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Accord Intéressement SG du signé 29 juin 2021 - exercices 2021, 2022, 2023

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Catherine LEJEUNE Intéressement - Participation 7 Juillet 2021

Règlement du Plan d'Epargne d'Entreprise (accord signé du 29 juin 2021)

Le document PDF se trouve ici

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Catherine LEJEUNE Intéressement - Participation 7 Juillet 2021

Participation - intéressement : déclaration intersyndicale 9 Juin 2021


CFDT - CFTC - CGT - SNB      7 Juin 2021


RENÉGOCIATION DE L’ACCORD DE PARTICIPATION ET D’INTÉRESSEMENT 08 JUIN 2021
(document pdf - rappel : il faut être connecté au site avant de cliquer sur le lien)

La Direction a ouvert très tardivement la renégociation des accords de Participation et d’Intéressement (P+I), alors qu’elle doit légalement se terminer avant le 30 juin. Ça n’est pas faute de l’avoir relancée, mais la CFDT, la CFTC, la CGT et le SNB ne confondront pas vitesse et précipitation tant le sujet est important.

En effet, la Direction ne peut continuer à ignorer plus longtemps le mécontentement, voire la colère, des salariés… Il en va de sa crédibilité et de sa loyauté envers eux, mais aussi de l’attractivité et la pérennité de notre entreprise.

Nous avons tout d’abord rappelé à la Direction les nombreuses promesses faites par Frédéric OUDÉA ces 10 dernières années : la Participation et l’Intéressement devaient, selon lui, être le nouveau vecteur de la récompense collective des efforts fournis, en lieu et place des augmentations pérennes. Personne n’a pu en constater les effets, bien au contraire ! Nous avons plutôt assisté au décrochage de l’enveloppe P+I à des niveaux très bas, ainsi qu’à un décalage toujours très important d’avec les niveaux versés par nos pairs qui en font un argument de recrutement. A cela s’est ajouté la fin des PMAS annuels (Plans Mondiaux d’Actionnariat Salarié), mais aussi tout dernièrement la baisse des enveloppes de parts variables et le gel temporaire des enveloppes de révision salariale. Pour les salariés, la coupe est pleine !

Compte tenu de ces éléments, nos 4 Organisations Syndicales ont été très claires sur leurs revendications dans le cadre de cette renégociation, à savoir :

  • Une formule de calcul basée sur le RBE et non le REX pour ne plus subir les éléments de risque et les éléments exceptionnels
  • Plus généralement, une réelle volonté d’améliorer significativement le montant global de l’enveloppe pour s’approcher des standards du secteur
  • Une sécurisation du montant de l’enveloppe par la mise en place d’une valeur plancher et la revalorisation du plafond
  • Une meilleure stabilité du niveau de l’enveloppe
  • La prise en compte de l’intégration future des 8000 salariés Crédit du Nord au sein de SGPM en adaptant le montant de l’enveloppe en conséquence

Le contexte actuel très difficile a amplifié le sentiment de manque de reconnaissance qui pourrait se traduire par une démobilisation et laisse déjà poindre des départs que nous regretterons plus tard… Nous attendons donc une réponse forte de la part de la Direction, à la hauteur des attentes des salariés et de leur investissement au quotidien.

Les suppléments d’intéressement exceptionnels ne peuvent continuer à être la solution car ils ne règlent pas le problème de fond et restent insuffisants pour réellement compenser les manquements.

Enfin, nos collègues du Crédit du Nord qui nous rejoindront prochainement sont très inquiets lorsqu’ils comparent leur rémunération globale à celle qu’ils pourront obtenir au sein de SG. Si la Direction veut réussir cette intégration, déjà à hauts risques à bien d’autres égards, elle doit impérativement prendre en considération cet élément.

Quelle promesse employeur la Direction Générale peut-elle encore offrir après une décennie de déception ? Une réelle évolution du dispositif de Participation et d’Intéressement serait déjà un premier marqueur fort ! Elle doit investir sur son capital humain, car c’est un maillon essentiel qui contribue en grande partie à la performance économique de l’entreprise.

 

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Intéressement - Participation 9 Juin 2021

Participation intéressement & Co : c'est reparti pour 3 ans - 29 juin 2021


P+i, PEE, PEROB, Congés annuels - 29 Juin 2021


Caroline Guillaumin et Frédéric Clavière-Schiele recevaient les délégués syndicaux nationaux de la Société Générale ce matin pour soumettre à la signature pas moins de 7 projets d’accords.

Après un rappel des enjeux par le directeur des affaires sociales, la DRH Groupe a « remercié les équipes qui ont travaillé sur les différents sujets et les organisations syndicales qui, même en désaccord, permettent un bon niveau de dialogue social. Dans ce contexte et sur des sujets compliqués, il faut rester en capacité de s’écouter et s’entendre. Pour la DRH Groupe, au-delà des propositions contenues dans les projets d’accords, il faudra surtout des résultats au rendez-vous pour que les dispositifs répondent aux attentes. »

7 d’un coup !
D’un côté, la quantité ne fait pas la qualité. Si le dialogue social a effectivement été très serré et les sujets divers et variés, la CGT a regretté que les propositions finales de la direction en termes de P+i (participation et intéressement), de PEE (plan d’épargne entreprise) et de PEROB (Epargne retraite obligatoire) ne soient pas à la hauteur des attentes, des comparaisons vis-à-vis du secteur, voire même de la rémunération des actionnaires (qui représente pas loin d’un milliard cette année).    
L’augmentation de l’abondement du PEE (qui passe de 2000€ à 2200€ lors de PMAS, soit 400€ sur 3 ans) ne bénéficiera pas à tout le monde. Loin de là. Il faut investir près de 4.000€ pour voir la différence. Ce qui n’est pas le cas de beaucoup de collègues. De plus, cette très faible augmentation ne compense même pas la disparition de l’abondement du PERCO (600€ par an). Ce dernier ne concernait que 2000 salariés, mais permet au passage à la direction de faire une petite économie de 550.000€.

Nous ne sommes donc pas signataires de la mise en place du PEROB qui achève la gestion paritaire de l’épargne retraite à la SG. La disparition de l’IP Valmy a été actée en 2018 (par accord avec laCFDT, la CFTC et le SNB) malgré sa gestion rigoureuse qui avait permis de surmonter sans encombre toutes les crises depuis sa création.

En toute logique, nous n’avons pas signé l’avenant technique qui permet le transfert du CET vers le PEROB.

Par contre, nous avons signé l’inversion du calendrier des congés annuels qui permet d’avoir 26 jours de congés annuels au début de 2022 (en plus du dispositif qui traite de l’utilisation des 26 jours au titre de 2021).

Enfin, nous avons aussi signé le renouvellement du Comité de Groupe Européen (dans lequel la CGT aura 2 élus).

3 signataires sur 4
Le directeur des relations sociales avait bien œuvré en bilatérales, car malgré une première approche intersyndicale, les autres syndicats (CFDT, CFTC et SNB) ont tous signé l’ensemble des projets d’accords. Si le SNB a souligné l’augmentation de la P+i, la CFDT a déclaré qu’elle prenait ses responsabilités. Quant à la CFTC, la P+i n’est « pas aux attentes, mais ça va. »

De son coté, la DRH Groupe a confirmé 2 engagements unilatéraux (un éventuel PMAS en 2022 si les conditions du marché le permettent et un supplément d’intéressement de 9,4 millions pour compenser l’effet des rachats d’actions au titre des résultats de 2020).

Nous avons profité de cette réunion pour revenir sur la modification du règlement intérieur concernant la pré-approbation par les managers des transactions personnelles de certains collègues (initialement les personnes exposées au risque de conflit d’intérêt). Il nous semble que les retours des équipes démontrent une application beaucoup plus large que prévue. Au-delà du fait qu’elle pose un vrai souci d’ingérence du management sur les opérations non sensibles (fond E par exemple). La direction doit regarder ce point et nous revenir.

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Intéressement - Participation 12 Janvier 2021

Rémunération financière 2018 (participation et intéressement) - 2 Avril 2019

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Malgré les lamentations continues de la direction, l’année 2018 n’a pas été si mauvaise que cela pour la SG d’un point de vue financier. Les résultats sont en progression et, de ce fait, l’enveloppe globale allouée à la rémunération financière des salariés augmente elle aussi d’une année sur l’autre (+17%) pour atteindre un montant global de 117 millions d’euros. A cette somme, il faut ajouter les 42 millions d’euros correspondant au supplément d’intéressement correspondant à la prime de 1000 euros bruts destinée à compenser la forte diminution des indemnités de fin de carrière (IFC) et des primes liée à la médaille du travail. Cette compensation reste toutefois très partielle si l’on considère qu’en rabotant ces avantages sociaux historiques, la direction a sans doute récupéré plus de 200 millions d’euros de provisions. Malgré les demandes répétées de la CGT, la direction n’a jamais voulu nous transmettre les éléments qui auraient permis de discuter d’une nouvelle formule équitable de rémunération financière. 

La formule actuelle de calcul (RF = 2%x (50% REX SG + 50% REX BDDF) + 2%x DIVIDENDES + BONUS RSE cappé à 6 millions d’euros; avec les REX corrigés du coût du risque) reste donc valable pour l’exercice 2019 en cours. En début d’année prochaine, nous serons appelés à négocier la formule qui s’appliquera aux exercices 2020, 2021 et 2022. Deux organisations syndicales ont demandé à ce que cette même formule soit reconduite en remplaçant le REX par le RBE, ce qui permettrait de gagner 15 à 20 millions d’euros supplémentaires à distribuer chaque année. La CGT ne les a pas suivies. Comme le montre régulièrement la comparaison avec les autres établissements financiers, la SG est largement à la traîne du marché. Il faudrait tripler ou quadrupler les montants distribués pour combler les écarts et redorer un peu l’attractivité de la banque auprès des salariés. Si la rémunération financière n’est évidemment pas le seul facteur derrière la vague de démissions et les problèmes de recrutement que connaît la SG, son faible niveau constitue un choc pour tous les nouveaux arrivants. C’est un point auquel il faut remédier, d’autant que Frédéric Oudéa qui nous a répété que cette enveloppe devait compenser la disparition de celle des augmentations collectives annuelles. Or nous attendons toujours… 

Par ailleurs, la direction nous a confirmé qu’un Plan Mondial d’Actionnariat Salarié (PMAS) serait ouvert cette année. Il se tiendrait probablement en mai-juin afin de correspondre à la période d’affectation de la rémunération financière. Le fiasco de 2017 a en effet amplement démontré que cette opération était délicate à gérer en-dehors de cette période. Alors que d’autres organisations syndicales réclamaient déjà l’organisation d’un nouveau PMAS en 2020 afin de rattraper le rythme triennal promis initialement par la direction, la CGT s’est montrée plus circonspecte. Tout d’abord, parce que cela fait plus de 10 ans que le cours de l’action SG se distingue avant tout à la baisse. Ensuite, parce que les PMAS ne bénéficient qu’à ceux qui peuvent y souscrire et que nous préférons donc privilégier les modes de rémunération qui profitent à tous. C’est pourquoi nous en revenons au point précédent : en 2020, la priorité sera de réévaluer très significativement la rémunération financière de tous les salariés ! 

        

Intéressement - Participation 2 Avril 2019
  1. Participation - intéressement : Ras le bol ! - Mail d'une salariée le 6 avril 2018

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