont l’accord est obtenu très rapidement, souvent en temps réel. En revanche, la CGT a fait remonter à la Direction que la part restituable à la fin du prêt mettait un temps considérable à être remboursée à nos clients générant alors une insatisfaction facile à éviter.

Nous ne savons pas si le dysfonctionnement qui impacte le délai annoncé d’environ 4 semaines, repoussé jusqu’à plusieurs mois d’attente, viendrait du côté SG ou bien du côté Crédit Logement.

Résultat : insatisfaction client, image ternie… et pression sur les conseillers une fois de plus en première ligne pour justifier un dysfonctionnement qu’ils ne maîtrisent pas.

Pour être en adéquation avec ses ambitions d’améliorer la satisfaction clients la Direction va prendre contact avec les différents acteurs qui interviennent sur ce sujet et nous fera un retour sur la solution qui sera apportée à cette problématique. 

ENTRÉE EN RELATION À DISTANCE : FAUT-IL QUE LES SALARIES CHANGENT DE NOM POUR PRODUIRE PLUS ?

Commission Economique

La CGT a alerté la Direction sur le fait que, lors d’une entrée en relation à distance, la production était attribuée à un salarié au hasard. Dans un cadre où la SG met un point d’honneur à augmenter la productivité de tous, les salariés du Front sont donc confrontés à une situation injuste et préjudiciable. En effet, à ce jour, un même conseiller peut se voir attribuer la majorité des ouvertures de comptes à distance alors que son collègue, lui, ne reçoit rien puisque la liste des conseillers proposée aux prospects est classée par ordre alphabétique. C'est ainsi que systématiquement le premier de la liste capte la quasi-totalité des flux.

Ce déséquilibre peut être aggravé dans les grandes agglomérations où plusieurs agences sont situées dans la même rue. Là encore, le prospect choisit naturellement l'agence placée en haut de la liste, souvent sans distinction réelle, ce qui renforce l’iniquité.

Ce système génère un traitement inéquitable entre les conseillers, notamment ceux dont le nom commence en fin d’alphabet, qui se voient privés de flux entrants et pénalisés dans l’atteinte de leurs objectifs.
La CGT exige que ce dysfonctionnement soit corrigé le plus rapidement possible. Il est inadmissible que l’attribution de la production repose sur un critère aussi arbitraire que l’ordre alphabétique.

Nous demandons une révision de ce mode de répartition.

La Direction prend le point et va nous revenir.

 

EER PROSPECTS CASH SERVICES

Commission Economique

Concernant Cash Services une question était restée en suspens s’agissant de l’attitude à adopter lorsqu’un prospect utilisateur de l’automate Cash-Services demande une ouverture de compte. La Direction nous confirme que le projet permet de mutualiser les automates afin d’assurer un service de qualité pour l’ensemble du groupement. Il a été acté avec l’ensemble des acteurs qu’aucune démarche proactive ne pouvait être faite sur le fait de capter les prospects utilisateurs de Cash Services. Si un client devait demander de sa propre initiative une ouverture de compte cela est tout à fait possible. Si l’entrée en relation se concrétise il faut alors suivre le process et faire remonter l’information à la personne en charge de centraliser les ouvertures de comptes liées à Cash services afin qu’il y ait une traçabilité.

Avec l’ambition SG de faire partie du top 3 des banques de référence en France, la question de l’évolution du service proposé par SG sur les automates Cash services a été posée et plus particulièrement sur les dépannages espèces pour nos clients qui pourraient être gérés plus simplement et rapidement à distance via un code secret (SRE) comme le font déjà certains confrères sur ce type d’automate Cash services. Cependant après que la Direction se soit concertée avec les services et les parties prenantes il n’est pas prévu d’évolution ou de mise en place d’un service SRE.

OPÉRATION CONNEXION

Commission Economique

La Direction nous a fait un retour sur l’opération ConneXion qui consistait à faire une campagne d’appels à la clientèle par le CODIR de chaque région avec pour objectif d’interroger 5050 clients entre le 18/12/2024 et le 08/02/2025 afin de mesurer de façon qualitative la satisfaction des clients par marché.

Au final 4528 clients auront été contactés.

Le NPS (Net Promoteur Score) est supérieur aux baromètres de satisfaction.

L’analyse des résultats fait ressortir qu’il y a une consolidation de la satisfaction client sur tous les marchés.

  • 39% de promoteurs (notes 9 et 10)
  • 43% de passifs (notes 7et 8)
  • 18% de détracteurs (notes 1 à 6)

En comparaison avec les 26%/32%/42% du baromètre concurrentiel.

Une variation homogène est constatée selon les segments clients (taux de promoteurs entre 34% pour le marché Pro et 44% sur le marché Ent ; pour le marché Part : 38% pour les Essentiels et 41% pour la clientèle Patrimoniale).

Raisons de recommandation (Promoteurs) :

  • 42% Banque réactive, joignable et disponible
  • 25% Banque d’expertise et conseil
  • 12% Banque de proximité

Raisons de non-recommandation (détracteurs) :

  • 30% Banque d’expertise et conseil
  • 21% Banque réactive, joignable et disponible
  • 15% Ressenti de la fusion
  • 13% Banque de proximité
  • 9% Frais  

Un plan d’action sera mis en place en régions, en fonction du retour anonymisé des entretiens pouvant faire apparaitre des écarts par rapport au retour consolidé de SGRF en faisant état des forces et faiblesses ainsi que des opportunités de chaque périmètre.

Il faudra déterminer les points de progressions et les actions à mener avec ambitions.

Point sur l’évolution des 12 derniers mois à fin mars 2025 en comparaison à mars 2024 :

  • Essentiel de 4,05/5 à 4,13 (+8 pb) cible 2025 : 4,25/5
  • Premium de 3,82/5 à 3,96 (+14 pb) cible 2025 : 4,25/5
  • Patrimonial de 3,83/5 à 4,02 (+15 pb) cible 2025 : 4,25/5
  • Professionnel de 3,39 à 3,64 (+25 pb) cible 2025 : 4,2 /5

La progression de toutes les courbes est encourageante cependant il faut continuer sur ce rythme pour espérer atteindre l’objectif cible par métier.

RÉSEAU : MISE EN PLACE DU VARIABLE OBJECTIVÉ

Commission EPQS

Consultation sur l’adaptation du dispositif de rémunération variable pour certaines fonctions commerciales du réseau (variable objectivé)

S’il n’y avait eu que nous, ce sujet aurait été traité en négociation, et pas en commission de travail du CSEC, car la rémunération et la rémunération variable est un sujet de négociation.

Cela fait des années que nous demandons l’ouverture d’une négociation sur les critères d’attributions de la rémunération variable, pour obtenir des règles qui protégeraient les salariés et obtenir une transparence demandée par les salariés, demande bien légitime, sur la distribution d’une part variable qui se fait à la tête du client depuis bien trop longtemps.

Nous avions d’ailleurs obtenu l’engagement de Frédéric OUDEA et Caroline GUILLAUMIN. Finalement, quelle valeur a un engagement pris par la direction ? La qualité d’un dialogue social se mesure par les actions.

La direction choisit donc de présenter ici, contrairement à ses engagements, un dispositif, qui est une usine à gaz, sous prétexte de transparence et d’injonctions des régulateurs. Quelles sont ces injonctions ? Aucune info dans le document.

Page 2 du document, la direction a bien pris le soin d’indiquer qu’elle maintient les principes et le caractère discrétionnaire et non contractuel dans une enveloppe budgétaire similaire à iso performance".

Pour la CGT, et d’après les échanges avec les salariés, ce dispositif ne fait que renforcer l'opacité et les discriminations liées à l'exercice d'attribution du variable.

Pire encore, les montants distribués pourraient être moins élevés pour certains (à performances égales et c’est ce que l’expérimentation faite à Chessy a clairement démontré, au-delà du fait qu’ils ont trouvé ce dispositif trop complexe et incompréhensible.

NOTE EMILE NOEBES : SALARIÉS EN DIFFICULTÉ FINANCIERE

Commission EPQS

Pour certains, le Groupe Société Générale est une banque. Pour d’autres, c’est une banque ET un employeur. Historiquement, il existe une instruction qui demande aux responsables du réseau “de ne pas alourdir la situation des salariés en difficultés financières”, au travers notamment de la note Emile Noebes, datant de 2011.  

Nous demandions depuis des mois la bonne application de cette note. 

La direction, pour répondre au sujet sensible de ses salariés en situation de fragilité financière, aura voulu, sans aucune concertation ou co-construction avec les représentants des salariés, décliner sa nouvelle feuille de route sur le sujet, sans reprendre cette spécificité. 

Nous avons refusé de traiter le sujet lors de la commission EPQS d’avril, et avons demandé à la direction de revoir sa copie, car, ce nouveau process aurait laissé ces salariés démunis face à une mécanique administrative complexe et déshumanisée. 

La demande de la CGT était pourtant des plus claires et des plus simples : que la Direction veille à la bonne application de la note Emile NOEBES, datant de 2011, qui prévoit explicitement "de ne pas alourdir la situation financière des salariés en difficulté financière ou de surendettement". Une note qui prend donc véritablement en compte les situations de fragilité financière des salariés SG et qui laisse une marge d’intervention non négligeable au Service Social SG et à la représentation salariale pour intervenir efficacement pour des solutions humaines et pérennes.

Finalement, suite à une réunion de travail entre les représentants syndicaux nationaux et la direction de SGRF portant sur le sujet de la fragilité financière, la direction a communiqué une note revue afin de rappeler aux régions les principes applicables et issus de la note E. NOEBES : 

 « Les notes successives de Xavier JACQUEMAIN (4 février 2000) puis Emile NOEBES (2 décembre 2011) avaient fixé des principes permettant de traiter la situation des collaborateurs clients en situation de difficulté financière.

Répondant à un besoin de protection de la clientèle fragile, un décret 2013-931 a défini de façon très claire la situation de fragilité bancaire et ses conséquences qui s’appliquent à tous les clients et par extension aux clients salariés des Banques, notamment en termes de plafonnement des frais.

Au-delà du respect de ces dispositions réglementaires et indépendamment du dispositif opérationnel mis en place au sein de SGRF permettant d’en respecter l’effectivité, il est réaffirmé que les collaborateurs clients de la Société Générale, ne relevant pas du dispositif réglementaire de fragilité financière mais se trouvant dans une situation de difficulté financière temporaire, doivent pouvoir bénéficier d’une approche responsable de la part des teneurs de compte afin de ne pas alourdir leur situation financière quant aux frais relatifs aux rejets de prélèvement ou de chèque.

Les collaborateurs se trouvant dans une telle situation bénéficient également de la possibilité de s’adresser aux assistantes sociales qui pourront leur apporter soutien et conseil. Enfin, afin de faciliter le contexte professionnel du collaborateur client qui se trouverait en situation de difficulté financière, il est rappelé que celui-ci peut prétendre au transfert de son compte de l’agence où il exerce son métier vers une agence idéalement située en dehors du Groupe d’agence dans lequel il exerce ses fonctions.    »

Nous avons salué cette rédaction qui maintient et fait perdurer le principe de la note Emile NOEBES. Nous avons demandé quelques modifications.  

Nous avons également demandé que cette information soit présentée dans les CSE et communiquée aux responsables du réseau en charge de la gestion des comptes du personnel. 

En conclusion, le principe de ne pas alourdir la situation des salariés en difficulté financière perdure, en complément du dispositif imposé par la réglementation, aux établissements de crédit, permettant de détecter les clients en situation de fragilité financière afin de leur proposer l’offre spécifique de nature à limiter les frais en cas d’incidents et d’irrégularités de fonctionnement du compte.  

CODE SG, MODIFICATION DES RÈGLES D’ENVOI D’INFORMATIONS      PROFESSIONNELLES EN EXTERNE

Commission EPQS

Avant, envoyer certaines informations à caractère professionnel sur des messageries externes pouvait se faire à titre exceptionnel, à condition que le responsable hiérarchique ait donné au préalable son accord, et que celui-ci soit copie de l’envoi.     
Si l’accord formel du manager a été sollicité mais n’a pu être recueilli, l’utilisateur pouvait, en cas d’urgence, envoyer des données à l’extérieur en mettant en copie son manager de son envoi extérieur et lui en indiquer l’objet.
Un process obtenu par la CGT, en 2014, dans le cadre d’un rapport de force avec la direction qui organisait une série d’entretiens disciplinaires pour ce motif.

Face à son refus de discuter à l’époque, les 2 CHSCT des services centraux avaient saisi le juge… ce qui a permis une négociation et un accord qui encadrait l’envoi de mails en externe. 

Ce process est repris dans le code SG, et dorénavant obligatoire pour des éléments classifiés C1-RESTREINT, C2-CONFIDENTIEL et C3-SECRET.

Mais ça c'était avant... 
Dorénavant, seul l'envoi vers des messageries externes d'éléments à caractère professionnel classifiés C1-RESTREINT peut se faire à titre exceptionnel et aux conditions précédentes.     
Mais il est dorénavant strictement interdit d’adresser des informations classifiées C2-CONFIDENTIEL et C3-SECRET sur des messageries et autres supports externes.

La motivation de la direction ? Elle a équipé, de manière généralisée, les salariés de Laptop depuis la crise COVID. 
La CGT a pointé l'existence d'un sous-libellé au C2-CONFIDENTIEL qui établit que certains C2 sont diffusables en externe (l’un est le C2 – Diffusable à l’extérieur du groupe et l’autre est le C2 – Non diffusable à l’extérieur du groupe).
La direction nous a indiqué d’une part, que ce sous-libellé doit être compris comme une classification pouvant être diffusée en externe mais strictement aux personnes légitimes à pouvoir les recevoir en renvoyant les salariés demandeurs d'explications plus précises à la lecture fastidieuse de l'intranet dédié à ces sujets. Et d’autre part, que la mise à jour proposée du Code SG ne prévoyait pas de clarifier cette règle.

La CGT s’interroge sur la position de la direction, qui sous couvert de préserver les intérêts du Groupe, omet de préserver les droits des salariés en faisant preuve de plus de transparence et leur permettre de prendre des décisions éclairées.
Par ailleurs, la CGT a rappelé à la direction qu'un salarié recevant un élément classifié avait la possibilité de changer une classification initiale qui apparaitrait comme erronée ou abusive. 

La direction a répondu que l’expéditeur est le seul propriétaire de la classification de son courriel. Que si l'expéditeur refusait de la changer, le destinataire n’aurait pas le droit de changer la classification de cet envoi
La CGT s’est étonnée là aussi de la position de la direction qui, en cas de désaccord, semble prendre le parti du seul expéditeur comme décideur de la bonne classification et ce, semble-t-il, même si l'expéditeur ne respectait pas les règles de classification établies en la matière.
Enfin, nous avons listé des zones grises dans l'intranet dédié à ces sujets : un manque de clarté sur les niveaux d'impact concernés, une liste incomplète d'exemples pour certains imprécis. Compte tenu de ce qui précède, nous ne pouvons qu'inviter l'ensemble des collègues à faire preuve de la plus grande prudence et vigilance sur ce sujet. 

Le passé a déjà démontré que le Groupe SG dans une démarche de protection de ses données aura largement et souvent durement sanctionné les salariés sur cette thématique et ce quelques soient les impératifs professionnels ou la bonne foi qui auraient initié ces envois.

SERVICE SOCIAL DU TRAVAIL SG : POINT D'ÉTAPE 

Commission EPQS

La CGT avait demandé un point à date sur le Service Social du Travail (SST) afin d’avoir une photographie des effectifs et des périmètres par régions.

Cette présentation a mis en lumière des disparités dans la gestion du service social à travers différentes régions. La direction affiche un suivi, théorique, par Assistant Social (AS), de 800 à 1000 salariés pour le réseau. 

Sauf que dans les faits, ce n’est pas le cas. Dans plusieurs régions, une absence temporaire, un départ en retraite ou une mobilité génèrent une charge supplémentaire, si la personne n’est pas remplacée et cela fait exploser le nombre de salariés suivis par chaque AS, ce que nous avons constaté notamment pour plusieurs régions (DRIF Nord, SG Courtois, AURA, SMC..). 

Pour SG SMC, la direction a déclaré en réunion que « le recrutement est finalisé et qu’une AS doit arriver en juillet ».

Concernant SG Courtois, Sandrine VOUIN, DRH adjointe de SGRF, a affirmé que “localement il est regardé comment remplacer temporairement jusqu’au retour de l’AS, soit par un renfort, soit par un service externalisé”.  

Sur la DRIF Nord “temporairement, on reste à 3, mais on va reposer la question du remplacement de la 4ème AS”.

Pour SG CDN, elle ajoute « qu’il y a un CDD présent en remplacement de l’AS en CDI ». Quant à AURA, où il y a deux absences, elle convient que c’est problématique « on a pris un service externalisé qui fournit des heures, ce n’est pas facile de trouver des cabinets qui sont bien ».

Elle ajoute qu’il y a également de la solidarité entre régions, avec des AS qui viennent « donner un coup de main » aux régions en sous-effectif. Sauf que ces AS ont elles-mêmes un nombre déjà important de salariés à suivre.

Pour les Services Centraux Parisiens, nous avons à nouveau abordé la question d’un grand nombre de salariés suivis (entre 3500 et 4000 par AS ou Conseillère du Travail), ce qui est très élevé, soulignant les disparités et les défis associés.

La direction nous a expliqué que l'utilisation d'outils aidant comme Teams a permis de conserver le contact avec les salariés, pendant la période COVID, facilitant ainsi dorénavant la gestion de la charge de travail, précisant que les régions en faisaient de même.

La CGT a tenu à rappeler son attachement au Service Social interne et au fait que chaque poste doit être pourvu ou remplacé si absence.

Nous faisons le constat que SST est un acteur important dans l’accompagnement social des salariés (tout comme les représentants du personnel) qui subissent de plein fouet la transformation de l’entreprise.

Les AS interviennent également sur divers domaines de difficultés sociales, incluant les problèmes financiers, les difficultés liées à la maladie, aux problématiques de logement, et parfois de situations de violence intrafamiliale.

Il est nécessaire d’améliorer la communication et la visibilité du Service Social notamment avec les nouveaux embauchés et les ex-salariés du Crédit du Nord qui n’avaient pas de SST interne.

Pour mémoire, la direction avait réalisé une expérimentation d’externalisation sur la région de Marseille il y a quelques années et avait fait marche arrière, décision que nous avons saluée, après avoir combattu l’expérimentation.

Nous sommes revenus également sur l’indépendance indispensable du SST. En effet, le rattachement des AS à la DRH en région n’est pas logique, et nous regrettons la décision de la direction d’avoir supprimé la Conseillère Chef du Travail qui avait le mérite de faire exister une filière métier et de protéger l’indépendance du SST. 

POINT D’INFORMATION SUR LES COMPORTEMENTS INAPPROPRIÉS  2024

Commission SSCT

Le rapport de 2024 sur les comportements inappropriés au sein de la Société Générale (SG) a été présenté par Stéphanie BARANGER (HRCO/SSA/PPS), Catherine LA NOE-GIRARD (BDDF/HUM/RST) et le Docteur PASQUIER, médecin coordinateur SG. Cette année, 179 alertes ont été recensées sur le périmètre SGPM, dont 115 (64%) hors outil Whistleblowing et 64 (36%) via l’outil Groupe. Les chiffres sont désormais analysés sur un périmètre plus restreint, ce qui pourrait influencer les résultats.

La répartition des alertes par pilier révèle que le RPBI constitue la majorité avec 133 alertes (74%), suivi des Centraux avec 25 alertes (14%) et du GBIS avec 19 alertes (11%). Aucune alerte n’a été signalée pour MIBS et deux alertes anonymes ont été enregistrées. En ce qui concerne la nature des allégations, le harcèlement moral arrive en tête avec 94 dossiers (53%), bien que ce chiffre ait diminué par rapport à 2023. D'autres comportements notables incluent le harcèlement sexuel (21 alertes), les agissements sexistes (15 alertes) et la violence verbale (20 alertes).

La CGT a interrogé la direction sur la baisse des licenciements liés à des comportements inappropriés. La Direction a confirmé que cette tendance ne reflète pas une diminution de la gravité des faits, mais pourrait être due à un effet statistique. Elle insiste sur sa vigilance dans la gestion des allégations et souligne l’importance d’une culture du dialogue, visant à prévenir l’escalade des conflits.

Au niveau du suivi des dossiers de comportements inappropriés, au 28 mars 2025, 74 dossiers recevables avaient été finalisés, avec 58 sanctions au total, dont 19 licenciements, 15 blâmes et 24 avertissements. La Direction a également reconnu le besoin d'améliorer la transparence concernant la gestion interne et externe des dossiers, stipulant que chaque cas est traité individuellement sans suivi statistique précis pour les méthodes de gestion.

La CGT a également demandé que les Instances Représentatives du Personnel (IRP) soient impliquées dans les ateliers relatifs au plan d’action. La Direction a déclaré qu'elle n'organisait pas ces ateliers directement, mais qu'elle reconnaissait l'importance de leur participation pour enrichir les discussions avec une perspective opérationnelle.

La Direction a précisé que les deux alertes anonymes étaient issues de l'outil WhistleBlowing, où les auteurs n’étaient pas identifiables. De plus, un changement de terminologie a été observé, remplaçant "faits révélés" par "incidents", ce qui suscite des inquiétudes quant à la gravité perçue des comportements signalés. La Direction défend cette évolution comme un moyen de souligner la nécessité d’une action face à des problèmes identifiés.

Enfin, la CGT a noté une augmentation des tensions et des comportements inappropriés, potentiellement liée aux risques psychosociaux (RPS) exacerbés par des objectifs commerciaux accrus et une pression de travail croissante. La Direction a assuré qu’elle restait vigilante et a mis en place des sessions de formation pour sensibiliser les employés aux comportements toxiques et promouvoir une culture de bienveillance. Des initiatives comme des ateliers de sensibilisation sont prévues pour la Semaine de la Qualité de Vie et des Conditions de Travail, renforçant l'engagement de la SG envers un environnement de travail sain et respectueux.

1%

Commission Vacances Familles et Enfants

Les commissions ont validé, à l’unanimité, une hausse des tarifs de 1%. L’indice de référence pour les augmentations est l’Indice des Prix à la Consommation, mesuré à +0,8% sur un an (source INSEE à fin avril 25).

A titre d’exemple pour les Vacances Familles, l’impact maximal serait de 8 EUR sur les dossiers rouges en tarif D et S, 7 EUR sur les dossiers rouges en tarif C. Pour information, les augmentations tarifaires moyennes de nos prestataires de centres de vacances sont de +3,47 % sur 2025 et + 2,31% sur 2026.

Elle sera appliquée à compter de l’hiver 2026 pour les catalogues Vacances Familles et Enfants.

BUDGET VACANCES FAMILLES

Commission Vacances Familles

Au total, 9 000 000EUR sont spécifiquement alloués, pour les linéaires (Sandaya, Sunêlia, Huttopia,…) à vos vacances hiver, printemps, été et automne avec le CSEC, répartis globalement par 60% à la charge du CSEC, 40% par la participation des salariés.

STATISTIQUES ÉTÉ

Commission Vacances Familles

Au 23/05/2025

Au 27/05/2024

Nombre de dossiers traités

5572

5789

Nombre de dossiers affectés

4780

4812

Nombre de participants

18706

18866

Dont adultes

10485

10502

Dont enfants

8221

8364

Nombre d'hébergements

1324

1263

Nombre de dossiers refusés

543

791

Nombre de dossiers annulés

249

186

Nombre de dossiers traités au tarif mini

46

60

Nombre de dossiers traités dans le cadre de la lutte contre l’exclusion interne

6

7

PROCHAINES NOUVEAUTÉS

Commission Vacances Familles

Hiver :

Résidence Odalys Mille Soleils, Font Romeu 

Eté :

  • Camping Sandaya Pléneuf Val André 
  • Résidence La Grenadine Lagrange Marseillan Plage 

NON RENOUVELLEMENT POTENTIEL DE CENTRES POUR L’ÉTÉ 26

Commission Vacances Familles

Mers les Bains, Ammerschwihr, Frehel, Loudenvielle, Maupertus sur mer, Bussang, Urrugne, Evian, Gréoux les Bains. En réflexion pour les centres de Corde sur Ciel et Entraygues.

TOURISME SOCIAL

Commission Vacances Familles

TARIF MINIMUM : 46 dossiers ont bénéficié du tarif minimum du CSEC à l’ouverture de cette session.

LUTTE CONTRE L’EXCLUSION INTERNE : 6 dossiers traités permettant une aide aux départs en vacances

En cas de difficultés contactez votre CSE local ou votre assistante sociale afin d’établir un dossier d’aide sociale, disponible sur le site www.csec-sg.net

TRANSPORTS CORSE

Commission Vacances Familles

Suite à plusieurs annulations de dossiers à destination de la Corse, justifiées par le coût des transports (bateaux, avions et location de véhicule), nous vous conseillons d’anticiper en réservant, avec option annulation, dès la saisie de votre choix (en janvier).

Les tarifs et disponibilités évoluant, généralement, en défaveur du consommateur.

Le préjudice financier pour le CSEC est significatif à la suite de ces annulations tardives.

COLONIES ÉTÉ 2025

Commission Vacances Enfants

Rappel des dates des colonies été 2025 :

  • Du 16 au 29 juillet 2025
  • Du 06 au 19 août 2025

Les points de rassemblement pour les convoyages auront lieu les 16, 23 et 29 juillet et les 06, 13 et 19 août 2025 à l’Hippodrome d’Enghien (95), à la Gare de Lyon (Paris) et Lyon (69).

COLONIES HIVER PRINTEMPS 2026

Commission Vacances Enfants

Ce sont 33 séjours de sélection ce qui représente environ 1880 enfants sur les deux périodes pour un budget de 1 437 736 €.

Nouveautés Hiver / Printemps 2026 :

  • Hiver 2026 :

 Every Glisse 6-7 ans

Aventure Nordique 8-10 ans

Tout Schuss 11-12 ans

Ski ESF 11-12 ans

  • Printemps 2026 :

 Les petits acrobates 6-7 ans

Escapades dans le Var 8-10 ans

La colo Jurassic 8-10 ans

Futurland 8-10 ans

C'est dans ta nature - Défi Planéte 11-12 ans

Aventurier du bord de mer 11-12 ans

Zoo de Beauval et Futuroscope 11-12 ans

Edimbourg Ecosse 13-14 ans

Let's got Galway Irlande 15-17 ans

CSEC 10 Avril 2025

Manifestation 1er Octobre 2024 : RDV Parisien

manif5

CSEC 27 Septembre 2024
Compte rendu des commissions de travail du Csec du 10 au 13 Septembre

Compte rendu des commissions de travail du Csec du 10 au 13 Septembre


COMMISSIONS DE TRAVAIL CSEC - 17 SEPTEMBRE 2024 

Retrouvez le fichier PDF ici  1,6 Mo - 9 pages ( il faut être connecté au site, avant de cliquer sur le lien)

Table des matières

ÉVOLUTION DU DISPOSITIF RELATIONNEL DE LA CLIENTELE PATRIMONIALE CHEZ SGRF. 2
Commission Economique. 2

LBO CONSENTI A ELON MUSK. 3
Commission Economique. 3

REMONTEE DE LA VALORISATION DES CONTRATS D’ASSURANCE- VIE DANS MAP. 3
Commission Economique. 3

SAP CONCUR. 3
Commission Economique. 3

SAP ARIBA. 3
Commission Economique. 3

PRESENTATION DE L'HARMONISATION DE LA POLITIQUE DE GESTION DES MANQUEMENTS GBIS ET DFIN/ALT. 3
Commission EPQS. 3

RTT EMPLOYEURS 2025. 4
Commission EPQS. 4

POINT A DATE SUR LE PASSAGE AU STATUT CADRE AU FORFAIT DE CERTAINS EMPLOIS AU SEIN DU RESEAU SGRF. 5
Commission EPQS. 5

RESPECT DE L’ACCORD EGALITE SUR LES ENTRETIENS MATERNITE. 6
Commission EPQS. 6

ACQUISITION DE CONGES PENDANT UN ARRET MALADIE. 6
Commission EPQS. 6

NOUVEAUTES AVANCE LOGEMENT. 6
Commission EPQS. 6

CPF ET RESTE A CHARGE. 6
Commission Formation. 6

FORMATIONS REGLEMENTAIRES. 7
Commission Formation. 7

FORMATIONS RSE OBLIGATOIRES. 7
Commission Formation. 7

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. 7
Commission Formation. 7

INCIVILITES ET AGRESSIONS COMMERCIALES SUR LE PREMIER SEMESTRE 2024. 7
Commission SSCT. 7

STATISTIQUES ETE 2024. 8
Commission Vacances Familles. 8

INTEGRATION DES NOUVEAUX CENTRES DE VACANCES ETE. 8
Commission Vacances Famille. 8

POINT FINANCIER CSEC VACANCES FAMILLES. 9
Commission Vacances Famille. 9

VACANCES FAMILLES : LES SUJETS DE FONDS PORTES PAR LA CGT. 9
Commission Vacances Famille. 9

COLONIES HIVER-PRINTEMPS 2025 : BIENTOT LES INSCRIPTIONS. 9
Commission Vacances Enfants. 9

SANTE ET HANDICAP. 9
Commission Vacances Enfants. 9

SUBVENTION BAFA. 9
Commission Vacances Enfants. 9

POLITIQUE DE SOLIDARITE DU CSEC. 9
Commissions Vacances Famille et Enfants. 9

ÉVOLUTION DU DISPOSITIF RELATIONNEL DE LA CLIENTELE PATRIMONIALE CHEZ SGRF

Commission Economique

Frédéric LARGERON, directeur de la banque patrimoniale pour SGRF, a récemment présenté les évolutions majeures du dispositif relationnel destiné à la clientèle patrimoniale. Cette présentation a mis en lumière les nouvelles orientations stratégiques et organisationnelles de la banque.

Organisation et missions

La direction de la banque patrimoniale repose aujourd’hui sur trois piliers : la direction commerciale, la direction de l'offre et la direction des expertises. Ces entités ont pour mission de gérer les enjeux commerciaux, de défendre les intérêts des clients et d'accompagner les équipes. Les produits proposés incluent l'épargne financière, les comptes titres, les PEA et les assurances vie, etc.. Un accent particulier est mis sur le renforcement de l'expertise en ingénierie patrimoniale, notamment en matière de transmission, de fiscalité et d'immobilier, ainsi que sur le conseil en investissements.

Structure régionale et compétences actuelles

En région, un directeur commercial et des responsables patrimoniaux accompagnent les DG et les DA. L'objectif est de s'assurer que les conseillers clientèle patrimoniale (CC PAT) disposent des compétences nécessaires pour répondre aux attentes des clients. Actuellement, 1048 CC PAT gèrent 438 000 foyers patrimoniaux.

Concurrence et profils des clients

La banque fait face à la concurrence des conseillers en gestion de patrimoine (CGP) indépendants et des banques privées de réseau, qui fixent leurs seuils d'encours sous gestion entre 150 et 250 k€. Les clients de SGRF, dont les encours varient entre 150 et 500 k€ ont des attentes dignes d'une banque privée. Les profils des clients sont variés, incluant des professionnels, des seniors, et des clients avec des avoirs ou des revenus importants.

Modèles relationnels et projets futurs

Afin de répondre aux attentes spécifiques des différentes catégories de clients, un nouveau projet d’ajustement du dispositif relationnel est proposé. L'objectif principal est de renforcer la satisfaction client à travers une approche relationnelle personnalisée. Ce projet vise à aligner l’expertise des conseillers avec les besoins des clients, tout en rationalisant le suivi de proximité.

Les principales évolutions concernent :

  1. Clients « Premium+ » : Ceux ayant des revenus élevés (>6/8K€) mais des avoirs inférieurs à 50K€. Le suivi sera désormais assuré par un Conseiller Premium, spécialisé en Épargne, Crédit, Prévoyance et Protection, pour leur offrir un accompagnement adapté à leurs besoins en financement et protection.
  2. Clients « PAT Flux » : Pour les clients ayant à la fois des revenus élevés (>6/8K€) et des avoirs supérieurs à 50K€, le suivi relationnel restera entre les mains des Banquiers Patrimoniaux, qui pourront leur proposer une optimisation de leur patrimoine.
  3. Clients « PAT Avoirs » : Pour les clients disposant d’actifs financiers supérieurs à 150K€, le Banquier Patrimonial continuera d’assurer un suivi de proximité, en offrant des conseils en gestion patrimoniale sur des produits spécifiques comme l’assurance-vie et les produits structurés.
  4. Professionnels TPE : Les dirigeants des TPE bénéficieront d’une double relation, associant un Conseiller Pro principal et un Banquier Patrimonial pour leurs besoins patrimoniaux, selon une nouvelle segmentation des codes NAF.

Selon la direction, ces ajustements visent à garantir une meilleure adéquation entre les besoins clients et l’expertise des conseillers, tout en simplifiant la gestion de la relation client pour une efficacité accrue.

Notre point de vue

A peine déployé, le modèle PAT, prévu dans Vision, fait l’objet de modifications. Elles sont annoncées pour améliorer la satisfaction client et permettre « le bon interlocuteur avec la bonne expertise, selon la typologie de client ». Même si l’intention a du sens, cela amène encore des changements de conseillers pour des clients exigeants qui détestent çà !

Pour la CGT, l’idée d’introduire un nouveau segment de clientèle, les Premium+, ex PAT Flux,  est remise en question pour plusieurs raisons pratiques et stratégiques. Les PAT Flux,  en phase de construction professionnelle et familiale, n’ont pas encore accumulé suffisamment d'avoirs pour devenir un segment rentable à court terme. Leurs priorités immédiates sont l’achat immobilier et le confort de vie, des objectifs qui ne répondent pas à l’urgence des exigences commerciales actuelles, tournées vers la collecte pour les B PAT.

Les Banquiers Patrimoniaux doivent atteindre des objectifs spécifiques comme la prévoyance, les crédits à la consommation et immobiliers, ainsi que l’ouverture de produits fiscaux. Ce type de clientèle, avec des revenus significatifs, peut effectivement contribuer à ces objectifs, tout en appréciant un service de qualité et personnalisé.

Cependant, un paradoxe persiste. La stratégie "Vision 2025" avait déjà défini un nombre de postes basé sur une segmentation clientèle claire. Introduire une nouvelle modification sans ajustement des effectifs met en lumière une contradiction organisationnelle : les conseillers doivent désormais gérer plus de tâches avec les mêmes ressources, conduisant à une surcharge de travail.

En effet on permute 47 000 foyers PAT FLUX qui deviennent PREMIUM+ en suivi par les conseillers Premium contre 49 000  foyers PAT > 80 ans qui reviennent aux B PAT en Niveau1. On arrête le double suivi des foyers PAT entre 70 et 79 ans pour les positionner en Niveau 1 B PAT.

Le véritable problème ne réside pas dans la répartition de la clientèle, mais dans la gestion du temps et de la charge de travail des conseillers. Ils sont déjà débordés et peinent à offrir le niveau de service attendu. Une révision de la stratégie pourrait donc être nécessaire, non pas en termes de segmentation, mais en termes de gestion des effectifs et des priorités.

Ces changements ont des conséquences sur les tailles de portefeuilles que la direction considère comme faibles : - 13 foyers / CC PREMIUM et +48 foyers / B PAT. Pour les B PAT ce changement n’est pas neutre et aura des impacts sur la charge de travail qui pourront nécessiter des ajustements à la hausse de postes.

L’autre aspect important est comment ces changements se traduiront dans la déclinaison des objectifs commerciaux.

LBO CONSENTI A ELON MUSK

Commission Economique

Société Générale fait partie des banques qui ont participé au financement octroyé à Elon Musk dans le cadre de l’acquisition du réseau X. Il s’avère qu’à ce jour, le remboursement de cette dette s’avère relativement complexe.

Nous avons donc interrogé la Direction sur les conséquences pour Société Générale : des provisions ont- elles été opérées ? Pour quel montant ? Quelles sont les conséquences sur le coût du risque et dans les comptes de SG ? La Direction va nous revenir en suivi.

REMONTEE DE LA VALORISATION DES CONTRATS D’ASSURANCE- VIE DANS MAP

Commission Economique

Elle ne se fait pas (y compris les remontées faites manuellement) et cela a un impact sur la réalisation de vos objectifs et par conséquence potentiellement sur vos PDP et votre rémunération (fixe et variable) et votre évolution professionnelle.

La Direction fera un retour en suivi.

SAP CONCUR

Commission Economique

Deux dysfonctionnements ont été identifiés par la CGT.

Lorsque le valideur est absent (congés, mobilité…), il est très difficile voire impossible de le faire modifier. Les salariés doivent donc attendre le retour du valideur pour voir leur note de frais validée. Il n’est pas possible que les salariés soient tributaires de la présence ou non du valideur.

De plus, lorsque le salarié achète des titres de transport en commun (essentiellement des titres de transport parisien), le seul justificatif est une confirmation par mail, document qui est refusé par les équipes de Bucarest….

La Direction doit nous revenir sur les deux problématiques.

SAP ARIBA

Commission Economique

Nous avions déjà interpellé la Direction sur la problématique des délais de paiement des prestataires en juin dernier. Nous avons demandé un point à date. Ce sont environ 6000 factures qui sont toujours en attente de paiement. Plusieurs évolutions et modifications ont été faites ou sont en cours : un allègement du process a été opéré en juillet dernier. De plus, des sessions de formation en présentiel à destination des régions vont être organisées à partir d’octobre et les régions auront accès à un outil de pilotage du paiement des factures des prestataires.

PRESENTATION DE L'HARMONISATION DE LA POLITIQUE DE GESTION DES MANQUEMENTS GBIS ET DFIN/ALT

Commission EPQS

Ce titre, à l’apparence anodine, est le nouveau joujou complexe que la direction a imaginé, sous couvert de répondre aux attentes des régulateurs (USA compris) et pour, affirme-t-elle, protéger les intérêts du Groupe. 

La CGT, qui partage ces objectifs, ne peut pas, pour autant, valider en l’état le moyen ici choisi par la direction pour y parvenir.  

De quoi s’agit-il ? D’une grille de manquements censée être exhaustive indexée à un barème de points. Chaque “manquement” vaut à son auteur de se voir gratifier des “mauvais points” qui, cumulés sur une période donnée, peuvent donner lieu à leur qualification en manquements mineurs voire en manquements majeurs (!). 

Dispositif alambiqué où entre le signalement et la décision entourant “l’incident” de multiples strates décisionnelles s’empilent pour décider si le salarié est un vrai ou un faux auteur de manquements avant de statuer sur son sort…Signalons au passage qu’un salarié qui n’aurait pas signalé le manquement d'un collègue pourrait lui aussi voir son permis à points s’alourdir… 

Décidément, la direction si prompte à répondre aux injonctions des régulateurs n’a pas la même délicatesse quant il s’agit de se rappeler qu’une concertation avec la représentation des salariés sur des dispositifs de la sorte, mais pas que, est et reste la meilleure façon d’œuvrer efficacement  à la défense du Groupe ET  des salariés dans le respect des règles et des lois en vigueur. 

La séance a donc commencé par une déclaration commune des membres de la commission : 

“Les commissaires ont pris connaissance du point d’information relatif à l’harmonisation de la politique de gestion des manquements au sein de GBIS et DFIN/ALT. Les élus des Centraux Parisiens ont découvert ce sujet suite à l’envoi d’un mail aux salariés de GBIS le 31 janvier.

Nous nous retrouvons en septembre avec ce sujet inscrit à l’ordre du jour par la direction, en simple information alors qu’il touche des domaines sensibles.
Sur un sujet aussi important en termes de conséquences sur les RPS ou encore les sanctions qui peuvent en découler, nous ne pouvons, nous contenter d’une simple présentation au CSEC. La dénonciation de la CPRI pendant la période estivale concomitamment à ce point, renvoie un mauvais signal en termes de dialogue social, entache gravement le pacte social SG. A ce titre, nous demandons à la direction que ce point soit discuté avec les OS lors d’une concertation préalable et donc le report du point
”.

En effet, il est impensable, pour la CGT, d’accepter d’être la caution d’un dispositif par sa simple présentation au CSE Central de l'entreprise. Un outil mal pensé, à la construction bancale et qui réunit à lui seul toutes les caractéristiques des risques majeurs que le Groupe SG indique souhaiter éviter.  

Malgré cela, le dispositif a déjà été mis en place dans les services centraux (GBSU) et ce sans aucune consultation ou concertation préalable. Vouloir ainsi le voir opposable aux salariés est un manquement majeur côté direction. La loi ne le permet pas.  

Combien de points pour l’ensemble de ses manquements la direction décidera-t-elle de s’auto attribuer ? La coupe est-elle déjà pleine ? 

Nous avons obtenu l’engagement de la direction d’une réunion de concertation avec les Organisations Syndicales. C’est à cette seule condition qu’une présentation, des plus lunaires, a pu être faite en instance et à laquelle la CGT a répondu par une déclaration qui dénonce tant le fond que la forme de ce dispositif : 

“Sans information des différentes instances représentatives du personnel concernées (CSE des services centraux notamment) et malgré plusieurs interpellations dès le mois de janvier 2024, la direction a déployé un dispositif comportant des sanctions disciplinaires, pouvant aller jusqu’au licenciement.

Nos représentants sont intervenus à partir du 30 avril en CSE, après avoir déjà alerté la direction dans les CSSCT concernées. Les demandes ont été réitérées lors des CSE suivants.

Nous avons alors demandé l’arrêt du déploiement du dispositif qui comporte à nos yeux des risques importants pour les collègues concernés, pour les collègues qui ne feraient pas de la délation. Le dispositif sera étendu et fera courir ces risques à l’ensemble des salariés du Groupe.

On note donc la cohérence avec la récente dénonciation de l’accord CPRI, qui était un des piliers du pacte social à la SG depuis 25 ans.

Le déploiement de ce dispositif fait aussi courir des risques à la direction du Groupe, compte tenu des incohérences et des incompatibilités entre le dispositif et le droit du travail (notamment…).

S’agissant du droit disciplinaire, ce dispositif relèverait du règlement intérieur, qui devrait donc être modifié, après avoir consulté les instances et autorités compétentes (inspection du travail).

Nous demandons l’arrêt de ce dispositif et nous nous réservons le droit de mener toutes les actions à notre disposition pour le contester”.

Dans l’attente de cette concertation, qui a été fixée le 8 octobre, la commission a demandé la suspension du dispositif actuel puisque non présenté dans aucune des instances représentatives des salariés de l’entreprise. Refus obstiné de la direction de céder. 

Pour la CGT, c’est indéniable, ces éléments sont non seulement un très mauvais signal en termes de dialogue social et cela entache gravement le pacte social SG.

slawomanquements

RTT EMPLOYEURS 2025

Commission EPQS

La commission de suivi de l’accord ARTT s’est tenue le 6 septembre. La direction a présenté les jours de fermeture collective pour le réseau d’agences : 

JRTT Employeur SGRF :

  • Pour les agences du lundi au vendredi :

Vendredi 30 mai 2025 (week-end de l’Ascension) : 4 jours (jeudi 29 mai férié)

Vendredi 26 décembre 2025 (lendemain de Noël) : 4 jours (jeudi 25 décembre férié)

  • Pour les agences du mardi au samedi :

Samedi 12 juillet 2025 (week-end fête nationale) : 3 jours (lundi 14 juillet férié)

Samedi 16 août 2025 (week-end Assomption) : 3 jours (vendredi 15 août férié)

Les DCR suivront le rythme des agences et bénéficieront des JRTT employeurs. Les jours restants seront soit positionnés au niveau local, soit restitués aux salariés.

  • Pour les CDS, AEP, CRC, SG Direct, CAR, SGFI, et sièges régionaux: Pas de fixation de jours RTT employeur
  • Pour les services centraux: Pas de fixation de jours RTT employeur
  • CEN et IBFS: pas de JRTT Employeur
  • GBIS : pas de JRTT Employeur. 

La CGT avait demandé lors de la réunion le samedi 19 avril (Pâques) pour les régimes mardi/samedi et le 2 ou 9 mai 2025 pour les régimes lundi/vendredi.

Finalement, le 19 avril a été accepté. En revanche, SGRF se dit ne pas être en mesure d’accéder à la demande pour le 2 ou 9 mai, car cela reviendrait à faire une fermeture de 4 jours, au mois de mai, alors qu’il y a déjà un JRTT employeur le 30 mai. 

POINT A DATE SUR LE PASSAGE AU STATUT CADRE AU FORFAIT DE CERTAINS EMPLOIS AU SEIN DU RESEAU SGRF

Commission EPQS

La direction, représentée par la DRH adjointe de SGRF, est venue faire un point à date sur le dispositif  du passage cadre au forfait de certains emplois au sein du réseau SGRF (présenté en commission EPQS de janvier 2024).

Pour rappel, dans le cadre de la fusion avec le Crédit du Nord, SG s'était engagée à transférer les contrats de travail de  chaque salarié en l'état et à conserver leur niveau de classification. Par la suite, un constat de disparité de classification et de rémunération sur certains métiers au même poste et même emploi a été fait.

Les métiers suivants (liste non exhaustive) ont été détectés comme en décalage de classification (TMB Vs cadre au forfait ou en cadre horaire Vs cadre au forfait) :

  • Responsable d'agence
  • Responsable Adjoint agence importante
  • Responsable gestion relation client
  • Responsable équipe relation clients
  • Conseiller clientèle PRO
  • Chargé d'affaires
  • Conseiller clientèle PROF LIB
  • Conseiller clientèle institutionnels
  • Juriste

Les salariés concernés ont été reçus en entretien individuel (ou information en réunion collective quand la volumétrie était importante, notamment pour les DRIF) afin de leur proposer de passer cadre au forfait sur leur métier.

==> Pour les TMB : une augmentation correspondant au passage au statut cadre en fonction du niveau de classification, soit un minimum d’augmentation de 2.500 euros bruts ;

==> Pour les cadres au régime horaires : une augmentation exceptionnelle d’un montant de 1020 euros bruts (minimum d’augmentation pour un cadre).

Au total ce sont 1359 salariés qui ont été révisés dans le cadre de ce dispositif (CDI présents dans l’entreprise au 31 janvier). Il y a eu 30 refus sur les personnes éligibles. La direction dit ne pas avoir cherché à en connaître les causes, mais certains salariés se sont prononcés sur leur refus (perte JRTT, la crainte des heures sup, ne pas vouloir abandonner leurs horaires, augmentation jugée insuffisante). 

Lors de la mise en place du dispositif, la direction a également identifié des salariés qui étaient sur des emplois relevant du statut de cadre au forfait (Accord RTT 2000), qui ont été intégrés au projet. 43 salariés ont donc été ajoutés et se sont vu proposer le statut, avec les mêmes augmentations. 

  • Responsable d’agence importante
  • Banquier Patrimonial
  • Chargé d'affaires clientèle entreprise
  • Responsable d'équipe opérations

La CGT est intervenue afin de remonter des dysfonctionnements qui avaient été des points d'alertes formulés lors de la première présentation en Janvier 2024.

Pour la CGT, nous avions fait part de l'incompatibilité, pour certains métiers cibles, entre le statut de cadre au forfait et des contraintes horaires, comme pour les métiers d'agences notamment. En effet, les textes de l'accord RTT de 2000 et la convention de cadre au forfait sont explicites :

« Ceux dont la durée du travail ne peut être prédéterminée du fait de la nature des fonctions qu’ils occupent, des responsabilités qu’ils exercent et du degré d’autonomie dont ils disposent dans l’organisation de leur emploi du temps. Leur mission exige une grande maîtrise personnelle de leur temps pour répondre aux besoins et aux résultats attendus, leur compétence est étendue ou leur niveau d’expertise élevé ».

Nous avons aujourd'hui 4 mois de recul depuis la mise en place et les dérives se confirment. Les directions locales, imposent, par des écrits de surcroît, une présence sur site, au détriment parfois de business à l'extérieur, afin de faire la variable d'ajustement et de pallier le manque d'effectif avec une pression non dissimulée.

Si le professionnalisme de nos collègues induit un certain bon sens dans la gestion de leur planning, les directions, à l'inverse, restent parfois sclérosées et arc-boutées sur leurs positions qui ne respectent pas l'accord RTT.

Enfin, nous avons également alerté la direction sur la gestion des retours de congés maternités. Les salariées qui reprennent sur un métier éligible au dispositif, se sont vu proposer le statut cadre au forfait sur leur poste et  certains n’ont pas eu les 2 révisions salariales. Les 2 dispositifs sont pourtant cumulatifs (révision au titre de l’accord Égalité + augmentation liée au statut cadre au forfait.  La direction s’est engagée à refaire un point pour confirmer qu'aucun salarié ne soit passé au travers du dispositif. 

N'hésitez pas à contacter un élu CGT, si vous êtes dans les métiers cibles et que vous n'avez pas bénéficié d'un entretien RH afin de vous proposer le choix (ou non) de passer cadre au forfait dans le cadre de cette harmonisation ou si vous n’avez pas bénéficié de toutes les conditions liées au dispositif.

RESPECT DE L’ACCORD EGALITE SUR LES ENTRETIENS MATERNITE

Commission EPQS

La CGT est revenue sur les entretiens de départ ou de retour maternité qui sont ponctuellement menés par des ARH chez SGRF.

La direction nous a répondu que “le métier d’Assistant Ressources Humaines chez SGRF a évolué. La réalisation des entretiens de départ ou de retour maternité par leurs soins n’est pas contraire à l’accord égalité”.

Pour la CGT, la direction se doit de respecter les accords signés, au sein de toutes les BU/SU. Ces derniers prévoient que ces entretiens, tout comme les entretiens professionnels, sont faits par les gestionnaires RH (HRBP ou RRH). Si elle veut modifier le processus, la direction doit rediscuter avec les Organisations Syndicales. Il ne s’agit pas, pour nous, de nier les compétences des salariés, argument qu’elle a tenté de nous opposer, mais bien du fait que la direction a trop tendance à appliquer les accords signés, en les interprétant à sa guise, et on finit par s'interroger sur la valeur de sa signature.

 

ACQUISITION DE CONGES PENDANT UN ARRET MALADIE

Commission EPQS

La direction confirme à nouveau qu’elle appliquera la nouvelle loi.  Elle précise que les nouvelles règles impliquent pas mal de développements informatiques qui prennent du temps. Elle prévoit l’application automatique, avec les nouveaux paramètres dans l’outil de la paie, pour début 2025. “En attendant, cela ne veut pas dire qu’on n’appliquera pas la loi avant de manière rétroactive, à compter du 22 avril 2024”.

La direction ne prévoit pas de régularisation automatique, pour les demandes reçues depuis avril 2024, les salariés devront en faire la demande, demande qui sera examinée. La direction confirme que la paie à l'historique des arrêts maladie.

La direction précisera les modalités pour faire la demande, en attendant, il vaut mieux écrire aux RH.

Le process final sera présenté aux IRP. 

NOUVEAUTES AVANCE LOGEMENT

Commission EPQS

Le guide pratique (qui remplace l’instruction de 2007) sur l’Avance Logement nous a été présenté en juin dernier. Il est prévu dans la nouvelle version  : 

  • le relèvement du plafond de l’AVL de 140 000€ à 150 000€ 
  • la mise en application des frais de dossier (-30% du tarif clientèle) Jusqu'à présent, il n’y avait pas de frais de dossier. Pour se mettre en conformité avec la réglementation, la direction va facturer des frais de dossier au personnel (-30% du tarif clientèle - 500€ pour les clients et donc 350€ pour les salariés). 
  • La mise en place d’IRA (indemnité de remboursement anticipé) est prévue dans le cas où le salarié aurait l’idée de rembourser par anticipation pour aller se faire financer par un concurrent. Pour la direction, il s’agit de protéger les intérêts de l’entreprise (des exceptions sont prévues à la règle).

La direction nous confirme qu’elles seront opérationnelles pour le 19 septembre. Le guide Avance Logement sera mis à jour sur le portail RH. 

CPF ET RESTE A CHARGE

Commission Formation

Le reste à charge des salariés pour les formations financées par le Compte Personnel de Formation (CPF) a récemment été modifié. Un décret publié le 29 avril 2024 a fixé ce reste à charge à 100 € par formation, applicable aux salariés depuis le 2 mai 2024. Cette nouvelle réglementation aura un impact considérable sur les salariés.

 La CGT a demandé des précisions sur l'impact de cette mesure, en particulier pour les parcours de langue coconstruits.

La direction a confirmé que les formations partiellement autofinancées par les salariés, comme les parcours de langue, sont considérées comme           « coconstruites » et, par conséquent, exemptées de ce reste à charge.

La CGT a également demandé une communication aux salariés pour les informer de cette nouvelle mesure, en lien avec la mise en application du décret au sein de l'entreprise.      

FORMATIONS REGLEMENTAIRES

Commission Formation

La CGT a soulevé deux points importants concernant les formations obligatoires :

  1. Mise en place des moyens nécessaires pour les formations réglementaires :
    Une demande a été formulée pour que les services disposent des moyens nécessaires et d'une organisation de travail adéquate, permettant aux salariés de réaliser les formations obligatoires. À ce jour, ce problème persiste.

La direction a pris note de cette préoccupation et s'engage à la transmettre aux lignes RH des                                 BU/SU.

  1. Planification des formations pendant les périodes de congés :
    La CGT a également demandé que les congés des salariés soient pris en compte lors de la planification des formations, comme la session reçue le 10 juillet à finaliser pour le 24 août. Cette mauvaise gestion accroît le stress et la pression, tant pour les salariés en congés que ceux en poste.

La direction a indiqué qu'elle prendra contact avec le service concerné pour mieux organiser ces plannings à l'avenir.

FORMATIONS RSE OBLIGATOIRES

Commission Formation

La question des formations RSE a été soulevée car de nombreux salariés reçoivent des rappels pour les formations non réalisées, notamment celle de la                   « formation RSE », considérée comme obligatoire par les managers.

La CGT a demandé des clarifications sur le caractère obligatoire de ces formations pour l'ensemble des salariés et, si c'est le cas, qu'elles soient marquées dans My Learning pour souligner leur nature obligatoire.

La direction a confirmé le caractère obligatoire des formations RSE et a prolongé la date limite pour les réaliser jusqu'à la fin de l'année.

La direction a précisé qu’elles seront prochainement indiquées comme obligatoires dans My Learning.

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

Commission Formation

La CGT a demandé s'il existe une réflexion, sur l'intégration de l'IA dans la formation au sein de Société Générale, notamment sur ses impacts et son rôle dans les processus pédagogiques. 

Nous avons sollicité qu'un point dédié à ce sujet soit abordé lors de la prochaine commission. 

La direction s'est engagée à nous fournir un retour.

 

INCIVILITES ET AGRESSIONS COMMERCIALES SUR LE PREMIER SEMESTRE 2024

Commission SSCT

Il y a eu 556 déclarations d’incivilité tout type confondu, soit 7% de moins que sur la même période en 2023. La Direction évoque une certaine stabilité des chiffres avec toutefois une disparité entre région, notamment sur la région Nord où il y aurait une augmentation des agressions. On ne peut que se fier à leur parole sur le sujet puisque les chiffres ne nous sont communiqués qu’au maillage national.

Les causes d’incivilités restent également stables et sont majoritairement liées au refus de se soumettre à la réglementation et aux règles de fonctionnement SG pour 52% (vs 45% au S1 2023) et au refus de patienter, d’accepter les explications opérations en attente, sans motifs explicites pour 33% (vs 40% au S1 2023).

La nature des faits se caractérise à 83% par des menaces et des injures contre 85% pour le premier semestre de l’année 2023.

Il a été recensé 18 agressions de type 4 et 5 (agressions physiques sans ou avec arrêt de travail) contre 15 en 2023, sur la même période.

Une tentative de hold-up a eu lieu sur le mois de mai sur la DCR de Versailles. Il n’y a eu aucune attaque DABiste, voiture bélier ni attaque de distributeurs SG (hors présence de salariés).

La CGT a de nouveau réaffirmé sa demande de modifier le contenu de certains courriers adressés aux clients qui sont à ce jour trop juridiques, pas assez commerciaux et peuvent paraître violent pour les clients. Nous avons également demandé à ce que les commerciaux puissent avoir de nouveau la main sur certains process automatiques afin que lorsque le client fait la démarche de prévenir de sa situation, il ne reçoive pas un courrier pouvant provoquer une sensation de non écoute de la part de son interlocuteur habituel (exemple lors du traitement automatique du NACRE).

STATISTIQUES ETE 2024     

Commission Vacances Familles

Traitement des dossiers

Statistiques à fin Août

2024

2023

2022

Dossiers affectés

5165

5402

4406

Dossiers annulés

407

391

380

Dossiers refusés

2631

2676

2831

Dont 1 choix

805

897

942

Dont autres choix

1826

1779

1889

Tx de refusés/affectés

50,94%

49,54%

64,25%

Total Participants

20368

21258

17301

Total Participants adultes

11415

11839

9708

Total Participants enfants

8953

9419

7593

Nbre de logements catalogue

1263

1329

1069

Disponibilités par semaine sur la période rouge 2024

1263 linéaires mis à disposition des collègues durant juillet août 2024

 

Semaine

06/07

13/07

20/07

27/07

Dispos

188

107

34

50

Tx dispos

14,89%

8,47%

2,69%

3,96%

03/08

10/08

17/08

24/08

Total

16

15

26

116

552

1,27%

1,19%

2,06%

9,18%

5,46%

 

Pour juillet et août 2025, 1302 linéaires positionnés (au 12/09/2024)

(1395 linéaires toutes périodes confondues avec hiver, printemps, été, toussaint)

 

La CGT a rappelé la nécessité d’arrêter la priorisation des modules de 15 jours au détriment des inscriptions à la semaine.

La pratique actuelle ne permet pas de réduire le nombre de refus et impacte le nombre de linéaires non pourvus notamment sur la semaine du 14 juillet.

Historiquement la 1ère semaine de juillet et dernière semaine d’août sont décrochées en taux d’occupation vis à vis des autres semaines.

INTEGRATION DES NOUVEAUX CENTRES DE VACANCES ETE

Commission Vacances Famille

  • Les entrants :
  • Région Occitanie

   Les Gorges de la Truyère Goélia 10 Appt 4 pers.et 3 appt 6 pers. (12140 Entraygues-Sur-Truyere)

   Pays de Cordes sur Ciel Huttopia 12 chalets 2ch et 3 3ch (81170 Vindrac Alayrac)

  • Région Nouvelle-Aquitaine.

   Les Ilates Flower camping Ile de Ré 12 Mh 4 pers + 3 Mh de 6 pers (17111 Loix)

   Le Carbonnier Sandaya 15 Mh 2ch et 5 Mh 3ch (24250 Saint-Martial-de-Nabirat)

   Residence Nemea Rives De St Brice 5 maisonnettes 4 pers.+ 5 maisonnettes 6 pers.(33740 Arès)

   Biscarosse- Navarros Plage MS Vacances 12 Mh de 4 pers + 3 Mh de 6 pers (40600 Biscarrosse)

  • Région Bretagne

   Fréhel Résidence Cap Green Lagrange 10 appt 4 pers et 3 appt 6 pers (22240 Frehel)

  • Région Normandie

   Genêts Mt St Michel Sandaya 10 Mh 2ch et 3 3ch (50530 Genêts)

   L’anse de Brick Maupertus Sandaya 12 Mh 2ch (50330 Maupertus-sur-Mer)

  • Région Hauts de France

   Mers les Bains Goélia 10 appt 4 pers. + 3 appt 6 pers.(80350 Mers-Les-Bains)

  • Les centres de vacances été sortants confirmés

Huttopia Baie du Mont St Michel

Huttopia Strasbourg

Huttopia Angers

Privé St Valery sur Somme

Privé Montbrun Ste Enimie

Goélia Le Victoria Blonville sur Mer

Goélia Le Royal Cap Villeneuve Loubet

Goélia La Grande Plage St Gilles Croix de Vie

Sunêlia l’Aiguille Creuse Étretat

Poppins Beaulieu sur Dordogne

POINT FINANCIER CSEC VACANCES FAMILLES

Commission Vacances Famille

Le budget global pour 2025 s'élèvera à 9MEUR

A ce budget, une rallonge supplémentaire de 460K EUR pour permettre l’acquisition de linéaires supplémentaires sur la période spécifique des 4 semaines du 19 juillet au 16 août.

La CGT a rappelé que ces linéaires supplémentaires devront être sur les mêmes lieux et type de linéaires afin de conserver l’équité entre les collègues quelle que soit sa ou ses dates de départs en vacances avec le CSEC.

VACANCES FAMILLES : LES SUJETS DE FONDS PORTES PAR LA CGT

Commission Vacances Famille

A l’occasion de cette première session de travaux de la nouvelle mandature du CSEC, la CGT a rappelé les thématiques qu’elle porte sur le sujet des Vacances Familles :

  • L’inscription à la semaine Vs Module de 15 jours prioritaires (avec toujours la possibilité de souscrire 3 semaines durant la période rouge été)
  • Élargissement des centres de vacances accessibles fin juin et début septembre
  • Privilégier l’hôtellerie de plein-air (camping) aux résidences

COLONIES HIVER-PRINTEMPS 2025 : BIENTOT LES INSCRIPTIONS

Commission Vacances Enfants

Le catalogue HIVER-PRINTEMPS 2025 sera disponible au plus tard fin septembre 2024. Les inscriptions seront prises en compte jusqu’au lundi 21 octobre 2024.

 

Dates de séjours HIVER 2025 (en fonction de votre zone académique) :

ZONE B :         Du 15 au 22 février 2025

ZONE C/A :     Du 22 février au 1er mars 2025

Dates de séjours PRINTEMPS 2025 (en fonction de votre zone académique) :

ZONE B :        Du 12 au 19 avril 2025

ZONE C/A :    Du 19 avril au 26 avril 2025

La commission maintient la politique du zéro refus uniquement sur les choix multiples. Cette politique garantit que : bien qu’aucune inscription automatique sur l’un des trois choix initiaux ne soit effectuée, tout refus permettra un accès aux disponibilités restantes dans la tranche d’âge concernée. Si votre enfant a fait un choix unique et n’est pas sélectionné, aucune autre proposition de séjour ne sera faite. Il est donc fortement recommandé de faire trois choix de séjours.

SANTE ET HANDICAP

Commission Vacances Enfants

SANTÉ ET HANDICAP : CE N’EST PAS UN CRITÈRE DE REFUS, EN PARLER C’EST FACILITER SON INCLUSION

Selon le degré et la nature du problème de santé, et après un entretien téléphonique avec le service Vacances Enfants & Adolescents, le CSEC SG et l’équipe d’encadrement détermineront les possibilités d’insertion, la mise à disposition éventuelle d'un animateur dédié (à la charge du CSEC SG) et la structure d’accueil la mieux adaptée.

Vous devez absolument signaler tout souci de santé ou de comportement au moment de l’inscription.

 

SUBVENTION BAFA

Commission Vacances Enfants

Le CSEC SG reconduit sa participation financière pour permettre à vos enfants de suivre, selon leur désir, une formation diplômante afin d’accéder à la fonction d’animateur en centre de vacances (Brevet Aptitude à la Fonction d’Animateur). Il sera laissé la liberté à chacun de s’inscrire aux lieux et dates de son choix, dans des organismes de formation agréés Jeunesse et Sports (se renseigner auprès de la DDJS de votre département).

Qui est concerné ?      
La subvention du CSEC SG s’applique aux enfants du personnel SG, à charge fiscalement et à partir de 16 ans. Pour les enfants de couple divorcé ou séparé, non à charge fiscalement du salarié SG, une attestation de versement de pension alimentaire sera exigée pour prétendre à la subvention. Pour rappel, la CAF peut vous accorder une aide financière dès confirmation de votre inscription.

Pour télécharger le formulaire de demande :

https://csec-sg.net/stage-bafa/

POLITIQUE DE SOLIDARITE DU CSEC

Commissions Vacances Famille et Enfants

Nous vous rappelons que le CSEC SG dispose d’une politique de solidarité afin de permettre à chaque famille ou enfant de pouvoir prétendre à un séjour de vacances quels que soient le problème ou la situation financière de la famille.

N'hésitez pas à vous rapprocher de votre assistant social ou d’un élu CGT

CSEC 17 Septembre 2024
Compte rendu des commissions de travail du Csec du 4 au 7 Juin

Compte rendu des commissions de travail du Csec du 4 au 7 Juin


COMMISSIONS DE TRAVAIL CSEC - 14 JUIN 2024 

Table des matières


PROGRAMME TEMPS COLLABORATEUR : UN VASTE PROJET D’AUTOMATISATIONS POUR LIBERER DU TEMPS COMMERCIAL. 2
LAD / DELEGATIONS DE POUVOIR : 2
DEPLOIEMENT PAULA. 2
ARRET DE NOVADIS. 2
ACTIVITE PRETS IMMOBILIERS. 3
TELETRAVAIL. 3
PRESENTATION DES INITIATIVES PARENTALITE MISES EN PLACE PAR SGRF. 3

INFORMATION RAPPORT EGALITE 2023. 4
* REMUNERATION.. 4
* DURÉE ET ORGANISATION DU TRAVAIL : les temps partiels, démissions, ruptures périodes d'essais en augmentation. 4

SALARIES EN DIFFICULTE FINANCIERE - SUIVI SUR LA NOTE D'EMILE NOEBES : 4

MISE A JOUR DU GUIDE PRATIQUE AVANCE LOGEMENT (ex-instruction AVL) 5
Le relèvement du plafond de l’AVL de 140 000€ à 150 000€ pour la fin 2024. 5

EVOLUTION DU PASSAGE AU STATUT CADRE DANS LES BU/SU DES SERVICES CENTRAUX. 5
- Evolution en dehors du poste actuel (mobilité) 6
- Evolution sur le poste actuel : 6

PASSAGE AU STATUT CADRE DES GRC.. 6
BILAN 2023 DES INTERVENTIONS FRANCE VICTIMES. 6
STATISTIQUES 2023 SUR LES COMPORTEMENTS INAPPROPRIES. 7
CAMPAGNE MY BCM.. 8

TARIFICATION VACANCES FAMILLES. 8
RENOUVELLEMENT DES LINEAIRES POUR L'ETE 2025. 8

VACANCES FAMILLE ETE 2024. 8
BUDGET VACANCES FAMILLES 2025. 9
VACANCES ENFANTS ETE 2024. 9

 

SOMMAIRE

Commission Economique :
- Programme temps collaborateur
- LAD/délégations de pouvoirs
- Déploiement Paula
- Arrêt de Novadis
- Activité prêts immobiliers

EPQS :
- Télétravail
- Présentation d'un nouveau dispositif parentalité
- Rapport égalité Femme/Homme 2023
- Salariés en situation financière délicate
- Nouveautés sur l’Avance logement
- Nouveau process passage cadre dans les services centraux
- Passage des GRC au statut cadre

SSCT :
- Bilan 2023 France Victimes
- Statistiques 2023 sur les comportements inappropriés
- Point sur My BCM

Vacances Familles :
- Tarification
- Renouvellement linéaires été 2025
- Disponibilités et statistiques Eté 2024
- Budget 2025
- Statistiques été 2024

Vacances Enfants :
- Colonies Eté 2024

PROGRAMME TEMPS COLLABORATEUR : UN VASTE PROJET D’AUTOMATISATIONS POUR LIBERER DU TEMPS COMMERCIAL

Commission Economique

Le programme temps collaborateur vise à optimiser le temps d'interaction entre les collaborateurs en agence et les clients pour augmenter les ventes. Il se concentre sur deux grandes catégories de temps : le temps client (avant-vente, vente, après-vente) et le temps périphérique (formation, RH, risques, organisation). L'objectif est de simplifier les tâches non liées directement à la vente pour libérer plus de temps pour les interactions clients.

Une mesure initiale a été réalisée en 2023, renouvelée entre mars et avril sur un panel étendu à 11 régions et 17 métiers. Le programme prévoit deux évaluations annuelles pour suivre l'évolution et la satisfaction des collaborateurs. Depuis janvier, le programme a inclus de nouveaux métiers afin d’adresser également cette démarche sur des populations telles que : DG, CAE ESI, DCC, GRC et RGRC.

Les initiatives incluent la digitalisation, l'autonomisation des clients via des outils en ligne et la simplification des processus. Par exemple, l'extension des signatures électroniques, la souscription en ligne et la réduction des exigences contractuelles. L'amélioration de la prise de rendez-vous est ciblée, surtout pour les conseillers et les banquiers patrimoniaux, en utilisant le parcours SG Agenda pour faciliter la prise de rendez-vous avec des automatisations et des règles de gestion en place.

Voici quelques exemples de projets déployés dans ce cadre :

  • Extension du parcours « sans couture » à l’épargne
  • Pré-rédaction automatique du dossier de crédit CliCom avec CRED@P>
  • Chargement automatique des relevés SG dans IPPI
  • Nouvelles offres/actes éligibles à la signature électronique ou à la souscription full on line
  • Abandon de l’exigence d’avenant si modification marginale d’un financement en leasing
  • Suppression de points de contrôle de supervision managériale.

Les résultats et les nouvelles livraisons sont communiqués mensuellement aux régions, avec des focus sur les améliorations spécifiques et les leviers transverses identifiés comme prioritaires pour la satisfaction des clients et des collaborateurs.

Afin de s’assurer qu’aucune dérive ne puisse s’immiscer dans ce programme, les commissaires CGT ont demandé à ce qu’un point à date soit effectué devant le CSEC avant le déploiement généralisé de ce projet. Le rendez-vous est donc pris à la session de novembre afin de faire un nouveau point d’étape.

LAD / DELEGATIONS DE POUVOIR :

Commission Economique

Vous avez été plusieurs à nous interroger : certains d’entre vous ont reçu un mail les informant de la modification ou de la suppression de leur délégation de pouvoirs. Ce n’est pas une remise en cause de vos LAD (Limites à Divers) : on vous explique tout  

  • Limites à Divers (ou LAD) : c’est un document qui vous est remis à votre prise de poste et qui vous indique les montants maxi d’engagements que vous pouvez octroyer à vos clients et qui restent à votre main. Au-delà de ces montants, en fonction de la catégorie de financement et des garanties adossées, vous devez suivre la chaîne de décision risques.
  • Délégation de pouvoirs : en fonction de votre métier vous pouvez avoir une délégation de pouvoirs. Cette délégation vous autorise à signer un document pour faire représenter l’entreprise par un tiers : par exemple lorsque l’intervention de la banque est nécessaire à la signature d’un acte authentique, vous signez une délégation de pouvoirs pour éviter qu’un représentant de la banque ne se déplace lors de la signature. Par exemple, c’est très souvent le cas, chez un notaire lorsque la banque finance un bien immobilier avec une IPPD (inscription en privilège de prêteur de deniers) : la banque doit intervenir à l’acte et fait une délégation de pouvoirs en faveur d’un clerc de notaire de l’étude.

Nous avons fait part de la confusion que générait le mail reçu par les salariés, faisant référence à une nouvelle instruction mais non explicitée, et demandé que ce point soit clarifié auprès de tous.

DEPLOIEMENT PAULA

Commission Economique

Cash Services commence à changer des équipements sur des bornes de remises de chèques. Les nouvelles bornes seront en capacité de scanner les remises des chèques (avec une capacité pour traiter au maximum 250 chèques par remise). Ce déploiement ne se fera que sur les sites Cash Services.

Cette information nous étant parvenue en séance, nous avons posé la question de savoir si ce nouveau dispositif allait raccourcir le délai de crédit en compte, point sur lequel la direction nous reviendra.

ARRET DE NOVADIS

Commission Economique

NOVADIS est une solution qui a été mise en place en 2008 pour externaliser les traitements des virements. La direction est face à une obsolescence technique de l’outil NOVADIS, assuré par TESSY, fournisseur qui ne sera pas reconduit. Le service va être réinternalisé.

Cela représente environ 120 000 opérations à traiter par an. Le traitement des virements étrangers sera développé et amélioré, ce qui permettra de faire baisser les volumes d’environ 20 000 opérations par an.

La charge de travail escomptée représente entre 0,5 et 0,8 ETP par CDS ou AEP en fonction des volumes. Néanmoins, il n’y aura pas d’augmentation des plafonds d’effectifs budgétaires dans les CDS ou les AEP.

ACTIVITE PRETS IMMOBILIERS

Commission Economique

La direction a présenté un point sur l’activité sur les crédits immobiliers. En 2024, SGRF est revenu sur le marché et s’est appuyé sur les courtiers pour faire son retour.

Cependant, le marché ne repart pas dans les proportions attendues en début d’année. Depuis février on est sur un plateau. Il n’y a pas de redémarrage tel que la direction l’imaginait.

Le marché est tenu par les banques mutualistes dans une proportion très significative. Les parts de marché des banques généralistes sont passées de 31% en 2022 à 32% en 2023. SG se situe à 10PB (points de base) de plus que les mutualistes et ressort comme étant la banque la plus compétitive des banques généralistes.

Le marché reste atone et on ne parvient pas à retrouver les niveaux de production d’avant. La production reste stable comparée à nos confrères. Les marges restent limitées et une grosse partie se fait par rapport à la DIT (où nous sommes fortement concurrencés par…les courtiers eux-mêmes).

TELETRAVAIL  

Commission EPQS

En prévision de la future commission de suivi de l’accord télétravail (TT) qui se tient en septembre de chaque année, concernant les échanges autour des évolutions envisagées sur les modalités de TT, notamment une demande formulée à la précédente commission de suivi (pour laquelle nous n’avons jamais eu de réponse) sur le passage d'un à deux jours de télétravail pour les CAR, la CGT a remis le sujet sur la table afin que la direction ait le temps d’aller voir les lignes métiers et donne une réponse en commission de suivi à la rentrée. Il n’est pas concevable pour nous que les réunions se succèdent d’année en année, sans que les réponses soient apportées.

PRESENTATION DES INITIATIVES PARENTALITE MISES EN PLACE PAR SGRF 

Commission EPQS

La direction est venue présenter un dispositif, concernant la parentalité, inspiré de celui de GBIS, qu’elle juge important et positif.

Nous avons fait remarquer en préambule, que le dispositif GBIS, bien que présenté lors de la négociation sur le renouvellement de l’accord Égalité, afin de l’inclure dans le nouvel accord, avait été retoqué par les organisations syndicales, au titre que le rôle de l’entreprise était d’appliquer les dispositifs et mesures inclus dans le texte de l’accord.

SGRF a mis en place des pilotes sur la région SG-Crédit du Nord et Grand-Ouest, qu’elle estime être concluants et a donc décidé de généraliser sur l’ensemble de SGRF.

Le principe : proposer plusieurs initiatives basées avant tout sur le volontariat pour accompagner les salariés qui le souhaitent dans ce moment de vie important et parfois bouleversant qu’est la parentalité. 

Divers ateliers (en distanciel) sont proposés : 

- Atelier de préparation au congé maternité intitulé “Before leaving”:

Objectif : proposer aux futures mamans d’aborder le début de leur maternité de façon chronologique et d’en anticiper chaque étape sur le plan professionnel et personnel.

- Atelier retour congés maternité et paternité intitulé “Welcome back” :

Objectif : accompagner les nouveaux parents de l’entreprise en leur proposant un atelier de développement personnel animé par des experts de la parentalité et de l’articulation des sphères personnelles et professionnelles.

D’après la direction de SGRF, cet accompagnement ne remplacera pas l’accompagnement RH. (Il ne manquerait plus que ça…).

SGRF a lancé début 2024 les premiers ateliers « Before leaving » pour les femmes et quelques sessions de retour de congés maternité et paternité.

Sur la partie Welcome Back, la direction avoue avoir du mal à lancer les groupes. Il a été convenu avec le partenaire d’avoir au moins 5 participants. L’atelier a donc été reporté. Du coup, la direction réfléchit à mieux communiquer et à inviter les pères en amont et pense qu’elle doit s’améliorer en communication... Comme si cela n'était qu'un problème de communication ! 

Elle a précisé que la proposition de participer aux ateliers est faite aux salariées par la RH lors de l’entretien prévu avant le départ en congé maternité.

Pour SGRF, « les premiers échos sont plutôt favorables et on a bien l’impression de continuer sur cette voie ». Alors qu'elle nous explique avoir du mal à maintenir les groupes faute d'inscrits. 

Pour la CGT, d’une part la direction sort clairement du rôle de l’employeur dans ces initiatives. Elle a la responsabilité d’appliquer les mesures de l’accord Egalité et elle n’est toujours pas aux attentes sur ce sujet, alors pourquoi créer des bidules soi-disant complémentaires ?

Il faudrait déjà, par exemple, que l’aménagement de l’organisation du travail des femmes en situation de grossesse soit respecté et appliqué, que les entretiens avant départ en congé maternité et 3 mois avant le retour dans l’entreprise soient faits à 100%, que les demandes de retour à temps partiels soient prises en compte sérieusement, que la neutralisation de l’impact des absences liées à la maternité pour la détermination de la part variable soit appliquée pour toutes les salariés … et bien d’autres sujets.

D’autre part, la direction nous a informés en avril qu’elle arrête le dispositif de crèches pour une question de coûts et elle revient nous présenter un truc qu’on n’a pas demandé sans même parler budget. Elle s'est donc engagée à nous revenir sur le coût de ce dispositif.

 

INFORMATION RAPPORT EGALITE 2023  

Commission EPQS

La direction est venue présenter le rapport égalité entre les Femmes et les Hommes sur l’exercice 2023.

Rapport attendu tant par la CGT que par les salariés après un exercice complet post fusion CDN/SG.

Toutefois, le 1er Juillet se déroulera la commission de suivi de l’accord égalité F/H et la direction s'est engagée à fournir des grilles réactualisées non pas avec la médiane mais la moyenne des RAGB.

Vos élus CGT vous invitent à prendre connaissance des grilles actuelles et des prochaines diffusées par nos soins en juillet. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des interrogations ou, que vous estimez être en décalage avec vos pairs.

Quelques chiffres et éléments clefs en complément :

* REMUNERATION

Le constat est qu’il n’est pas toujours simple de s’y retrouver et de se comparer à ses pairs.

Les directions entretiennent ce flou artistique depuis des années, en effet bien heureux celui qui arrivera à se repérer si on ne lui donne pas toutes les cartes en main. Cela relève trop souvent du parcours du combattant pour savoir comment se situer, on parle parfois lors d’entretien RH de médiane, de moyenne, de révision dans le cadre de l’égalité F/H ou de promotion mais sans donner les tableaux.

Les salariés attendent beaucoup de la parution des nouvelles grilles de rémunération qui doivent s'harmoniser en juillet avec le nouveau mode de calcul que promet la direction depuis 1 an .

Pour rappel, la direction propose de changer de méthodologie afin d’identifier les écarts salariaux (passer de la médiane à la moyenne...) suite à une directive européenne et à une condamnation de la BNPP sur la non prise en compte de la rémunération variable dans la détection des écarts salariaux).

* DURÉE ET ORGANISATION DU TRAVAIL : les temps partiels, démissions, ruptures périodes d'essais en augmentation

Sur l’exercice 2022, les salariés à temps partiel représentaient 10,4% de l’effectif rémunéré. Sur l’exercice 2023, les temps partiels représentent 9,83% (4529 salariés) de l’effectif rémunéré. La CGT a interpellé la direction sur ce constat ( 4174 femmes et 355 hommes sont à temps partiels en 2023).

En effet, le nombre de femmes augmente dans l’effectif mais le nombre de  salariés à temps partiel diminue. Un des constats des élus CGT est qu'un grand nombre des demandes de temps partiels ne sont pas remontées par le N+1. Pour le réseau d’agences par exemple, il est trop souvent entendu l'impossibilité de mettre en place un temps partiel du fait des agences à 2 ou 3 et que cela entrave l’activité de l’agence… Ce type de discours n’est pas entendable. N'hésitez pas à contacter vos élus CGT en cas de besoin.

Sur le sujet des départs de l’entreprise en 2023, nous constatons au total 9519 départs.

-> 4552 départs CDI dont  2140 démissions qui sont en hausse de 16%. Cela touche plus les cadres que les TMB (taux de démissions des cadres de 4,5% contre 3,8% pour les TMB).

->Hausse des départs avant la fin de période d’essai. Cela concerne autant les femmes que les hommes. 2/3 sont sur décision de l’employeur et 1/3 salarié.

 

 

 

SALARIES EN DIFFICULTE FINANCIERE - SUIVI SUR LA NOTE D'EMILE NOEBES :

Commission EPQS

La CGT a rappelé la problématique de la méconnaissance ou de la non application de l’instruction donnée de ne pas alourdir la situation financière des salariés en difficulté financière ou en situation de surendettement. La direction nous a répondu en séance plénière de mai dernier que : « La difficulté est importante, le dispositif n’est pas assez connu, je vous rejoins. L’instruction fixe le principe mais il est difficile de le faire appliquer, nous allons faire passer le message à nouveau ». La direction doit nous éclairer sur les actions qu’elle compte mettre en place afin de faire connaître ce principe, qui, pour rappel, se trouve sur l’instruction/guide pratique sur les CAVP.  La direction a proposé de partager avec la commission le rappel qui sera envoyé au sein de SGRF. 

MISE A JOUR DU GUIDE PRATIQUE AVANCE LOGEMENT (ex-instruction AVL) 

Commission EPQS

La CGT avait demandé par deux fois, lors des Négociations annuelles Obligatoires (NAO) et ensuite lors de la négociation sur les mesures concernant la réorganisation des Services Centraux Parisiens (1050 suppressions de postes), la revalorisation du montant de l’Avance Logement (AVL), compte tenu de la hausse des taux d’intérêt et du niveau élevé de l’inflation. 

Nous avions également constaté que l’instruction Avance Logement avait disparu du portail RH sans justification et nous avions demandé à la direction sa remise en ligne. Il nous avait été répondu qu’une mise à jour était en cours. 

La direction est donc venue nous présenter le guide pratique (qui remplace l’instruction du 24/10/2007) mis à jour, qui sera publié sur le portail RH et sur ATLAS. Il apporte des évolutions d’ordre réglementaires ou juridiques. Il s’agit également, selon la direction, de se mettre en conformité avec la réglementation URSSAF (qui impose d’accorder des avantages tarifaires, uniquement aux salariés de l’entreprise, qui ne peuvent pas dépasser 30%). 

  • La clause d’exigibilité ou de transformation de l’AVL en PPI en cas de cessation du contrat de travail : l’agence proposera dans ce cas la transformation en PPI au taux de l’offre initiale augmenté de 30%. 
  • La période d’essai a évolué et la condition d’éligibilité est maintenant que la période d’essai doit avoir été validée pour bénéficier de l’AVL. 
  • Le guide apporte des clarifications sur les populations éligibles : les salariés SGPM, en CDI (y compris les salariés détachés). Ils doivent détenir un compte à vue du personnel (CAVP), afin de bénéficier des avantages tarifaires réservés aux salariés. 

Le guide intègre également : 

  • La formalisation de la suppression du nombre de tirages autorisés. La direction précise que cela avait été aboli en 2019 mais jamais écrit. Dorénavant, cela est formalisé dans le guide : le salarié peut faire autant d’AVL dans sa carrière qu’il le souhaite, à condition de ne pas en avoir 2 en même temps. 
  • La mise en application des frais de dossier (-30% du tarif clientèle) et d’IRA (indemnité de remboursement anticipé) : appliqués à partir du T2 2024. Jusqu'à présent, il n’y avait pas de frais de dossier. Pour se mettre en conformité avec la réglementation, la direction va facturer des frais de dossier au personnel (-30% du tarif clientèle - 500€ pour les clients et donc 350€ pour les salariés). La mise en place d’IRA est prévue dans le cas où le salarié aurait l’idée de rembourser par anticipation pour aller se faire financer par un concurrent. Pour la direction, il s’agit de protéger les intérêts de l’entreprise (des exceptions sont prévues à la règle).

Le guide apporte quand même 2 décisions positives : 

Le relèvement du plafond de l’AVL de 140 000€ à 150 000€ pour la fin 2024

  • La possibilité de déroger sur le prêt complémentaire ou prêt sec pour le personnel SG dans les limites commerciales appliquées aux financements de la clientèle, à partir du 1er juin 2024

Interpellée par la CGT sur l’existence d’une nouvelle analyse de risque pour les salariés qui quittent le Groupe, avant de transformer l’AVL en PPI, afin de ne pas mettre une personne en difficulté, la direction a répondu qu’elle allait regarder et nous revenir.

N'hésitez pas à contacter vos élus CGT pour toutes questions.

 

 

EVOLUTION DU PASSAGE AU STATUT CADRE DANS LES BU/SU DES SERVICES CENTRAUX

Commission EPQS

Actuellement c’est Compétences Cadres qui est le dispositif de promotion au sein des Services Centraux.  

Les enjeux des évolutions :

L’objectif pour la direction est d’avoir une homogénéité avec SGRF, en tenant compte des spécificités des centraux, à savoir qu’il n'y a pas de Comité de perspectives et que les postes y sont beaucoup plus diversifiés.

Il s’agit de s’appuyer sur la RH et le manager. La direction souhaite poursuivre la démarche de simplification des process et raccourcir le délai de prise de décision, confirmer la légitimité et la responsabilité de la RH et de la ligne managériale dans l’appréciation des compétences du collaborateur et affirmer le rôle du manager dans l’accompagnement du collaborateur.

2 cas de figure :

- Evolution en dehors du poste actuel (mobilité) : il faut informer la RH de son souhait de mobilité. Vérification de son expérience réussie (2 PDP au-dessus des attentes et 0 en dessous des attentes). La RH va formaliser un avis avec le manager. Une fois la validation faite, le salarié va postuler, via la BDE, sur un poste de cadre.

La prise de décision se fait entre manager et RH qui regardent si la personne convient pour le poste et son aptitude à évoluer sur d’autres postes de cadre par la suite. Une réponse est faite (positive et négative). L’intérêt est que le salarié ait tous les feed back pour progresser dans sa démarche. Si validation positive, elle peut être accompagnée par un plan de formation.

- Evolution sur le poste actuel : cela nécessite l’acquisition de nouvelles compétences, que le poste soit enrichi, par le biais d’un projet par exemple. Si le poste ne peut pas être élargi au statut cadre, le salarié devra évoluer sur un autre poste. 

* Ce qui change :        
- Suppression de la lettre de candidature : le salarié indiquera uniquement qu’il est TMB quand il postulera sur la BDE (Bourse des Emplois).        
- Suppression de la mise en situation et de l’étape de jury en session de validation.   

Ce qui ne change pas :          
- L’accès aux métiers cadres basé sur l’analyse des compétences attendues sur le poste visé.
- L’importance accordée à l’évolution sur un niveau cadre du fait de ses enjeux pour le salarié et l’entreprise.
- Démarche accessible à tout salarié justifiant d’au moins une expérience réussie chez Société Générale.
- Nécessaire mobilisation du salarié, du manager et du RH dans le processus  Importance donnée à l’accompagnement et à la formation des collaborateurs notamment au travers d’un Plan de Développement Individualisé. 

Calendrier prévu : Mise en œuvre au 1er janvier 2025 afin de laisser le temps aux sessions de passage cadre de se terminer. Ce qui laisse aussi le temps de mettre à jour les process et donner toutes les informations sur le nouveau processus. 

Interrogée par la Cgt, la direction indique qu’elle ne s’est pas fixé d’objectifs à atteindre quant à un volume de passages cadres mais que néanmoins les lignes RH et managériales consultées étaient impatientes de se saisir de ce nouveau format pour fluidifier et simplifier le format existant. L’objectif est d’avoir un dispositif plus souple, pas forcément de faire plus de passages cadres. La direction va demander aux RH leurs retours pour ajuster si besoin. 

Nous avons interpellé la direction sur les zones grises qui méritaient d’être révisées : 

  • Sur la notion des deux exercices réussis avec une appréciation de tenue de poste au-dessus des attentes sauf situations particulières : la notion de poste réussi pouvait l’être aussi avec une appréciation au niveau des attentes comme il y avait lieu de préciser ce que la direction entendait par des situations particulières. 

En l’état, les notations supérieures aux attentes étaient un obstacle de taille qui allait diminuer très sensiblement les candidats à un passage cadre dès lors qu’elles n'étaient pas la seule condition à remplir. 

La direction indique qu’elle révisera au besoin cette condition en fonction des effets qu’elle constatera dans cette phase test. Que les conditions particulières mentionnées (sans être à date précisée donc) permettraient de passer outre. A l’image d’une RH qui pourrait intervenir si elle constate que les notations managériales avaient été trop strictes dixit la direction à titre d’exemple. 

  • Sur le parcours qui permettrait à un salarié d’obtenir sa classification lors d’un changement de poste, le process nous semble aussi, voire plus complexe que le précédent. Plus de jury mais pas moins de 4 personnes (2 dans l’entité de départ, 2 dans l’entité d’arrivée) pour valider la classification cadre. Ceci sur des bases qui ne garantissent pas la bonne analyse du profil et des compétences du candidat. L’entité d’accueil étant celle qui prendrait la décision finale. 

La Cgt préconise que ce soit l’entité de départ, qui connaît le mieux les capacités et qualités du salarié, qui décide du passage cadre avant de le laisser postuler à des offres de ce niveau et / ou de lui ouvrir des opportunités au sein de l’entité.  

  • Sur le parcours où le candidat changerait de classification en restant sur le même poste, la direction, à la demande de la Cgt, a précisé que la demande du salarié d’accéder à la classification cadre pouvait intervenir à tout moment de l’année (mais qu’elle pouvait aussi émaner de la ligne managériale ou RH qui détecterait le potentiel du salarié). Que cette demande pouvait être traitée dans des délais raccourcis sans avoir à attendre l’exercice annuel des EAS. 

Un suivi des résultats sera présenté en Commission EPQS un an après le déploiement de ce nouveau process.

PASSAGE AU STATUT CADRE DES GRC  

Commission EPQS

Le directeur des relations sociales de SGRF, que nous avions interpellé en plénière de février dernier, devait revenir vers nous concernant le processus de passage cadre des GRC encore TMB : nous sommes toujours en attente d’un retour mais il faudrait maintenant amorcer le processus au moins pour les situations les plus criantes.

 

 

BILAN 2023 DES INTERVENTIONS FRANCE VICTIMES

Commission SSCT

Saisines RRH et numéro dédié :

45 sollicitations (demandes d’interventions) VS 48 (2022) soit une diminution de 6%.

Ce sont 16 saisines adressées à France Victime (10 saisines individuelles et 6 saisines collectives) et 29 appels des salariés sur le numéro dédié. La volumétrie est, aux yeux de la Direction, globalement similaire aux années précédentes.

La cartographie des 16 saisines adressées à France Victimes est répartie de la façon suivante :  5 concernent le secteur de l’Ile de France ; 2 sur le Nord-Ouest ; 7 pour le Sud-Est et 2 dans le Sud-Ouest.

Les faits à l’origine des saisines concernent des agressions commerciales pour la majorité.

Concernant les autres faits, il nous est souligné des dégradations suite à une manifestation de rue et un accident de la route.

Agressions commerciales remontées par France Victimes via le numéro dédié :

Il est remonté le nombre de 24 appels répertoriés de la façon suivante : 8 % concernent des agressions physiques (vs 9,1 % en 2022), 4 % concernent des agressions sexistes et sexuelles et 88 % (vs 63,6 % en 2022) pour des agressions verbales (faits de menaces et injures).

La répartition cartographique des appels vers le numéro dédié de France Victimes est la suivante : Bouches-du Rhône, Rhône, Paris, et l’Isère.

Dans 93.5 % des cas, France Victimes saisit l’association locale le jour même de la saisine.

Modalités de la prise en charge :

Concernant l'accompagnement via France Victime : 39 salariés ont été identifiés comme étant victimes directes des faits concernés, 32 salariés ont été pris en charge par le réseau France Victimes. La Direction nous informe du nombre de 34 entretiens réalisés par les associations France Victimes (3 interventions collectives, 1 entretien juridique et 30 entretiens psychologiques).

La CGT note une diminution globale des saisines France Victimes, comment expliquer dans ce cas cette diminution ? En effet, les agressions commerciales continuent leur progression au sein du groupe SG. Les IAC (incivilités et agressions commerciales type 4 et 5 ont même doublé, comment l’expliquer ?

Pour la Direction, elle n’a pas l’explication, si ce n’est que la progression observée par les commissaires viendrait des suites de la fusion. En effet, en 2022 le Crédit du Nord n’y figurait pas. Pour elle, la fusion expliquerait l’augmentation des incivilités (le Crédit du Nord ne faisant pas appel à France Victimes avant la fusion).

La CGT a souhaité savoir si le dispositif était bien promu et communiqué par tous.  La Direction confirme. 

Nous avons également demandé si au-delà de l’accompagnement psychologique, un accompagne-ment juridique pouvait être fait auprès du salarié en cas de besoin ? Réponse : Oui, cela peut être fait à la demande.

Pour aller plus loin, nous avons demandé si dans le cas où un salarié souhaite porter plainte, SOCIETE GENERALE dispose d’un dispositif permettant à un salarié d’être accompagné dans la démarche juridique. Selon la Direction, pour chaque salarié le souhaitant, il y a une possibilité d’être accompagné par le service juridique en cas de dépôt de plainte.

France victimes vous écoute 7J/7 de 9h à 21h en toute confidentialité et vous propose, en proximité, une prise en charge adaptée à votre situation.

Vous pouvez contacter le 01 80 52 33 54.

 

 

 

STATISTIQUES 2023 SUR LES COMPORTEMENTS INAPPROPRIES

Commission SSCT

La Direction a présenté le bilan statistique concernant les comportements inappropriés :

Nombre d’allégations recevables sur l’année 2023 : 142 alertes (98 hors outil Whistleblowing groupe et 44 dans l’outil WB groupe) soit +12% par rapport à l’année dernière.

Pour la totalité des dossiers, nature des allégations de l’alerte, le Harcèlement moral arrive en tête de liste : 87 vs 77 en 2022.

Suite à la régionalisation, lorsqu’une alerte est déclenchée hors outil, la phase d’écoute est faite par le local. Si l’alerte est issue de l’outil, alors c’est un expert de la Région (RRS de la région ou un cabinet externe) qui prend en charge l’enquête. La Direction souligne l’importance de l’impartialité et de la neutralité des alertes déclenchées.

Nombre de dossiers ayant donné lieu à une sanction : 52 sanctions dont 25 licenciements, 1 rétrogradation, 4 mises à pied, 7 blâmes, 14 avertissements.

La CGT a souhaité connaître le détail des 25 licenciements. En effet, certains sont peut-être en lien avec du harcèlement sexuel voire moral et il serait judicieux d’en avoir le détail pour mettre en place de possibles préventions. La Direction n’a pas ces éléments (ou ne souhaite pas les donner), mais indique avoir zéro tolérance sur ces sujets, tout comme tout autre sujet en lien avec un comportement inapproprié.

Par prévention, à défaut de formation/sensibilisation en présentiel, la CGT a également suggéré de remettre en promotion le dispositif visuel en lien avec “Culture et Conduite” qui avait été promu en 2022 auprès des salariés (vidéos réalisées qui traitent sous un certain angle, les comportements inappropriés). En effet, ces vidéos sont très parlantes et peuvent aider certains salariés subissant ces comportements à parler et à faire un signalement.

Nous ne sommes pas tous au même niveau de prise de conscience sur ces sujets. Vous avez tous en vous le pouvoir d’agir et de revendiquer la considération et le respect qui vous sont dus mais aussi à ceux qui ne sont pas suffisamment armés pour se défendre seuls. Les comportements sexistes, les violences sexuelles, le racisme, la discrimination et les comportements déviants au travail sont punis par la loi.

Si vous êtes témoin d’une situation de conduite déviante ou si vous avez des soupçons et/ou doutes, n’hésitez pas à solliciter un élu CGT pour vous accompagner au mieux dans les démarches.

 

 

CAMPAGNE MY BCM

Commission SSCT

La CGT a souhaité faire un point concernant la campagne de promotion de l’outil My BCM. En effet, ces derniers mois, plusieurs régions ont été impactées par de nombreux phénomènes climatiques (tempêtes, inondations, attentats …) et nous avons demandé si la Direction envisageait une nouvelle campagne auprès des salariés afin de les inviter à compléter leurs coordonnées, via l’outil My BCM leur permettant de recevoir en temps réel les notifications du Groupe en cas de problème majeur.

La Direction indique que le taux d’inscriptions à My BCM a fortement chuté depuis la fusion des deux banques. En effet, avant la fusion, le taux concernant les salariés enregistrés sur l’outil était de 80%. Post-fusion, il aurait chuté à 63% suite à un déficit d'enrôlement concernant les salariés ex-CDN. Pour y remédier, une nouvelle campagne de promotion de l’outil sera faite très prochainement.

Pour votre information, l'outil My BCM mis en place à la SG sert à envoyer un SMS ou mail, sur le téléphone renseigné, en cas de problème majeur sur la région qui vous concerne.

Si ce type d'alerte est déclenché, celui-ci se fera par le biais de SMS via My BCM.

De ce fait, nous vous invitons à compléter vos coordonnées pour être informés en cas d'alerte et pour recevoir en temps réel les communications du Groupe.

 

 

TARIFICATION VACANCES FAMILLES

Commission Vacances Familles

(Détermination de l’indice INSEE et de son évolution pour une augmentation des tarifs).

Ce point est reporté pour la session de septembre. Le positionnement CGT est qu’il n’y ait aucune augmentation ou qu’elle soit très limitée si le contexte le nécessite.

 

 

RENOUVELLEMENT DES LINEAIRES POUR L'ETE 2025

Commission Vacances Famille

Les potentiels entrants (validés ou en cours de validation) :

  • Camping Sandaya L'Anse du Brick (50) Maupertus-sur-Mer
  • Camping Sandaya Mont-Saint-Michel (50) Genêts
  • Camping Sandaya Le Carbonnier (24) Saint-Martial-de-Nabirat
  • Camping Huttopia Pays de Cordes sur Ciel (81) Vindrac-Alayrac
  • Camping Huttopia Parque de Doñana (Esp.) Hinojos - Andalousie
  • Résidence Goélia Belle époque (80) Mers les bains
  • Résidence Néméa Les Rives de Saint Brice (33) Arès
  • Résidence Lagrange Cap Green (22) Fréhel
  • Résidence Goélia Les Gorges de la Truyère (12) Entraygues

Les sortants : Baie du Mont St Michel ; Blonville-sur Mer ; Étretat ; St-Valery-sur-Somme ; St-Gilles-Croix-de-Vie ; Angers ; Beaulieu ; Montbrun Sainte-Enimie ; Strasbourg.

  • Les sujets de fonds portés par la CGT
    • L’inscription à la semaine vs Module de 15 jours prioritaires
    • Elargissement des centres de vacances accessibles fin juin et début septembre
    • Privilégier l’hôtellerie de plein-air (campings) aux résidences
  • Demandes CGT linéaire été

Elargissement des semaines disponibles sur les linéaires, 2 dernières semaines de juin et 1ere de septembre, en complément des centres de vacances du CSEC (et des 2 centres Poggio-Mezzana et Albarella).

 

VACANCES FAMILLE ETE 2024

Commission Vacances Familles

  • Disponibilités :

Date

06/07

13/07

20/07

27/07

03/08

10/08

17/08

24/08

Au 07/06/2024

Période Rouge

205

155

57

77

22

28

94

205

843

Les Orres (Tarif Blanc)

27

19

18

12

4

8

23

32

143

  • Statistiques

Période Rouge été

Année 2024

Année 2023

Année 2022

Année 2021

Nombre de dossiers traités

5789

5903

5194

4955

Nombre de dossiers affectés

4812

4892

4169

4718

Dont nombre de dossiers agents retraités SG

83

100

Nombre de participants

18866

Nombre de dossiers refusés

791

802

780

237

Nombre de dossiers annulés

186

209

245

145

Nombre de dossiers 1er choix acceptés

791

853

NC

NC

Nombre de dossiers traités au tarif mini

60

8

63

48

Nombre d'hébergements

1263

1310

1069

1296

Hôtellerie

2024

Actifs

Retraités

Séjours

Nbre de dossiers

Nbre de Participants

Nbre de jours

Nbre de dossiers

Nbre de Participants

Nbre de jours

Guadeloupe

4

9

40

2

4

37

Martinique

18

46

236

0

0

0

Rome

45

111

180

1

2

3

Ametlla Mar*

67

204

623

0

0

0

Total

134

370

1079

3

6

40

*Ametlla Mar bénéficie d’une participation financière du CSEC SG de 30 % (déjà déduite sur les tarifs figurant lors de l’inscription) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BUDGET VACANCES FAMILLES 2025

Commission Vacances Familles

Le budget présenté et voté en séance plénière de Mai 2024 : 9 MEUR (vs 8540 KEUR en 2024).

Ces fonds sont à répartir sur les différentes périodes (hiver, été...).

 

VACANCES ENFANTS ETE 2024

Commission Vacances Familles

Rappel des dates des séjours été :

- Du 10 au 17 juillet 2024 pour les séjours 8 jours (4/6 ans et 7/9 ans)

- Du 10 au 23 juillet 2024 pour les séjours 14 jours (7/9 ans à 17 ans)

- Du 13 au 20 août 2024 pour les séjours 8 jours (4/6 ans et 7/9 ans)

- Du 13 au 26 août 204 pour les séjours 14 jours (7/9 ans à 17 ans)

Compte tenu des Jeux Olympiques et de l’impossibilité d’organiser un point de regroupement dans la capitale, une organisation a été mise en place avec les lieux de rassemblements suivants :

- La gare de Massy TGV (91)

- La gare de Lyon TGV (Paris)

- La gare Montparnasse TGV (Paris)

- Lyon (69)

Des visites de fonctionnement pour cet été sont déjà programmées afin de garantir la sécurité́ de nos enfants, respecter notre cahier des charges et conserver la qualité des séjours.

Pour suivre l’actualité, même cet été, téléchargez notre appli sur votre store

 

CSEC 14 Juin 2024
CSEC : le compte rendu et les points à l'ordre du jour de la session de travail d'Avril 2024

CSEC : le compte rendu et les points à l'ordre du jour de la session de travail d'Avril 2024

Le Petit Journal du Csec d'avril 2024 est disponible ici => PDF
(rappel, avant de cliquer sur le lien, il faut être connecté au site ou identifié pour avoir accès au fichier PDF) 

csecavril2024p1

 

Les ordres du jour et documents de la session du CSEC des 3 et 4 Avril 2024

 Pour accéder aux liens, avant de cliquer, il est nécessaire d'être identifié/connecté au site CGT SG

COMMISSION ECONOMIQUE 

1. Étude du rapport de l’expert sur l’examen annuel des comptes 2023

2. Information sur les éléments de stratégie contribuant à la consultation sur les orientations stratégiques de l’entreprise "Corps de rapport" et "Synthèse"

3. Consultation sur le programme annuel 2025 Vision2025 du dispositif commercial de SGRF(DCR)

4. Consultation sur la mise à jour 2024 de la liste des regroupements d’agences Vision2025 de SGRF   Dossier de consultation - Liste des regroupements d'agences

5. Questions diverses

COMMISSION EPQS

  1. Etude du rapport de gestion de la Mutuelle du Personnel du Groupe Société Générale pour l'année 2023 (document à venir après le Conseil d'Administration de la Mutuelle du 28 Mars)
  2. Information sur la Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels, (ex-GPEC) contribuant à la consultation sur les orientations stratégiques de l’entreprise
  3. Information sur l’évolution envisagée du rôle de Conseiller de Clientèle Professionnels dans les agences de proximité 
  4. Consultation sur le Bilan Social d'Entreprise 2023 et compléments pour la Société Générale, contribuant également à la consultation sur la politique sociale de l’entreprise, les conditions de travail et l’emploi + compléments sur l'emploi des seniors
  5. Examen des statistiques complémentaires sur les rémunérations au 31/12/2023 (l'ensemble des stats 2023 précédentes sont ici)
  6. Information sur l’évolution du dispositif de crèche
  7. Questions diverses

COMMISSION FORMATION

1. Point d’information sur l’alternance : bilan alternance 2023 et présentation des objectifs Société Générale en matière d’apprentissage pour 2024* (information contribuant à la consultation du CSEC sur la politique sociale de l’entreprise, les conditions de travail et l’emploi

2. Présentation du Bilan formation de l’année 2023* (information contribuant à la Consultation du CSEC sur la politique sociale de l’entreprise, les conditions de travail et l’emploi

3. Information sur l’indicateur 5 du Bilan social 2023 Société Générale (information contribuant à la consultation du CSEC sur la politique sociale de l’entreprise, les conditions de travail et l’emploi)

4. Présentation des Orientations Générales de la Formation Société Générale pour 2025 (information contribuant à la consultation du CSEC sur les orientations stratégiques de l’entreprise)

5. Questions diverses

COMMISSION SSCT

  1. Point à date sur le dispositif renforcé de prévention des Risques Psycho-Sociaux dans le cadre de Vision 2025
  2. Questions diverses

COMMISSION VACANCES FAMILLES

- Compte rendu des Visites Hiver (La Toussuire et Val Cenis)
- Etudes des retours de questionnaires satisfaction Hiver
- Traitements des réclamations reçues par le Secteur Vacances Familles
- Renouvellement des sites pour l’hiver 2024/2025
- Etude des différentes Statistiques Eté 2024 (Nombres de dossiers reçus, traités, refusés, disponibles, taux d’occupation par centre, nombre de dossiers en hébergements supérieurs, nombres de dossiers facturés au tarif minimum).
- Dépouillements des retours d’appels de mise en concurrence pour 2025 et planification des visites de prospections
- Définition modules Eté 2025
- Planifications des Visites de fonctionnement pour l’Eté 2024
- Point avec les Membres du Bureau CSEC
- Point avec la Responsable du Secteur Vacances Familles (mercredi à 14H)

dates les plus demandées

Demande par centres

occupation 1er moulinage été 24

COMMISSION VACANCES ENFANTS

1.       Sujets à aborder avec le Bureau

2.       Bilan solidarité été 2023 (interne/externe) (report de septembre, novembre et janvier)

3.       Bilan solidarité Hiver/ Printemps 2023 (externe) (report de janvier)

4.       Préparation de la réunion bilan Hiver/Printemps 2024 (désignation du rapporteur + élaboration de l'ordre du jour)

5.       Planification des visites de fonctionnement Été 2024

6.       Décision sur l'attribution éventuelle de places à LVS Eté 2024

7.       Compte-rendu des visites de fonctionnement hiver 2024

8.       Dépouillement des questionnaires Hiver 2024

9.       Traitement des incidents et réclamations Hiver 2024

10.   Modifications éventuelles des infos brochure séjours Hiver/Printemps 2025

11.   Modifications et Lancement de l’appel à mise en concurrence été 2025 (retour des propositions le 8 novembre 2024)

12.   Informations et questions diverses

Le petit journal du CSEC  Session d’Avril 2024 

SOMMAIRE

  • Commission Economique 
  • Programme 2025 de Vision
  • Regroupements d’agences 2025
  • Etude du Rapport de l’Expert sur les comptes 2023
  • Commission EPQS 
  • Rapport de gestion de la Mutuelle du personnel
  • Organisation du travail pendant les JO
  • Bilan social d’entreprise 2023
  • Instruction Avance logement
  • Evolution du rôle du CC Pro dans les agences de proximité
  • Indemnité cantine
  • Initiatives parentalité
  • Arrêt du service de crèche
  • Commission Formation 
  • CPF – nouveautés 2024
  • Budget formation
  • Commission SSCT 
  • Disposition RPS sur SGRF
  • Fiche incivilités et agressions commerciales
  • Formation sécurité incendie en agence
  • Commission Vacances Familles 
  • Vacances familles été 2024 et 2025
  • Budget CSEC
  • Renouvellement des centres été et hiver
  • Contactez la commission !
  • Billet annuel SNCF
  • Commission Vacances Enfants 
  • Colonies printemps 2024
  • Colonies été 2024

 

SGRF : PROGRAMME 2025 DE VISION

Commission Economique

La Direction se félicite de l’état d’avancement du déploiement du modèle Vision 2025 selon le calendrier prévu et de la réalisation de l’ensemble des jalons fixés en 2021. La totalité des opérations prévues en 2023 ont été réalisées dans le timing prévu.

Les grands principes pour l’année 2025 s’inscrivent dans la continuité des années 2023 et 2024, les chantiers les plus complexes devant néanmoins être achevés au cours de cette dernière année de transformation, ils représentent les 20 derniers % du chantier global. Sauf oublis… à déceler tout de suite !

A date, la Direction fait état des quelques bugs informatiques mineurs, post bascule informatique qui sont en cours de résolution par les équipes IT.

Le sujet central, qui doit se solder par la réussite, est la finalisation des opérations d’information des donneurs d’ordres, suite au re-«rib»age des clients ex-CDN et dont il reste environ 18% des tiers à informer. C’est un enjeu de «satisfaction client» important. C’est au client qu’incombe la démarche de transmission du nouveau RIB auprès des tiers non modifiés. Une campagne de relance client est en cours, en multicanal, via SMS et BAD. Le Front est également mis à contribution afin de contacter les clients et s’assurer de la bonne fin des opérations. Le cadencement est suivi de près avec une remontée hebdomadaire des chiffres.

En ce qui concerne les suppressions de postes 2025, les consultations locales auront lieu avant l’été et les salariés directement concernés recevront un courrier à compter du mois d’octobre 2024.

Au niveau national, les arbitrages des effectifs cibles et les décisions de rapprochement ou de fermetures d’agences ont été faits en fonction 4 problématiques :

- La localisation (facilité d’accès)

- La facilité à recruter

- La dynamique commerciale (potentiel du marché, PRI et PRO)

- La situation sécuritaire et sanitaire

Force est de constater que la réalité du terrain contraste avec l’image d’un plan, qui se déroule sans accroc, dressée à date par notre Direction.

La Commission a souhaité insister sur l’état d’épuisement des équipes qui assument une transformation dont les conséquences ont été sous-estimées : insatisfactions, incivilités, surcroît de travail, pression commerciale, remédiations, et cela dans un contexte où la récompense aux efforts fournis est plus que décevante (P+I). Elle a interrogé la Direction sur les leviers qui vont permettre d’inverser cette tendance. Celle-ci “espère” que les moyens déployés pour négocier la dernière ligne droite du re-ribage permettront de le réussir, et de contenir l’attrition des clients ex-CDN, et compte également sur le rebond commercial du réseau qui doit toujours faire mieux avec moins.

Pour la CGT, il a été important de demander quels enseignements avaient été tirés des 2 premières années de déploiement du plan Vision 2025. La Direction répond qu’elle a été capable de revenir sur des décisions de regroupements d’agences qui avaient été prises (33 modifications, 12 abandons et 72 proposées) en prenant en compte les retours des régions selon les 4 critères énoncés plus haut. Cependant cela ne remet pas en question le périmètre cible en effectif décidé en 2021.

En ce qui concerne le plan d’action sur la finalisation des opérations d’information des tiers sur le re-ribage des clients ex-CDN, la CGT est en désaccord avec la méthode employée. Rappelons que ce sujet faisait partie des promesses émises auprès des clients CDN afin de leur garantir une fusion sans heurt et une continuité de service assurée sans intervention de leur part, qu’il s’agit d’un sujet prépondérant de frictions dans les CAR et les agences avec leurs clients, qu’il est un catalyseur de mécontentement et il est bien souvent à l’origine d’une décision prise par le client de nous quitter.

L’échéance approchant, il est inacceptable de faire peser le poids de cette impossibilité technique de traiter l’ensemble des tiers sur les seuls acteurs du Front et il a été demandé la mise en place de moyens complémentaires pour assurer la bonne fin des opérations. La Direction répond que les délégations régionales ont toute latitude sur ce sujet, pour autant les remontées du terrain sont de natures différentes et font état d’une pression maximale pour réussir quel qu’en soit le moyen. N’oublions évidemment pas qu’en parallèle est attendue une performance remarquable sur la conquête de nouveaux clients et que le PILPERF ne saurait attendre. 

LISTE DES REGROUPEMENTS D’AGENCES VISION 2025 DE SGRF

Commission Economique

Comme l’année précédente, une mise à jour de la liste des regroupements d’agences Vision 2025 a été entreprise.

Ces nouveaux travaux préparatoires aux regroupements ont conduit à : 

  • La confirmation de 366 regroupements
  • La modification de 33 regroupements
  • L'abandon de 12 regroupements
  • La proposition de 71 nouveaux regroupements

Et ce afin d’atteindre 1965 points de vente à fin 2025.

La direction précise que ces évolutions font suite à une revue fine avec les régions et que plusieurs problématiques ont été soulevées : 

  • Problématiques de maillage notamment d’éloignement des AMS 
  • Problématique de fonctionnement de l’agence (difficultés RH, recrutement) 
  • Problématiques commerciales (dynamique commerciale en déclin, clients vieillissants)
  • Problématiques sanitaires ou sécuritaires.

Tout en affirmant qu’aucune problématique n'est plus prépondérante que les autres et que cela est sans conséquence sur le dispositif cible.

La direction a clarifié un point en affirmant qu’elle ne quittera des territoires isolés que dans le cadre des 4 enjeux problématiques citées précédemment.

La CGT s’est interrogée sur le traitement qui sera réservé aux ADA de sites secondaires fermés ?

La direction a répondu que ce sujet sera décliné en local en confirmant que des transferts et des suppressions de postes auront bien lieu mais que la notion de transfert reste privilégiée.

 

 

EXPERTISE ANNUELLE DES COMPTES 2023

Commission Economique

  • Banque de détail

Pour SGRF on pouvait s’attendre à un exercice délicat avec la fusion du Crédit du Nord et de BDDF, les bascules informatiques et les premiers pas de cet ensemble à construire.

Cependant ce n’est pas de là que les plus grosses difficultés sont apparues mais plutôt d’une politique de couvertures de nos dépôts et crédits particulièrement «inopportune» et qui coûte au groupe la bagatelle de 1,6 milliard d’euros en 2023, avec des effets déjà en 2022 et un sillage en 2024 estimé à 350 millions d’euros.

L’expert de SECAFI signale «une politique ALM négative avec un défaut temporel de coordination sur la mise à jour des scénarios de taux», ce qui est une manière polie de qualifier un accident industriel. Certes, les autres banques ont aussi souffert de cette remontée brutale des taux mais la SG est parmi les plus durement touchées.

Même si la direction ne veut pas trop s’étendre sur l’analyse du désastre, le changement de comitologie (processus de décision repris au niveau DG) traduit bien la nécessité d’éviter que cela ne se reproduise.

Il y a eu pour SG un choix (en était-il vraiment un ?) de restreindre la production de prêts, au risque sinon d’embarquer des marges négatives sur des durées longues.

Les revenus de SGRF sont les plus fortement impactés -21%.

On peut penser que c’est le creux de la vague avec des attentes de rebond en 2024 qui sont à nuancer : +21,1% du PNB en fourchette basse, qui serait le contre effet de la tombée des macro-couvertures : +1,3 milliard d’euros.

La direction, toujours prompte à voir l’avenir sous de meilleurs auspices après les déconvenues, fonde de grands espoirs sur la forte remontée des taux qui nous permettrait de faire des rachats de prêts…avec de la marge. La SG veut être présente sur le marché des prêts immobiliers de manière agressive.

Mécaniquement, la fin des macro-couvertures en 2024 permettra un rebond des marges, ce qui constitue l’essentiel des hausses de PNB attendues en 2024.

La direction attend beaucoup du dynamisme commercial en 2024 avec des collaborateurs mieux formés sur les outils et process, et un retour plus marqué sur la conquête client, la recherche de flux. La transformation de Vision 2025 se fait sur 3 ans. La moitié du chemin sera faite en juin de cette année.

Quant aux déperditions de clientèle et aux taux de satisfaction clients à des niveaux préoccupants, l’analyse de la direction est que les clients (surtout au Crédit du Nord) ont subi le négatif de Vision, mais que le positif viendra en fin de parcours avec le déploiement notamment des modèles PAT et PRO.

Nous pensons que cette analyse est très optimiste et que le déploiement complet pourrait réserver quelques déconvenues côté clients.        
Nous considérons que la toile de fond de postes vacants reste un handicap, conséquence mais aussi cause des difficultés de Vision 2025.

La direction reconnaît un pic de postes vacants en 2023 mais ce pic serait passé, grâce à d’importants recrutements (ndlr : avec une part importante de CDD). Le taux de vacance est actuellement entre 4 et 5%, taux considéré par la direction comme raisonnable par rapport à ce que connaissent nos concurrents.

Alors même qu’on s’apprête à finaliser les suppressions de postes du volumineux programme 2024 de Vision, nous ne considérons pas cette situation comme «raisonnable», mais extrêmement préoccupante. Ce fatalisme des chaises vides nous paraît un signal de très mauvais augure.

  • IRMLS

Sur la partie banque de détail à l’international, l’intention est de finaliser la cession de certaines filiales africaines : 4 cédées en 2023 (Congo, Guinée Equatoriale, Mauritanie, Tchad). Deux autres sont en attente : Burkina Faso et Mozambique auxquelles s’ajoute la revue stratégique sur la Tunisie.

AYVENS : L’année aura été marquée sur ce pôle par l’augmentation des charges d’intégration de Lease Plan, annoncées comme essentiellement IT. La direction attend en 2024 la poursuite de la normalisation des prix de vente des VO. Normalement la rentabilité était historiquement à 95% sur les marges de leasing. Le coup de chaud sur les prix de revente des véhicules a opportunément soutenu la profitabilité de ce pôle en pleine transformation. 

La direction rappelle que notre cœur de métier reste la marge sur leasing. Les synergies de revenus et la croissance de la flotte attendue de 6% par an devraient soutenir la croissance des revenus.

Sur ce pôle annoncé comme un levier de croissance essentiel au groupe, le temps des réalités a succédé à celui de l’enthousiasme des débuts. C’est souvent ainsi lors d’une acquisition de cette importance. Cependant il ne faudrait pas que les réglages internes viennent se surajouter à des retournements de marchés ou des tensions concurrentielles.

  • GBIS

Le recul du PNB et du RBE est compensé par la baisse forte du coût du risque : 2 pb contre 23 pb en 2022.

GBIS a bénéficié d’un environnement favorable qui pourrait ne pas se renouveler en 2024.

Objectifs à 2026 :

PNB entre 4,9 et 5,5 milliards d’euros   
Croissance du PNB entre 1 et 2%        
COE < 65%

L’expert souligne que la stratégie asset light a un double enjeu culturel qui affecte la relation client et au niveau du banquier d’affaires. La manière dont ils vont originer les opérations devra intégrer la capacité de les distribuer ensuite.

Cette moindre ouverture de son bilan à ses clients est contre intuitive. Il n’y a pas d’exemple de réussite de cette manière de faire. Natexis a échoué à développer ses activités de conseil. Cette stratégie peut avoir des effets : augmentation de la volatilité, réduction du mix d’activités, modification du profil de risque, modification de la politique d’origination.

La gestion asset light contribue à augmenter le shadowbanking avec un portage par des compagnies d’assurance et hedgefunds. Elle pourrait être utilisée pour verdir le bilan de la banque en sortant des prêts.

Même si nous comprenons parfaitement les avantages pour la banque, faire davantage de commissions sans mobiliser des RWA, nous avons du mal à cerner les arguments côté clients. La direction nous indique que c’est une manière de faire davantage d’opérations avec nos clients et de ne pas se trouver bloqués par des montants d’encours de financements.

L’expert souligne que pour GBIS, ces objectifs reposent sur des inflexions et pas des ruptures. Les objectifs de ROE entre 14 et 17,5 % ne sont pas déraisonnables car ces niveaux sont inférieurs à ceux atteints en 2022 et 2023 et suffisamment élevés pour être considérées comme satisfaisants.

  • Les coûts de transformation sortent du «hors pôle» pour être réintégrés dans le résultat d’exploitation des métiers

Slawomir Krupa l’avait annoncé au Capital Market Day. Cette mesure va bien au-delà d’une simple présentation. Auparavant, les coûts de transformation étaient extraits analytiquement des résultats des métiers et regroupés dans le hors pôle.
L’imputation des coûts de transformation dans le RBE des métiers et non en exceptionnel, est-ce une manière de les considérer comme intrinsèques à l’activité régulière ?       
La direction souligne la meilleure lisibilité, puisqu’il n’y a qu’un seul résultat net publié avec des charges portées par des métiers qui les dépensent. En termes de projections, nous allons avoir d'ici 2026, 1 milliard d’euros de charges de restructuration. Nous publions la réalité économique des choses. Ces métiers bénéficieront ensuite des résultats de ces transformations.

  • Stratégie et perspectives

Nous considérons que cette charge qui va affecter directement le ROE des métiers, pour des décisions qui le plus souvent s’imposent à eux, conjuguée à la nécessité de financer sa croissance sans RWA supplémentaire, fait reposer sur les métiers des pressions qui pourraient être insoutenables, notamment pour SGRF qui cumule les plans de transformation et dont l’activité est par essence consommatrice de RWA. Seuls Ayvens et Boursobank bénéficieront de RWA supplémentaires pour leur développement, les autres pôles devront être auto suffisants !

L’expert considère que l’application de la feuille de route relève davantage d’une stratégie de décroissance avec les limites de devoir réaliser davantage de PNB avec moins de RWA. Hors Boursobank et Ayvens nous ne voyons pas d’autres leviers de croissance.

Par contre les leviers de décroissance sont bien identifiés avec un recentrage du portefeuille d’activités.

Le budget 2024 est en rebond avec la fin des couvertures sur la Marge Nette d’Intérêt (MNI). On s’interroge sur la croissance organique qui reste atone (SGRF) voire négative (GBIS, MIBS).

Pour MIBS l’évolution est difficile à lire : finalisation de l’intégration de Lease Plan, baisse des marges…En REX le pôle devrait être en croissance, même si encore marqué par les coûts de transformation de Lease Plan.

La mise en œuvre de Vision a eu des effets négatifs avec un projet dont les effets ont été sous-estimés. Le niveau de postes vacants élevé a été ajouté aux difficultés.

L’expert conclut que la démarche très volontariste de la nouvelle direction lui paraît relever d’une avance à marche forcée. Toute part de marché sera difficile à reconquérir si tant est que cela soit l’intention du groupe.

 

GESTION DE LA MUTUELLE EN 2023 

Commission EPQS

Traditionnellement, le rapport de gestion de la Mutuelle SG (MSG) est présenté à la Commission EPQS, après approbation par le Conseil d'Administration. C'est le rapport qui est présenté en vue de l'AG de la Mutuelle qui se tiendra cette année le 12 juin 2024. 

Le président de la mutuelle rappelle d’abord le contexte national de forte augmentation de dépenses de santé, doublé d’un désengagement de l’Assurance Maladie sur certains postes, notamment le dentaire.

Les chiffres 2023 sont essentiellement marqués par l’arrivée des salariés du groupe CDN, ce qui explique l’augmentation du nombre de bénéficiaires de 116 441 à fin 2022 à 130 994 fin 2023 (+12% de personnes couvertes) et de la croissance de l’activité (+11%) en termes d’actes.

Il déclare que cela n’a pas généré de dégradation des temps de traitement des demandes de remboursement. 93% des demandes sont traitées dans les 5 jours ouvrés, dont 67 % dans les 3 jours.

En termes d’évolution « cotisations / prestations », même tendance à la hausse :

Sur l’année 2023, les cotisations totales s’établissent à 97 M€ (vs 84 M€ en 2022). Pour mémoire, la cotisation du Régime Obligatoire (RO) a augmenté de 10%, celles des régimes facultatifs avaient augmenté en moyenne de 8% en 2022 et 2023.

La cotisation du RO s’élève en moyenne à 96€ (moitié à la charge de l’employeur, moitié à celle du salarié) et couvre également les enfants de moins de 20 ans (ce qui donne une cotisation moyenne mensuelle par bénéficiaire de 52€ en tenant compte des enfants couverts), celle du régime des retraités à 85€, après décote de 27,5% de la cotisation d’équilibre.

Les prestations totales versées augmentent de 14,4% en 2023, notamment du fait de l’évolution de la population couverte. Les hausses principales sont sur le dentaire et l’orthodontie, l’optique et sur le poste hospitalisation (les chambres particulières). Tous types de prestations confondues, la consommation moyenne annuelle par bénéficiaire s’établit à 657€ (vs 637€ en 2022).

La mutuelle SG, côté opérationnel, ce sont 23 salariés mis à disposition et re-facturés par SG, dont 15 gestionnaires et téléconseillers ayant en charge les relations téléphoniques avec les adhérents, les demandes de renseignements par mail, la gestion du fichier des adhérents, les demandes de devis et le traitement des réclamations. Son Conseil d'Administration est composé de 24 membres (5 membres CGT). 

Le paiement des prestations courantes et les liens avec le régime d’Assurance Maladie Obligatoire sont délégués directement à Cégédim.

Les opérations de tiers payant simple ainsi que l’hospitalisation sont effectuées par iSanté depuis le 1er janvier 2019. Depuis janvier 2022, iSanté est l’unique opérateur de tiers payant de la Mutuelle et couvre également les domaines de soins optiques, dentaires et audio.

Plusieurs campagnes de prévention ont été mises en place en 2023, essentiellement en présentiel, en lien avec le service médical sur les services centraux. La mutuelle est également intervenue auprès des DCR de Rouen et Boulogne.

Le taux de frais de gestion observé pour l’ensemble des comptes techniques géré par la Mutuelle s’élève à 8,6% des cotisations nettes de taxes au 31 décembre 2023, soit 7,6% des cotisations versées, et donc en dessous du taux contractuel entre SG et la mutuelle (qui est de 8,5% des cotisations versées).

Le résultat net comptable, enregistré en 2023, reste déficitaire mais meilleur qu’en 2022 (-2,6M€ vs -3M€ en 2022) du fait de la hausse des cotisations opérée à partir de janvier 2023 sur les régimes facultatifs. 

Questions/réponses :

-    Qui supporte le coût de la portabilité ? : le montant de la cotisation payée par l’employeur et les salariés financent la portabilité potentielle des salariés qui pourront en bénéficier à la sortie (selon le motif de sortie). Cela revient à l’inclure dans le calcul global, pour un volume moyen de sorties de salariés de l’entreprise.

Pour les PVD (Plan de Départ Volontaire) mis en place par SG, la portabilité est prise en charge par la direction.

-   Tiers payant partiel : le flux entre la CPAM et la mutuelle ne fonctionne pas pour le tiers payant partiel. Il avait été prévu une solution pour fin 2023. Mais cela ne marche toujours pas, car le chaînage ne fonctionne toujours pas.  La mutuelle travaille toujours dessus et communiquera quand le chaînage sera en place. C’est techniquement beaucoup plus compliqué qu’attendu.

-    L’impact de la cyberattaque sur les opérateurs de tiers payant : elle n’a pas permis de fraude à la mutuelle SG, ni parmi les autres mutuelles. Ce sont des données personnelles qui ont été extraites qui permettraient éventuellement de lancer des attaques d’autres sortes (la fraude au président par exemple, ou de se faire passer pour...).       
MSG a mis immédiatement en place des mesures de verrouillage (sur la possibilité de création d’un nouvel Espace Personnel), le temps de trouver un certain nombre de données supplémentaires à demander lors l'identification de l'adhérent.

Les 2 opérateurs qui ont été attaqués sont des prestataires avec lesquels la mutuelle ne travaille plus, dont un chez qui MSG n’avait plus de données historiques (obligation de garder les données pendant 5 ans). L’opérateur actuel, iSanté, n’a pas été attaqué.

Cela génère un plan d’actions sur les actes de cyber sécurité des systèmes d’information de la mutuelle. 

ORGANISATION DU TRAVAIL PENDANT LES JEUX OLYMPIQUES

Commission EPQS

La problématique touche notamment l’Ile-de-France. La date approche et aucune décision ne semble prise pour Société Générale laissant les salariés dans l’incertitude et dans l’impossibilité de s’organiser face à des difficultés annoncées et prévisibles.

La direction nous répond que ce dossier est suivi et bien pris en charge par une équipe. A date, une proposition d’organisation a été faite à la direction générale et il faut attendre ce retour pour communiquer. Nous avons donc demandé que les instances de représentation du personnel soient informées, tout comme la commission EPQS du CSEC avant toute mise en œuvre et communication auprès des salariés. Il semble normal que le dialogue social existe sur ce sujet et que la direction ne décide pas seule.

BILAN SOCIAL D'ENTREPRISE 2023

Commission EPQS

La CGT a saisi l’occasion de l’examen du complément au bilan social sur l’emploi des séniors pour alerter une nouvelle fois la direction sur la discrimination qui touche les seniors lors de l’exercice des EAS. Une absence de revalorisation de leur RAGB sur plusieurs exercices malgré des évaluations annuelles de très bonne facture et quand ces revalorisations interviennent, elles le sont à minima (à peine 1% en moyenne).
Les réponses de la direction concernant un taux de promotion (changement de classification) qui se réduirait « plus on grimpe dans la pyramide » ou d’un benchmark qui situerait certaines RAGB à un niveau satisfaisant, ne sont pas admissibles.

D’une part, les promotions à la classification supérieure ne sont et n’ont jamais été liées uniquement à une exigence spécifique liée au poste occupé, mais bien en lien avec une reconnaissance de l’expertise et des contributions de chaque salarié (sinon à quoi servent les évaluations annuelles ?).
Aussi, un benchmark qui ferait qu’une RAGB soit considérée comme « dans la moyenne » ne peut se voir refuser le droit à une revalorisation qui là encore doit tenir compte de l’engagement et l’investissement de chaque salarié dans la conduite de ses missions.

Enfin, les accords d’entreprise sur le sujet (révision des seniors tous les 3 ans) ne sont absolument pas respectés.
Compte tenu de ce qui précède, la CGT alerte la direction sur une posture de sa part qui présente un important risque opérationnel : les sachants et les experts en fin de carrière pourraient perdre de leur motivation à transmettre à la génération suivante une expérience précieuse qui fait la richesse du Groupe SG.

Nous avons demandé ce qui explique l’augmentation du recours au travail temporaire (CDD, durée moyenne des contrats de travail temporaire). D'après la direction, il s’agit du projet de transformation en 2023 et les bascules informatiques qui ont généré un accroissement de l’activité.

Nous avons interpellé la direction sur l’explosion des des démissions : quasi 2 000 en 2023, un record historique !  Elle nous a répondu que l’augmentation en nombre des démissions s’explique par la hausse des effectifs. Toutefois, en regardant au plus près et en considérant la hausse de l’effectif, la part des démissions dans les départs en 2024 est en légère baisse par rapport aux années précédentes.

La CGT a demandé le détail par BU SU des salariés qui démissionnent avec des indications quant à leur ancienneté. La direction nous a indiqué que la répartition des démissions est de 60% réseau et 40% centraux. Sur l’ensemble, 40% des démissions pour SGPM concernent les moins de 5 ans d’ancienneté qui atteignent un taux de 6,3% des salariés de cette tranche d’ancienneté ayant démissionné.

Dans le réseau, la responsable RH de SGRF déclare qu’il n’est pas possible de nier des effets régionaux, tout comme sur les entités, elle constate qu’il y a très peu de démissions en CDS et un très grand nombre en CRC.

Nous avons demandé à la direction si gérer la baisse des effectifs par les démissions était une politique assumée et dans ce cas,  pour quelles raisons elle enchaîne les plans de départs volontaires, puisque les salariés quittent l’entreprise en nombre. Elle répond qu’il n’est pas possible pour une entreprise de piloter le nombre de salariés par les seules démissions. Celles-ci dépendent du marché de l’emploi et des possibilités pour les salariés de trouver des opportunités ailleurs que dans l’entreprise. Il est évident que ce ne sont pas les mêmes postes qui sont supprimés et ceux pour lesquels les salariés démissionnent.

Nous avons demandé un éclairage sur les causes des départs avant la fin de la période d’essai, en hausse depuis 2021. Selon la direction, le recrutement est difficile pour certains postes et les CRC sont les plus impactés avec le changement du parcours de formation. Certains salariés postulent dans plusieurs entreprises et parfois partent de SG car ils ont eu la réponse qu’ils attendaient ailleurs. 

Nous constatons un nombre d’arrêts maladie en forte hausse. Cela nous paraît inquiétant au regard de la volonté du gouvernement de changer les règles sur les arrêts maladie (allongement du délai de carence notamment). 

La CGT a interrogé la direction sur l'indicateur 314, qui recense 1 accident mortel dans l'entreprise en 2023. A notre connaissance, il y en a eu au moins 4, dont 1 accident de trajet mortel. La réponse apportée en séance est que "le Bilan Social recense ce qui est saisi dans l'outil et qu'il n'y a pas de volonté de ne pas communiquer les chiffres, ni de cacher les informations aussi dramatiques puissent-elles être. Il est possible qu’il y ait eu des erreurs lors de cet enregistrement. En central, nous n’avons pas connaissance de toutes les situations locales et si l’enregistrement est erroné alors elle ne pourra pas apparaître dans le bilan social”.           
La CGT a donc demandé à la direction de bien vouloir corriger l’ indicateur 314 du Bilan Social, avant la séance plénière du CSEC ou de nous indiquer où et comment ont été recensés les accidents mortels survenus malheureusement en 2023 (au sein de SGRF).

INSTRUCTION AVANCE LOGEMENT

Commission EPQS

Nous avons de nouveau interpellé la direction sur la nécessité de remettre en ligne l’instruction Avance Logement qui a disparu du portail RH depuis des mois. En cas de modification de celle-ci, elle doit être présentée à la Commission Logement ou EPQS. 

Pour mémoire, nous avions également demandé la revalorisation du montant de l’Avance Logement dans le cadre des Négociations Annuelles Obligatoires fin 2023. La direction avait refusé au motif que cette décision serait «génératrice de PNB négatif pour SGRF»… (sic)

ROLE DU CC PRO DANS LES AGENCES DE PROXIMITE

Commission EPQS

Rôle de l’ADA (PRO) dans le cadre du projet :

En plus de son portefeuille de clients professionnels, l’ADA (PRO) aurait donc le même rôle d’adjoint que l’ADA (PRI) sur les activités de management et d’animation de l’équipe, d’accompagnement des collaborateurs, des activités de risques et de conformité en l’absence du Directeur d’Agence. Il représenterait la banque sur le marché des Particuliers et des Professionnels lors de manifestations locales. 

La CGT  a interpellé la direction sur le fait qu’il n’y avait pas de nouvelle fiche métier présentée dans le cadre de cette nouvelle fonction.  La direction explique que cette dernière est en cours de finalisation et la transmettra en suivi. Cependant les fiches métiers des 3 CC PRO (TPE, prof lib, PRO) avec un rajout de l’option d’ADA PRO, resteront la base. En effet le métier principal d’ADA PRO restera CC PRO mais avec le pendant du management / animation qu’on demande à un adjoint aujourd’hui.

Le rôle d'adjoint PRO de site de proximité consistera à seconder le directeur d’agence et animer l’équipe de proximité en l’absence du DA. 

Interrogée sur le libellé de poste qui sera sur le bulletin de paie des ADA PRO, en l’absence de création de code emploi dans le référentiel métier, la direction répond que c’est le métier du référentiel qui ressortira sur la fiche de paie et la notion d’adjoint de l’agence pourrait ne pas y être visible. Mais elle sera bien sur la carte de visite, pour les clients (sic) et lors de sa nomination, le salarié devra signer un bi colonne de nomination, sur lequel, il sera bien indiqué “CC PRO adjoint de l’agence”.    

 Selon la direction, la difficulté vient du référentiel emplois groupe qui ne peut pas être modifié à la main des BU/SU. Dans l’idéal il faudrait la création de 3 codes emplois dans le cadre de ce projet. Mais la demande n’a pas été faite à HRCO et la modification du référentiel aurait un coût IT.     

Pour la CGT, il est indispensable que des codes emplois soient créés et il ne faut pas se priver d'en faire la demande à l’équipe HRCO qui gère le référentiel.  Car dans le cadre d’une réorganisation impliquant des suppressions de postes, le critère de sélection pour supprimer un poste est clairement le code emploi et le centre d'activité.  C’est donc de la responsabilité de la direction de mettre à jour le référentiel métiers SG quand elle fait évoluer un poste ou métier.

La CGT interroge la direction sur le fait que le métier de CC PRO a subi depuis l’annonce de la fusion de multiples changements profonds : double relation, décomposition du métier en trois strates (TPE, prof lib, PRO), passage cadre au forfait, pushing sur la prospection…Tout cela avec des portefeuilles bien fournis ou voir même au-delà des métriques pour certains.  Comment envisager l’exercice de cette mission d’animation ou d’analyse de dossier en support du DA dans de telles conditions ?

De plus, la direction occulte totalement dans sa présentation les ADA PRI qui demain se verront repasser CC PREMIUM lors d’une mobilité naturelle. Par ce changement, la direction ferme des évolutions de métiers pour ces salariés par la suite.

Pourquoi ne pas prévoir dans les passerelles (dans la fiche métier) le passage en CC PRO par exemple, connaissant déjà la filière PRI, la formation portera sur la PRO. Comme il a été fait pour les PRO qui ne connaissaient pas la PRI …

“On ne révolutionne rien, c’est simplement une option qui était exclusive côté PRI et qu’on souhaite ouvrir côté PRO" dixit la direction.

Pour les conseillers ex BDDF les cibles de portefeuilles ne sont pas au maximum voire, en deçà du nombre de clients visés. Je pense qu’il y a la place dans ce modèle pour que le CCPRO puisse avoir la dimension d’ADA en complément. Attention toutefois, il ne pourra pas y avoir deux ADA sur un petit site. Mais il subsistera forcément sur le réseau des postes d’ADA PRI en agence de proximité puisqu’il n’y a pas de PRO sur tous les sites de proximité. “

La direction revient sur la notion de passerelle pour les salariés ADA PRI aujourd’hui.   
“Aujourd’hui nous sommes sur un métier de CC PREMIUM principalement avec un rôle d’animation sans management. Nous savons très bien que le métier de PREMIUM est en pénurie sur le réseau, et il faut que nous travaillions les passerelles et les montées en compétences entre les deux. Et, en parallèle, il y a un sujet de poste vacant sur le métier de CC PRO quand bien même nous travaillons dessus depuis longtemps. Nous devons travailler en effet pour que les PREMIUM ou ADA PRI puissent passer plus facilement ADA PRO par la suite”.

La CGT rebondit sur cette dernière remarque, car ici la direction met en exergue (sans dire les mots qui fâchent), qu’au final la clause de non-concurrence que la SG a appliqué de façon unilatérale sur le métier de CC PRO n’a pas été suffisante pour conserver nos experts et la réalité du terrain est qu’il y a trop de postes vacants PRO.

La nouvelle botte de la direction sera donc de proposer la carotte de la mission D’ADA PRO pour retenir les experts … mais bien entendu sans compensation financière puisque l’accord social ne prévoit de prime de bonne adaptation qu’au bout de 12 mois de prise de poste sauf pour les cadres… et pour rappel en mai 2024 tous les CC PRO du réseau passent cadre au forfait (sauf si vous refusez bien entendu). 

Pour la CGT, il sera indispensable de faire un bilan dans 12 mois pour comparer le taux de démissions sur le métier de CC PRO et voir si cette nouvelle pirouette de la direction a réussi à conserver nos experts ou pas !

En attendant, nous aurons une attention particulière sur les évolutions de métiers des ADA PRI sortants et que ces derniers ne se voient pas proposer un poste “voie de garage” car les “bras manquent dans le réseau” sur le métier PREMIUM.

 

"INDEMNITE CANTINE" VERSEE SUR LA PAIE DE JANVIER

Commission EPQS

La direction apportera les précisions sur les modalités de calcul en suivi de rapport. 

EXOTISME : INITIATIVES PARENTALITE

Commission EPQS

Dans le réseau SGRF ou chez GBIS se développe un dispositif intitulé “Initiatives Parentalité”. Ce dispositif avait été poussé par la direction lors de la négociation sur le renouvellement de l’accord Égalité l’année dernière et nous avions refusé que celui-ci soit intégré à l’accord, à partir du moment où il n’y avait aucune garantie sur le fait que les “tuteurs” ou les “coachs”  connaissent l’accord qui reste le seul texte qui fait loi dans l’entreprise en matière de mesures concernant l’Egalité Professionnelle et ce qui en découle. Certaines entités le déployant, nous avons demandé une présentation à la commission EPQS afin d'échanger sur le contenu

PAS DE CAMPAGNE D'INSCRIPTION POUR LES PLACES EN CRECHE EN 2024 ! 

Commission EPQS

La direction a commencé par rappeler qu’il existe 2 dispositifs de garde d’enfants au sein de SG :

 -     Indemnités de garde versées aux salariés bénéficiaires (10 000 enfants (vs 8000 fin 2022 avant la fusion SG/CDN), dont 5700 de moins de 3 ans) : cela représente une manne financière de 11,4 M € dont 6,8M€ pour les moins de 3 ans (vs 9,3 M€ en 2022). Le budget de 11,4 M€ augmente en raison d’une part de l’effet volume des bénéficiaires et par un ajustement à la hausse de l’indemnité unitaire (1M€)

-     Un dispositif de crèches, avec effet fiscal pénalisant : avec un volume théorique de 170 places et un volume moyen utilisé de 150 places.  Cela représente 2,6% des enfants de moins de 3 ans. Le dispositif est centré sur l'IDF avec 95% des places attribuées. Son coût annuel est de 1,9 M€ pour le Groupe, avec un crédit d’impôt famille de 1M€ maintenant plafonné à 500 000€ en 2023.

Au vu de ces chiffres et de leur impact financier, SG a fait le choix de maintenir un seul dispositif à coût constant, en prenant en compte la revalorisation de l’indemnité de garde 2023 et la baisse de l’avantage fiscal. Il est prévu un arrêt progressif du dispositif, avec maintien des berceaux occupés jusqu’à la libération des berceaux au plus tard en août 2026. Traduction : les enfants qui sont dans le dispositif y restent jusqu’à leur rentrée à l’école, mais il n’est plus possible d’y inscrire de nouveaux enfants.

Conséquence : la direction ne fera donc pas de campagne d’inscription ouverte en 2024.

Le dispositif de places d’urgence est quant à lui maintenu, de l’ordre de 2500 jours (pour un montant de 200 000€ auprès de crèches partenaires). Le contrat est en cours de négociation.

Le coût global tous dispositifs confondus était de 12,3M€ (avant la perte d’une partie du crédit d’impôt), il sera de 12,5M€ en 2024 avec l’arrêt progressif des places pérennes, en légère augmentation, mais moindre que si le dispositif avait été maintenu.

A nos yeux, cette décision est bien dans la tendance actuelle de maîtrise des coûts de l’entreprise en passant par une politique de renoncements. Nous avions demandé au fil des années la hausse du nombre de places en crèche, car cela correspondait à une demande des parents salariés SG. La direction a fait le choix de conserver l’allocation de garde revalorisée et de supprimer les places en crèche pérennes, nous ne pouvons que le déplorer.  

La direction a prévu une communication aux salariés uniquement via le site sur lequel la campagne se fait habituellement, une communication a minima donc puisque rien d’autre n’est prévu.

Le problème c'est que l’article 9.1 de l’accord Égalité « Aide à la recherche de modes de garde » fait référence à un dispositif d’aide à la recherche de solutions de garde collective ou à domicile, via un prestataire externe et au fait que des places de crèche permanentes sont mises à disposition des salariés. L’accord arrivant à échéance le 31 décembre 2026 cela nous semble non conforme d’arrêter le dispositif avant cette date. 

Pour la direction, l’article est assez large dans sa rédaction et n’empêche pas la décision prise...(sic)

Interrogée sur l’impact de cette décision sur le partenariat concernant les places d’urgence qui sont avec le même prestataire, la direction a répondu que cela faisait l’objet de la renégociation actuellement en cours.

CPF - NOUVEAUTES 2024

Commission Formation

Suite aux récentes modifications du gouvernement concernant le reste à charge des salariés pour les formations utilisant le Compte Personnel de Formation (CPF), il est prévu que ce reste à charge soit fixé à un montant forfaitaire de 100 euros par formation. Cette évolution, issue de la Loi de Finances 2023 et devant être confirmée par un décret en avril 2024, aura un impact significatif sur les salariés.

Dans ce contexte, la CGT a posé des questions sur l’impact de cette nouvelle disposition sur le « CPF co-construit », sur la manière dont ce montant forfaitaire sera pris en charge, ainsi que sur les mesures prévues pour soutenir les salariés, notamment pour les formations linguistiques certifiantes ou les formations où l'utilisation du CPF est courante.

La direction tient à préciser qu'elle est en attente du décret d'application, mais selon les informations disponibles, il semble qu'il n'y aura pas de reste à charge pour les formations diplômantes et celles en co-construction. Cela signifierait que les salariés n'auront pas à débourser les 100 euros forfaitaires pour ces types de formations.

Concernant les autres formations certifiantes de langues ou similaires, ainsi que pour celles où le CPF est couramment utilisé, les détails sur la prise en charge seront précisés une fois le décret officiellement publié.

La direction s’est engagée à communiquer dès que ces éléments seront clarifiés.

BUDGET FORMATION

Commission Formation

La CGT a insisté sur la nécessité d'une plus grande transparence concernant les budgets de formation.

Il est regrettable que certaines BU/SU limitent le budget alloué par salarié sans tenir compte des besoins réels en matière de formation.

La direction a pris bonne note de cette information et la transmettra au relais formation de toutes les BU/SU concernées. Le message clair est qu'il ne s'agit plus d'informer les salariés sur le budget de formation, mais plutôt de l'attribuer en fonction des besoins de chaque salarié en matière de formation.

PRÉVENTION DES RPS DANS LE CADRE DE VISION 2025

Commission SSCT

Depuis le dernier point d’étape qui nous a été présenté en janvier dernier, la direction a souhaité nous indiquer les principales évolutions du dispositif depuis cette date.

Pas beaucoup de progrès, hélas, si ce n’est que la direction indique être dans la continuité de ses travaux, afin de répondre aux 4 facteurs de risques :

- charges de travail

- outils process

- incertitude

- tensions relationnelles.

La feuille de route de 2023 se poursuit sur ce premier trimestre 2024. Les enquêtes effectuées sur les DCR de Nice et Avignon sont terminées et des actions rapidement mobilisables seront mises en place en parallèle des réflexions à plus long terme afin de réguler la charge de travail.

Au niveau de SGRF, la direction mise beaucoup d’espoir dans le projet «temps collaborateur».

Nous avons cependant souligné les conditions de travail dégradées dans lesquels les salariés évoluent au quotidien et notamment en termes d’informatique.

La Direction nous a précisé être consciente des difficultés et indique avoir remonté le point à ITIM. Pour le moment « pas de retour » … La patience est une vertu, il faudra de nouveau attendre la prochaine commission EPQS courant juin.

Cependant, afin de se justifier avec des « actions concrètes », la direction a souligné que le partenariat avec le prestataire YOBURO (spécialiste des ateliers activités sportives, bien-être et des solutions de santé au travail en entreprise) est toujours en cours. Pour rappel, deux jeudis par mois sont proposés à l’ensemble des salariés du réseau. Ce sont des ateliers d’une durée de 30 minutes en lien avec différentes thématiques : gestion du stress, le sommeil, la nutrition, la prise de recul etc. s’effectuant entre 11h30 et 12h00 afin d’éviter d’empiéter sur l’heure du déjeuner.

Les véritables réponses à la charge de travail devront donc attendre encore, espérons que ce ne soit pas repoussé aux calendes grecques.

FICHE SIGNALEMENT INCIVILITÉS ET AGRESSIONS COMMERCIALES

Commission SSCT

En janvier 2024, la Direction avait informé les élus de la CSSCT qu’il ne serait plus possible de transmettre les fiches incivilités aux IRP, afin de respecter la réglementation RGPD qui lui été imposée.

Dans l’attente, une adaptation sous forme d’un tableau synthétique était communiquée au sein de chaque instance SSCT (Front/ Back, VAD), le temps que le nouveau process soit instauré. Qu’en est-il depuis ?

Les nouvelles fiches SGRF concernant les incivilités et agressions commerciales spécifiquement dédiées aux agences, aux CDS et aux CRC sont déjà disponibles sous Atlas.

Désormais, deux étapes importantes dans le process : Rédaction par le salarié victime de l’incivilité via la fiche de signalement dédiée qu’il devra transmettre à son Directeur d’Agence et à l’Adjoint Directeur d’Agence. Pour les salariés du CDS et des CRC, cette fiche d’incivilité devra être envoyée dans un premier temps à leur responsable d’équipe puis au RQCO d’appartenance du client. A réception de la fiche de signalement, le RQCO devra vérifier la complétude et l’envoyer pour analyse et prise de décision. Une fois cela fait, et après avoir eu la prise de décision (avertissement, rupture de la relation sous 60 jours ou 48h selon le type d’incivilité) c’est le RQCO de l’entité concernée qui devra adresser le courrier au client ayant fait l’incivilité.

FORMATION SÉCURITÉ INCENDIE EN AGENCE

Commission SSCT

Suite à l’incident grave survenu sur l’agence de Nanterre et notamment suite aux images qui ont pu être diffusées sur les réseaux sociaux, nous avons naturellement posé la question des formations sécurité en agence.

Nous avons été fortement surpris des réponses que la Direction a pu nous apporter sur le sujet, celles-ci étant très éloignées de la réalité du terrain. En effet, pour la direction, tous les salariés du réseau doivent recevoir une formation à la sécurité incendie au sens large (salarié en CDI, CDD, stagiaires, alternants, auxiliaires de vacances) lors de l’embauche, ainsi que tous les responsables d’agence qui se verraient prendre en gestion une nouvelle agence (obligation de fermer l’agence une demi-journée à la clientèle afin de permettre à l’ensemble des salariés du site d’effectuer la formation).

Pour la CGT, la théorie est bonne mais dans la pratique, nous ne pouvons que déplorer le fait que ces formations n’existent pas ou sont réduites à la seule remise d’un livret d’accueil contre décharge du salarié. Nous avons alerté la direction sur la nécessité de revenir à de véritables formations sur la sécurité dans les agences et sur la gestion des clients en cas de conflits et/ou d’incivilités. En effet, si nous avons la chance que l’incident de Nanterre se soit soldé sans blessures physiques pour les salariés de l’agence, il n’en est pas de même pour leur santé mentale. Il y a donc urgence à remettre en place les process de formation tels qu’ils devraient exister mais rendus extrêmement complexes par la régionalisation.

VACANCES FAMILLES ETE 2024 ET 2025

Commission Vacances Familles

 

  • Eté 2024 Période Rouge

931 logements chez des prestataires,

332 logements des centres CSEC (Le Croisic, Léon, Saint-Georges, Olmeto, Les Orres).

Soit 1263 au total, de 2 à 8 personnes.

Extrait du catalogue Vacances Familles 2024

PRIORITÉ AUX QUINZAINES POUR LES MODULES SUIVANTS :
Possibilité d’inscription en semaine unique (mais non prioritaire).

✓ Module 1 du 06 au 20 juillet

✓ Module 2 du 20 juillet au 03 août

✓ Module 3 du 03 au 17 août

✓ Module 4 du 17 au 31 août

  • Nombre de dossiers affectés et refusés pour la période rouge été sur les 4 dernières années

Dossiers affectés

Dossiers Refusés

Taux de refus / Affectés

En 2021

3933

344

8,75%

En 2022

3653

1973

54,01%

En 2023

4149

1939

46,73%

Pour 2024

4239

1802

42,51%

Le taux « dossier refusé » explose depuis 3 exercices, privant ainsi de nombreuses familles de vacances subventionnées par le CSEC.

  • Modules 2025 avec priorité aux quinzaines imposées

PRIORITÉ AUX QUINZAINES POUR LES MODULES SUIVANTS :
Possibilité d’inscription en semaine unique (mais non prioritaire).

✓ Module 1 du 05 au 19 juillet 2025

✓ Module 2 du 19 juillet au 02 août 2025

✓ Module 3 du 02 au 16 août 2025

✓ Module 4 du 16 au 30 août 2025

Afin de permettre à tout collègue de profiter du CSEC Vacances Familles, la CGT soutient l’inscription à la semaine et la suppression de la priorisation des quinzaines.

Cette solution permettrait de réduire le taux de refus et d’augmenter le nombre de bénéficiaires.

Vote POUR les modules quinzaines prioritaires

Vote CONTRE les modules quinzaines prioritaires

SNB – CFDT – CFTC

CGT


Les 3 autres organisations syndicales, SNB, CFDT, CFTC refusent cette proposition et maintiennent donc le système des modules de quinzaine imposés au détriment des familles recalées depuis 3 ans. Et cela sans aucune motivation ou explication sur leur positionnement de ne pas toucher aux sacro-saints modules par quinzaine.

BUDGET CSEC VACANCES FAMILLES

Commission Vacances Familles

Budget de 8,5MEUR pour l’été + hiver

Le budget octroyé à la commission vacances familles pour les logements en période rouge été est à son maximum. Les possibilités d’augmenter le parc de logements sont :

- La recherche de lieux touristiques moins prisés, moins onéreux en remplacement de sites actuellement existants. Certaines destinations tests rencontrent des difficultés pour leur remplissage (Strasbourg, Angers, Etretat, …)

- Une augmentation des offres « résidence » au détriment des offres « camping ». Les enseignes Goelia, Lagrange proposent des appartements et/ou maisonnettes avec un prix moyen inférieur à de l’hôtellerie de plein air.

- Une baisse de gamme des logements souscrits

 

PREPOSITIONNEMENT DE RENOUVELLE-MENT DE CENTRES DE VACANCES ETE 2025

Commission Vacances Familles

Présélectionnés sortants

Présélectionnés entrants

St Valery sur Somme

Camping Sandaya Mont-Saint-Michel

(50530 Genêts)

Etretat

Camping Sandaya L'Anse du Brick

(50330 Maupertus-sur-Mer)

Blonville

Baie du Mont St Michel

Résidence Goélia Belle Epoque

(80350 Mers-les-Bains)

Angers

Résidence Lagrange Vacances - Cap Green

(22240 Fréhel)

St Gilles Croix de vie

Strasbourg

Résidence Néméa Les Rives de Saint Brice

(33740 Arès) 

Montbrun

Résidence Goélia Les Gorges de la Truyère

(12140 Entraygues-sur-Truyère)

RENOUVELLEMENT CENTRES DE VACANCES HIVER 2024-2025

Commission Vacances Familles

Positionnement d’un renouvellement à l’identique des 5 centres de vacances + le centre CSEC des Orres

 

CORRESPONDANCE AVEC LA COMMISSION VACANCES FAMILLES

Commission Vacances Familles

Vous souhaitez faire part de remarques, observations, réclamations auprès de la commission Vacances Familles ?

Avec respect et courtoisie, écrivez  en précisant « A l’attention de la commission Vacances Familles » sur l’adresse mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Les personnes habilitées à la gestion de cette adresse mail ne sont pas des membres de la commission, en revanche, elles font le relais entre les bénéficiaires du CSEC et les commissaires de la commission Vacances Familles.

BILLET ANNUEL SNCF

Commission Vacances Familles

Un coup de pouce pour se déplacer en train et en France ?

Qu’est-ce que le billet de congé annuel de la SNCF ?

Le billet congés annuel SNCF vous permet d’obtenir -25 % de remise sur le prix d’un billet de train SNCF pour vos vacances.

La SNCF propose de bénéficier une seule fois par an d’un tarif réduit pour l’achat de billets.

Cela concerne un trajet de train aller-retour à l’occasion d’un congé annuel. Le billet de congé annuel ne s’applique que pour un voyage en France.

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2328

COLONIES PRINTEMPS 2024

Commission Vacances Enfants

Les convoyages auront lieu les 13, 20 et 27 avril 2024.

Les dates de vacances par zone :

Zone C                   13 au 20 avril 2024

Zone A ET B          20 au 27 avril 2024

Des visites sur les centres de vacances auront lieu sur la période printemps. L’objectif étant toujours de garantir la sécurité de nos enfants, respecter notre cahier des charges et conserver la qualité des séjours.

COLONIES ETE 2024

Commission Vacances Enfants

  • Du 10 au 17 juillet 2024 pour les séjours 8 jours (4/6 ans et 7/9 ans)
  • Du 10 au 23 juillet 2024 pour les séjours 14 jours (7/9 ans à 17 ans)
  • Du 13 au 20 août 2024 pour les séjours 8 jours (4/6 ans et 7/9 ans)
  • Du 13 au 26 août 2024 pour les séjours 14 jours (7/9 ans à 17 ans)

Le CSEC finalise des solutions adaptées pour pallier les contraintes des Jeux Olympiques au niveau des transports, les différents points de rassemblement sont sur le point d’être définis. Nous reviendrons vers vous dès que nous aurons les futurs lieux de départ.

CSEC 11 Avril 2024
  1. Les infos du CSEC - Session de travail - Février 2024
  2. Les infos du CSEC - Session de travail Septembre 2023
  3. Les infos du CSEC - Session de travail - Novembre 2023
  4. Les infos du CSEC - Plénière du 5 juillet 2023

Sous-catégories

Plénière

Commission Économique

Commission Égalité Professionnelle et Questions Sociales (EPQS)

Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail

Commission Formation

Commission Vacances Familles

Commission Vacances Enfants et Adolescents

Sous-Commission Logement

Page 1 sur 2

  • 1
  • 2
© 2025 Le site officiel de la CGT Société Générale
  • 01 42 14 30 68
  • info@cgtsg.fr
j6test.cgtsocgen.org j6test.cgtsocgen.org
  • Accueil
  • Se Connecter
  • S'inscrire
  • BookMe !
  • BookMe - Admin
  • 01 42 14 30 68
  • info@cgtsg.fr