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Réunion Teams Mardi 12 Mars à partir de 14h00


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 Compte-Rendu CGT du Comité Social et Économique - Consultation sur le projet de réorganisation et d’adaptation des effectifs des Services Centraux Parisiens des 19 et 20 février 2024

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Services Centraux 22 Février 2024

Réunion Teams 12 Mars


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Compte-Rendu CGT du Comité Social et Économique - Consultation sur le projet de réorganisation et d’adaptation des effectifs des Services Centraux Parisiens des 19 et 20 février 2024
Tout savoir sur les réorganisations 2024 et le plan services centraux parisiens 

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Services Centraux 22 Février 2024

Plan 2024 : La gestion des RPS


RPS : Réorganisations et Plan 2024 - 26 Février 2024


Le document officiel déposé devant les instances le 5 février  
L'accord cadre sur l'emploi et l'accompagnement des réorganisations ayant des conséquences importantes sur l'emploi
 
Le compte rendu du CSE du 26 février :
(voir aussi : Les minutes du CSE du 26 Février) 

Présentation HRCA/SSA des dispositifs prévention RPS dans le cadre de la réorganisation

 

RPS

Mme Coralie BIANCHI, Directrice adjointe des relations sociales, a attendu la fin des présentations des différentes BU/SU concernées par le projet pour nous présenter les dispositifs de traitement des RPS susceptibles d’être générés par le dossier. Cette présentation a été prévue pour mardi dernier, mais compte tenu de l’ampleur de la transformation et un timing précipité que la direction nous impose, c’est donc sans surprise que nous avons dû poursuivre les présentations ce lundi 26 février matin. C’est entre 9h à 14h10 que nous avons dû batailler sur le dossier des BU AFMO et EURO et sur la question de la prévention des RPS. Certains de nos élus sont ensuite entrés directement dans la séance de négociation de l’accord cadre du dossier. Nous avons sous les yeux une simple illustration de ce que nous appelons, le timing déraisonnable de la direction.

Concernant les dispositifs de prévention, on peut commencer par la fin en affirmant sans crainte de se tromper que « La montagne accouche d’une souris ».

En synthèse, le dispositif prévention des RPS imaginé par la direction consiste à une collection d’éléments non uniformes, certains sont déjà connus dans les autres plans, d’autres sont nouveaux mais ne semblent pas correspondre aux véritables besoins des salariés. L’illusion de la présentation des RPS en Prévention Primaire, Secondaire et Tertiaire résiste mal à l'analyse et on constate d'emblée le manque de contenu opérant des composants du dispositif.

Ecartons d’emblée des éléments surréalistes et qui sont devenus lassants après quelques réorganisations comme « ACE, Ateliers CV, et autres préparations aux entretiens ou de co-construction de la cible opérationnelle » quand on sait que la plupart des salariés concernés n’ont jamais été sollicités pour donner leurs avis, et et que certains ont le plus grand mal à obtenir des retours à leur candidature à une poste…

Ce qui nous semble notable, dans le dispositif présenté, est un volet important de formations, dans divers formats, pour « muscler » des responsables de la mise en œuvre du projet, les manager et les RH. Nous avons ainsi des conférences sur le Renforcement de la communication et l'accompagnement des managers dans les annonces, E-learning Agir sur les signaux faibles, Accompagnement Flash aux managers (sous forme de coaching ponctuel (2x2h), Renforcement d’accompagnement et suivi du collaborateur RH & managers. Ces formations de coaching peuvent être pilotées à la fois par des cabinets de conseil externes (GreenWorking et Empreinte Humaine) ou en interne mais leur point commun est de donner une impression d’entre-soi bien loin des préoccupations et des problématiques des salariés face à une énième réorganisation. Ajoutons que l’association des médecins du travail et des assistantes sociales aux dispositifs de prévention a été une demande constante de la CGT depuis 2013.

En troisième lieu, la considération d’un certain nombre d’indicateurs : Baromètre employeur 2023, les indicateurs de RPS peuvent permettre d’avoir une cartographie dynamique qualificative et quantitative particulièrement utile pour suivre les impacts de la mise en œuvre du projet mais seulement à condition que ces indicateurs soient spécifiques aux BU/SU voire au niveau des services les plus impactés. Pour l’instant, nous n’avons pas encore eu la communication des  résultats catastrophiques du Baromètre 2023 par BU/SU. Par ailleurs, si les indicateurs de RPS proposés par la direction sont intéressants dans une certaine mesure, ils ne sont pas suffisants pour bien cerner les enjeux de cette transformation : quelle sera l’évolution de la charge ? Comment mieux accompagner les séniors et des salariés à temps partiel dans les reclassements ? Quelle est la situation de l’offre et la demande de poste par famille de métier ? …

Il est important de se rappeler que la direction porte l’entière responsabilité dans la génération des RPS, puisqu’à la suite de son annonce de la suppression des 947 postes par mail le 5 février dernier, elle a imposé aux IRP un rythme déraisonnable de consultation en raccourcissant les délais, en refusant de concerter les organisations syndicales sur les questions clés de la stratégie de l’entreprise, comme il est stipulé dans l’accord 2019, et en refusant de considérer nos propositions pour mettre des moyens nécessaires dans l’accompagnement des salariés.

Pour la CGT, les meilleures protections contre les RPS sont des mesures réelles et opérantes avant d’être des sujets de communication. Pour nous il est indispensable, dans le contexte actuel, d’avoir  un dispositif d’accompagnement transversal comprenant quelques éléments essentiels que nous avons mentionnés dans nos demandes préalables :

  • Des niveaux d’information homogènes et suffisamment détaillés pour permettre aux salariés et aux élus de comprendre les impacts de la réorganisation.
  • Un dispositif d’accompagnement et de suivi opérant et transversal à l’ensemble des BU/SU pour permettre d’avoir une vision à 360° sur l’offre et la demande de poste. Nous ne pouvons pas faire l’impasse sur une mobilité en interne complètement grippée.
  • Un suivi effectif de l’évolution de la charge de travail pendant toute la mise œuvre du projet.

En conclusion, le dispositif proposé par la direction semble, après analyse, déconnecté de la situation dans laquelle se trouvent de nombreux salariés. Il ressemble plutôt à un exercice de communication qu’à un instrument de travail. Par ailleurs, ceux, qui ont pu assister aux conférences de GreenWorking, ont pu noter que GreenWorking ne souhaite pas rentrer dans le  « contenu du dossier » mais prétend donner aux managers et autres RH « une posture universelle, adaptable à toute situation ». Et en particulier, lorsqu’il s’agit de faire accepter l’inacceptable.


Pour terminer, au sein du dossier, les élus CGT ont eu l’occasion de poser une liste de questions ou d’observations auxquelles nous n’avons pas encore eu réponse.  La CGT a rappelé que la Direction Générale a une responsabilité toute particulière dans la situation des salariés à ce jour.  Cela va du défaut de fonctionnement des mesures de préventions sur le harcèlement à l'inefficacité du dispositif de traitement des alertes par exemple. 
 
Retour au compte rendu du CSE de Février 2024 

 

Olivier D. Services Centraux 21 Février 2024

Société générale fortement pénalisée par la hausse des taux en 2023 - Figaro 8 Février 2024

 

Figaro  jeudi 8 février 2024 07:45

Société générale fortement pénalisée par la hausse des taux en 2023

Par Danièle Guinot

Le groupe a dégagé un résultat net de 2,5 milliards d’euros. Et ses revenus ont fondu de 7,6% en un an.

C’était un baptême du feu pour Slawomir Krupa. C’est en effet la première fois que le directeur général de Société générale, en place depuis mai dernier, présente les résultats annuels de la troisième banque française par la capitalisation boursière. Il se savait attendu au tournant. Le 18 septembre, son plan stratégique jusqu’à 2026 avait déçu les investisseurs, au point que le cours de Bourse avait chuté de 12% en une séance.

Or les performances publiées ce jeudi sont en demi-teinte. En 2023, Société générale a dégagé un résultat net de 2,5 milliards d’euros (+37%, mais après une année 2022 exceptionnelle qui était pénalisée par la sortie de Russie), très loin de ses concurrentes BNP Paribas (près de 11 milliards d’euros) et Crédit agricole (8,25 milliards d’euros). Et surtout ses résultats du quatrième trimestre ont plongé de 60% sur un an. Les revenus ont eux baissé de 7,6%. La rentabilité du groupe sur fonds propres est tombée à 4,2%. «2023 était une année de transition et de transformation», a résumé dans un communiqué Slawomir Krupa

Les activités de banque de détail en France,rassemblant désormais sous la marque SG les ex-réseaux Société générale et Crédit du Nord, ont particulièrement souffert l’an dernier, pénalisées par la hausse des taux d’intérêt. Ses revenus ont encore reculé de 13% en un an. Parce que les taux fixes dominent en France, les portefeuilles de crédit immobilier des banques françaises ne bénéficient pas encore pleinement de la hausse des taux. Seuls les nouveaux prêts accordés sont concernés par le changement. Fait aggravant, la hausse de la rémunération du livret A à 3 % a alourdi le coût de la ressource (les dépôts) utilisée par les banques pour prêter. Mais la banque au logo rouge et noir a surtout été victime l’an dernier d'une mauvaise politique de couverture de taux : au début de l'année 2022, le groupe a en effet décidé de se couvrir, et pour une durée de deux ans, contre une éventuelle... baisse des taux. Or, c’est l’inverse qui s’est passé et le groupe a enregistré une perte aux troisième trimestres et quatrième trimestre.

En 2023, les deux nouveaux moteurs de Société générale ont par ailleurs connu des évolutions contrastées : BoursoBank (ex Boursorama), qui a écopé en début d’année 2024 d’une amende de 4,5 millions d'euros pour des «prélèvements de commissions d'intervention non justifiées», a continué sur sa lancée, atteignant les 5,9 millions de clients. En revanche, sa filiale de crédit-bail automobile Ayvens (ex-ALD Automotive), qui digère sa concurrente Leaseplan achetée en 2022, a calé en fin d’année. Ses revenus ont fondu de 17% au quatrième trimestre. Sur l’ensemble de l’année 2023, ils progressent de 16%.

Le groupe se veut plus optimiste pour 2024. Les enjeux sont importants. En Bourse, Société générale n’est valorisée que 18 milliards d’euros, soit trois fois moins que BNP Paribas. «Cette valorisation ne représente que 27 fois sa valeur comptable», souligne Jérôme Legras, responsable de la recherche chez Axiom AI.

Slawomir Krupa s’active pour tenter de redresser le cours de l’action. «La direction du groupe doit démontrer sa capacité à réduire la structure de coûts et à redresser sa rentabilité de façon pérenne», avance Rafael Quina, senior director de l'agence de notation Fitch Ratings. En présentant son plan stratégique en septembre, le directeur général avait annoncé vouloir réduire les coûts du groupe de 1,7 milliard d'euros au total à l'horizon 2026, dont environ 600 millions dans les seuls services informatiques. Des premières coupes ont été annoncées en début de semaine : 947 postes seront supprimés au siège de Société générale à la Défense, notamment dans l’informatique. 500 millions d’euros au total doivent être économisés en 2024.

Le plan stratégique passe également par une amélioration de la gestion des risques, une allocation plus efficace des capitaux propres et une rationalisation du portefeuille d'activités. La banque a commencé à faire le ménage en Afrique. Elle a annoncé son désengagement du Congo, de Guinée équatoriale, de Mauritanie, du Tchad, du Burkina Faso et encore du Mozambique. Slawomir Krupa serait prêt à multiplier les cessions d’actifs. Des rumeurs vont bon train sur l'avenir du métier de conservation de titres Société générale Securities Services (SGSS), de la filiale Société générale Equipment Finance (SGEF), destinée au financement spécialisé à destination des entreprises, ou encore de la néobanque dédiée aux entrepreneurs Shine, achetée en 2020. Mais ces cessions qui ne seraient pas faciles à réaliser dans le contexte actuel. Or, les investisseurs s’impatientent... 

Services Centraux 19 Février 2024

Société générale : où va la banque en Bourse après une coupe sombre dans l’emploi à La Défense ? Challenge 5 Février 2024

Société générale : où va la banque en Bourse après une coupe sombre dans l’emploi à La Défense ?

Société générale a été volatil (dans le mauvais sens) en Bourse suite à l’annonce de suppressions d’emplois historiques pour la banque au logo rouge et noir à La Défense. L’action Société générale peut-elle espérer repartir de l’avant ?

Par Nicolas GALLANTJournaliste Bourse et économie, spécialiste entreprises et marchés, chef de rubrique

Publié le 05/02/2024 à 20h00 & mis à jour le 05/02/2024 à 22h37

Société générale est dans le rouge vif, à la Bourse de Paris, ce lundi. Après avoir brièvement salué à l’ouverture de la séance de Bourse l’annonce de la suppression de presque 5% de ses effectifs à La Défense (soit environ 1% des emplois au niveau mondial, ce qui aura un impact positif sur les coûts), l’action de la banque au logo rouge et noir a perdu presque 1,5%. Près de 947 emplois seront sabrés, essentiellement dans les services centraux, les fonctions supports (back office et informatique), la banque d'investissement et le conseil, la direction financière et les ressources humaines. C’est davantage que les 880 postes supprimés en France au pôle banque de financement et d’investissement de Société générale en 2012, pendant le mandat de Frédéric Oudéa.

Un «séisme», dénonce un délégué CGT, qui juge le plan de suppressions d’emplois «violent», «inacceptable» et «inquiétant». Un responsable syndical estime de son côté que ce «traumatisme» est révélateur d’un manque de vision pour dégager davantage de produit net bancaire (PNB, différence entre les produits et les charges d'exploitation bancaire). Des suppressions d’emplois massives qui pourraient bien traduire une faiblesse de l’activité et des perspectives de profits, s’inquiètent de nombreux actionnaires et analystes financiers. Autrement dit, un possible bien mauvais signal adressé au marché, alors que les comptes de 2023 seront publiés ce jeudi 8 février 2024.

La suite sous cette publicité

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À LIRE AUSSISociété Générale : la hausse des taux et les difficultés en banque de détail continuent de plomber les comptes

Après les suppressions d’emplois, des ventes d’actifs à venir pour société générale ?

Le plan de suppressions d’emplois annoncé est d’une ampleur deux fois plus importante que celui avancé en janvier par l’agence de presse Bloomberg, qui évoquait alors une réduction à venir de «seulement» 500 postes pour Société générale. Outre les suppressions d’emplois programmées, Société générale pourrait aussi vendreSociété Générale Securities Services (pôle services titres, qui représente 2 000 emplois à la Défense et 4 000 hors de France) et Société Générale Equipment Finance (pôle financement des ventes et des biens d'équipement, qui représente 1 400 emplois), d’après des rumeurs de presse.

Société générale a connu un parcours désastreux, en Bourse, depuis le pic de 2007

Société générale a connu un parcours à oublier à la Bourse de Paris, depuis le sommet de 130,89 euros inscrit par l’action au printemps 2007 (son sommet pré-crise financière de 2008-2009), avec un plongeon de 83% du cours de Bourse de l’action sur la période, sur fond d’évolution défavorable de la réglementation en Europe (qui a favorisé un recul de la rentabilité des fonds propres de la banque), de crises et de scandales en tout genre (affaires Jerôme Kerviel, Panama Papers, cumcum, etc.)...

Société générale est considérée comme plus risquée que BNP Paribas et Crédit agricole

Société générale est généralement perçue comme ayant un profil plus risqué que ses deux grandes concurrentes Crédit agricole et BNP Paribas. Un ancien salarié de Société générale a indiqué à Capital, sous couvert d’anonymat, que l’établissement avait la réputation de prendre beaucoup de risques et que son profil d’activité, assez peu diversifié, l’exposait davantage que d’autres grands concurrents (comme Crédit agricole) aux aléas de la conjoncture économique.

À LIRE AUSSIBNP Paribas et Société générale se font damer le pion par Crédit agricole : le conseil Bourse

Est-il temps de se placer sur l’action Société générale, en Bourse ?

En Bourse, l’action Société générale peut à première vue sembler relativement bon marché, puisque l’établissement ne se paie qu’un peu plus de 5 fois les profits attendus pour 2024 et 4 fois ceux estimés pour 2025 par les analystes financiers (en moyenne). Et si JPMorgan a abaissé mi-janvier de 33 à 31 euros son objectif de cours (juste prix estimé) sur l’action Société générale (sur fond de baisse attendue des taux d’intérêt en zone euro d’ici 2025, ce qui devrait affecter la rentabilité des banques françaises), cette cible laisse toutefois entrevoir un important potentiel d’appréciation théorique, le prix actuel de l’action étant inférieur à 23 euros 

Services Centraux 19 Février 2024
  1. La Société Générale devrait annoncer «jusqu’à 1000 suppressions» de postes ce lundi - Figaro 4 Février 2024
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