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Les infos du 08 Octobre 2004 - article

 

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LES NOUVELLES DU FRONT

La commission de suivi 4D du 5 octobre abordait pour la seconde fois les problèmes de transferts des emplois dans des zones qui sont très éloignées. Après que la direction du réseau ait mangé son pain blanc, il faut passer désormais aux choses qui fâchent. Le transfert Epinal - Nancy est suivi maintenant du transfert Chambéry - Grenoble, Valence - Lyon, Charleville - Paris entre autres. Les représentants de la direction du réseau à la commission ont campé sur leurs positions habituelles: « si les temps de transport deviennent exagérés, alors les gens doivent déménager ». L’expérience montre jusqu’à aujourd’hui que 90% des gens ont suivi le transfert de leur poste dans un PSC, ce qui signifie que peu ont refusé et qu’il n’a pas été difficile de les reclasser. Mais ce pourcentage pourrait bien changer si la direction du réseau ne se décide pas à moduler la mise en œuvre de son projet. Car devant son obstination, il ne reste qu’un moyen à disposition du personnel : refuser les transferts. Constat semble-t-il partagé par notre DRH, Bernard De Talancé, qui a lâché : « si ceux qui refusent de partir sont nombreux, alors il faudra bien que le réseau fasse quelque chose ». Pari risqué avec la CGT, car une assemblée générale de personnel se tenait le lendemain à Valence qui en a tiré la conclusion : ce sera le refus. On imagine sans peine comment les agents de Montélimar, venus travailler à Valence en 97 ont apprécié que Mrs BURLOT et BROCKMANN n’aient à leur proposer que de déménager ou de pratiquer le covoiturage vers Lyon… Il se pourrait aussi que l’évolution de la jurisprudence pose quelque problème à la direction si elle continue de vouloir boucler à n’importe quel prix humain son projet pour 2008. Il se trouve en effet que la Cour de Cassation considère de plus en plus nettement que l’allongement du temps de transfert pour se rendre à son lieu de travail en cas de transfert de celui-ci à l’initiative de l’employeur… doit être décompté dans le temps de travail et payé comme tel. La CGT ayant informé la direction qu’elle devrait en tenir compte, a immédiatement déclenché une réaction : si vous frappez à la caisse, ce n’est plus du jeu… Effectivement, nous avons signé l’accord 4D pour garantir des droits au personnel mais en aucun cas nous avons signé que nous allions accepter 4D sans broncher. Dans les prochaines étapes annoncées, il semble donc que la direction ait opté pour l’épreuve de force : alea jacta est !

NOIX FRAICHES

Gros succès de la récolte de noix de la semaine passée, mais pas auprès des intéressés évidemment … succès qui suscite des vocations à cause des multiples excès engendrés par une politique commerciale forcenée : à la une de cette semaine, un nouveau truc, le « coaching I.A.R.D. » pratiqué à l’initiative du RCP de Mantes, Guillaume d’Adhemar ! Et voilà nos conseillers inondés de mails et d’objectifs et « coachés »… en gros ça consiste à faire une réunion avant, puis à leur coller aux basques pendant, et à refaire une réunion après… à croire que tous ces coacheurs n’ont pas de boulot. Palsambleu, Morbleu, Messire Guillaume, vous n’êtes point le conquérant, un peu de mesure ! Quant au patron de la DEC Artois – Hainaut, il est invité à festoyer le 22 octobre pour le 1er anniversaire du PSC de Lille. Ses ouailles, qu’il a invité à pratiquer la marche forcée sur ses terres pendant qu’il ripaille, auront grande réjouissance à le voir ainsi croqué dans notre trait de la semaine car ce sera belle et bonne justice.

Olivier D. Les infos CGT SG 8 Octobre 2004

Les infos du 01 Octobre 2004 - article

 

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RECOLTE DES NOIX

C’est la saison, voilà sans doute pourquoi de nombreux dérapages nous ont été signalés pour notre rubrique NOIX des Infos… Commençons par le « Directeur commercial particuliers et professionnels », Marc Coquet de la DEC Ouest Essonne, qui est très mécontent du classement Jazz duo, rétrogradé qu’il est dans la position de Poulidor de la direction régionale. Monsieur n’aime pas le chocolat, et il le fait savoir : « à ce rythme, nous aurons la médaille en chocolat » et exhorte la troupe à passer à la vitesse supérieure… Plus au sud, c’est un RCL de Nice qui est mécontent du retard en production d’assurances Sogécap, et qui veut rassembler tout le monde le soir après le boulot… présence « obligatoire », on se demande de quel droit, et « Sylvie est chargée de prévoir le champagne et les petits fours »… drôle d’idée d’arroser une séance d’engueulade ! Notons que l’organisateur, pas très sûr de la discipline, autorise les participants à récupérer le temps passé à la réunion, il faut dire que le payer en heures supplémentaires, c’est un peu dur à avaler ! On a gardé le meilleur pour la fin, un habitué, Jean Noël Pulicani, Directeur de la DEC Artois Hainaut, qui tel le Comte Robert , fonce sur son destrier, contraint « d’imposer à tous une marche forcée » avant la fin de l’année pour améliorer les indices… comme s’il s’agissait de ses soudards en

plaine de Flandres ! Comme son modèle, il les motive par espèces sonnantes en  menaçant de réduire la solde : «  la distribution des parts variables en sera affectée » ! La multiplication de ces dérapages ne saurait les banaliser. Mais la pression augmente jusqu’à l’explosion, c’est une loi physique…

MAGOT SARKO

L’accord qui permet de débloquer 10 000 euros est entré en application, mais il ne faut pas que tous ceux qui, faute de moyens, ont été contraints de se faire verser leur prime d’intéressement en juin 2004 oublient de remplir aussi la demande de déblocage afin de bénéficier de l’exonération d’impôts sur leur prime. Ce n’est pas automatique.

LE MOLLET PIQUE

La CFTC vient de diffuser un papier rageur à l’encontre des 3 syndicats qui auraient l’outrecuidance de faire opposition à l’accord constructif qu’elle a signé en compagnie de FO et de l’AFB… empêchant ainsi les salariés de la profession de continuer à partir à 60 ans dans les meilleurs conditions ! Reprenant au passage un calcul que lui a gracieusement fourni l’AFB, la CFTC oublie que l’accord qu’elle a signé ne permet pas aux gens de partir à 60 ans, mais seulement aux banques de décider qui part et qui reste… en leur faisant économiser le versement de l’indemnité conventionnelle de licenciement ! On notera que les mêmes se vantent d’agir pour obtenir une annexe au texte qu’ils ont précipitamment signé mi-juillet ! Certes, le droit d’opposition que vont probablement exercer la CGT, la CFDT et le SNB sonne le glas des négociations à l’ancienne… et c’est un bien pour les salariés, de quel droit la CFTC voudrait faire durer l’ordre ancien qui lui convenait si bien ? Si l’accord qu’elle a signé est annulé, ce ne sera pas l’apocalypse, cela obligera tout simplement les banques à reprendre la négociation pour en conclure un autre, majoritaire et meilleur, car

elles ne pourront pas s’en passer.

Olivier D. Les infos CGT SG 1 Octobre 2004

Les infos du 24 Septembre 2004 - article

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ECHOS DU 35EME

La CGT a rencontré Daniel Bouton ce vendredi dans le cadre d’entretiens avec les différentes organisations syndicales qui ont lieu de temps en temps. Cette fois-ci, la situation du groupe n’a pas fait l’objet de débat, selon notre Président les choses vont plutôt bien. La discussion a donc embrayé immédiatement sur les sujets de préoccupations sociaux, en commençant par le problème de la situation créée à l’AFB par l’exercice probable du droit d’opposition par la CGT, la CFDT et le SNB contre l’accord signé en juillet par CFTC et FO sur la mise en application de l’article 16 de la loi Fillon. Daniel Bouton s’est étonné de notre refus de ce qui serait la simple utilisation d’une opportunité de la loi pour permettre le départ à 60 ans dans les conditions d’une défiscalisation de l’indemnité de départ. Nous lui avons donc expliqué qu’il ne s’agissait pas de faire partir à 60 ans les quelques 70 000 salariés de la profession qui réuniraient dans les 10 ans à venir le droit à une retraite à taux plein. Lui-même a déclaré dans une interview récente aux Echos, en tant que Président de la FBF, qu’il prévoyait le recrutement de 45 000 embauches. Ainsi, nous lui avons fait remarquer que le texte signé à l’AFB permettait seulement de gérer au mieux la tension sur le marché du travail qui résulterait de recrutements massifs, en évitant par des départs simultanés trop massifs de tirer les salaires d’embauche à la hausse. Clairement, cela signifie que tout le monde ne partirait pas à 60 ans à l’initiative de la banque, le texte de l’AFB ayant pour principal mérite pour les employeurs de pouvoir, à leur gré, faire partir, ou non, les gens à 60 ans. Convenant de la valeur du raisonnement, il a regretté que la négociation à l’AFB se soit ainsi enlisée. Tout en réitérant son désaccord avec la loi Fillon sur le dialogue social, il a du constater qu’il faudrait bien s’en accommoder désormais. La CGT lui a également fait part de son attachement à l’I.P. Valmy, et de notre volonté de parvenir à un accord sur le maintien du système. Sa réponse positive sur ce point restera à vérifier dans les prochaines négociations. Sujet majeur, nous avons tiré la sonnette d’alarme sur la généralisation du stress que nous avons constatée, au travers par exemple de l’augmentation des arrêts longue durée, dont l’origine trouve sa source dans l’organisation du travail comme sur les CRCMs ou dans les opérations de restructurations 4D dans le réseau, ou même dans les services centraux comme à Valmy. Nous lui avons fait part de notre inquiétude, même si les conséquences n’en sont pas toujours aussi extrêmes que dans le récent suicide d’un collègue. La CGT a demandé que le débat s’engage largement, et qu’il puisse prolonger les enquêtes déjà faites en incluant l’ensemble des acteurs concernés, tels le service médical du travail ou les assistantes sociales, les gestionnaires RH et les organisations syndicales. Sujet complexe a répondu Bernard De Talancé qui était présent, mais il nous a semblé que nos interlocuteurs avaient saisi l’existence d’un malaise. N’empêche, Daniel Bouton a chargé la DRH de faire une enquête sur l’évolution des arrêts longue durée et sur les suicides. Nous verrons bien si tout cela débouche, et rapidement, puisqu’au moins sur 4D, nous ne manquerons pas de saisir la commission de suivi qui va se réunir le 5 octobre.

Olivier D. Les infos CGT SG 24 Septembre 2004

Les infos du 17 Septembre 2004 - article

 

AU PAYS DE CANDY

Les interrogations suscitées par le suicide d'un collègue à la Défense ont provoquéla décision du CHSCT de mener une enquête, outre l'enquête de police. Une semaine plus tard, la publication de la CGT sur ce drame a provoqué une vive réaction de la direction...et de très nombreux témoignagnes d'approbation du personnel ! Car les faits sont les faits, et malgré l'habillage rose Candy de la DRH, ils ressemblent fort à ce que nombre d'entre-nous savent de ces méthodes de gestion expéditives. Faut-il en venir à citer d'autres faits, de gens qui passent subitement du statut de bon à mauvais, qui n'ont d'autre issue que de prendre un chèque ou de se faire virer; de gens qui sont mis au placard,, doré ou non, à qui on propose une autre affectation sans aucun rapport avec leur métier avec le choix de l'accepter ou de l'accepter; de gens qui brutalement n'ont plus de travail, ou passent sous l'autorité hiérarchique de quelqu'un qu'ils auraient dirigé auparavant; de tous ceux qui, prennent le chemin de la permanence syndicale, parfois après de long mois d'arrêt et de traitement et que l'on désigne à ce moment autour d'eux comme des faibles qui ne méritent que leur sort...C'est au pays de Candy de la DRH que tout cela se passe et que parfois des cadres pleurent dans un bureau syndical, un pays où il ne fait pas bon avoir une maladie lourde qui vous met à l'écart. Voilà pourquoi nous ne voulons pas être silencieux, à l'unission de tous ceux qui nous y ont engagé. Parmi les messages que nous avons reçus, une victime de ces méthodes nous a proposé d'organiser un arrêt de travail d'une heure sous forme d'hommage le jour des obsèques de notre collègue(jourdont la date n'est pas encore connue).

LE DESSOUS DES CARTES

Coup de tonnerre dans le landernau bancaire, la profession pourrait expérimenter le nouveau droit d'opposition à un accord de branche minoritaire portant sur les départs avant 65 ans. Conséquence inattendue de la loi Fillon, ce droit d'opposition pourrait bien en obligeant ceux qui veulent signer un texte à s'assurer que par son opposition, une majorité ne risque pas d'obtenir un meilleur accord, qu'en obligeant ceux qui refusent de signer à prendre vraiment position en prolongeant leur refus par l'exercice du droit d'oppposition. D'une certaine manière, il va pousser les syndicats à rechercher des positions communes et à se concerter. Loin de paralyser le dialogue social comme le clame le MEDEF, ce nouveau droit va mettre fin aux combines et surtout empêcher le patronat de faire passer ses vues avec un ou deux signataires.. C'est ce qui vient de se produire à l'AFB, qui a reçu une lettre aujourd'hui de la CFDT, de la CGT et du SNB pour l'aviser qu'ils ne signeraient pas. Dans cette lettre commune, les3 fédérations détaillent leurs conditions pour signer l'accord, des propositionsdélibérément mises à l'écart jusque là par l'AFB. Maintenant que son représentant sait que ses tentatives d'accord minoritaire, de pression sur telle ou telle fédération, ou tel secrétaire généralde confédération ont échoué, il ne lui reste plus qu'à faire comprendre à ses mandants des directionsdes banques que les anciennes méthodes ne fonctionneront plus.

 

   

 

 

Olivier D. Les infos CGT SG 17 Septembre 2004

Les infos du 10 Septembre 2004 - article

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LE MAGOT

Voici les dispositions pratiques tant attendues par nombre d’entre-vous pour débloquer votre magot : la demande de déblocage porte sur l’indisponible (fonds A, B, C, ou E et participation). Elle devra être formulée par écrit sur un imprimé officiel (CERFA 2046) et remise à l’AGP ou 2RHL. La demande est exprimée en euros et au maximum de 10 000€  tous fonds confondus et peut-être formulée en plusieurs fois jusqu’au 31/12/04. Les 10 000 € sont en net après prélèvements (donc le déblocage sera 10 000€ plus CRDS-CSG). En principe, compte-tenu des délais, les demandes pourront être formulées dès le début octobre sauf pour le fonds E relais qui pourra faire l’objet d’une demande à partir de mi-octobre. La première demande, en cas de demandes multiples sera gratuite, les suivantes devraient être facturées aux environs de 10 €. Enfin, suite à notre intervention, la direction a accepté, s’il n’est pas possible de formuler une demande avec une valeur de part plancher, de prendre un engagement de délai d’exécution de la demande. La décision sera prise dans quelques jours pour le CCE du 24/09. Précision utile, on peut faire une demande de déblocage sur l’indisponible tout en conservant le disponible.

LE JOUR DE STO

Dans la plus pure tradition du genre « Travail - Famille – Patrie » , la direction a réuni les syndicats le 8 pour la mise en œuvre du «jour de solidarité avec Raffarin». La CGT a reformulé sa proposition qui consistait à satisfaire à l’obligation de la loi, tout en conservant 205 jours travaillés de 7h50.

Cette proposition a été rejetée sous prétexte qu’elle «ne tiendrait pas devant un juge»... Dans ces conditions chaque organisation a rejeté toute signature d’avenant à l’accord RTT, particulièrement les 3 signataires de l’accord d’octobre 2000 (CGT - SNB - CFTC). Chacun a souligné son très grand scepticisme sur la destination de cette journée de travail supplémentaire. Au final, la direction a donc annoncé qu’elle informerait le CCE d’une décision unilatérale, comme la loi l’y autorise, qui consiste à :

- affecter un jour RTT employeur au lundi de Pentecôte pour les agents travaillant du lundi au vendredi,

- affecter un jour employeur au jeudi de l’Ascension pour les agents travaillant du mardi au samedi.

Les jours de repos seront donc constitués d’un jour férié en moins, de 6 jours employeurs dont le jour ci-dessus fixé d’office, et le reste à disposition du salarié pour aboutir à une durée du travail qui passera donc en 2005 de 205 à 206 jours et de 208 à 209 pour les cadres au forfait.

A noter que cette année, le calendrier des jours employeurs collectifs sera communiqué à la commission de suivi RTT du 13/09.

ROBIN SORT DU BOIS

La réunion de négociation du 9 septembre sur le devenir du régime supplémentaire de retraites IP Valmy augure mal de la suite. Echaudée par le tollé syndical, la direction propose bien le maintien du régime IP Valmy, mais dans des conditions qui en ferait un régime croupion, pillé au profit de la mise en place d’un PERCO. Comme le robin sorti du bois dans la pub SG, il s’agit de voler les pauvres pour donner aux riches à l’encontre du vrai Robin ! On comprend que la direction soit très attirée par les avantages fiscaux du PERCO, mais cet avantage conjoncturel est bien aléatoire au regard d’un régime destiné à durer plusieurs dizaines d’années dans ses effets. Quant à dire que ceux qui veulent nous faire avaler la couleuvre seraient grands bénéficiaires de leur projet, c’est pur persiflage !

Olivier D. Les infos CGT SG 10 Septembre 2004
  1. Les infos du 03 Septembre 2004 - article
  2. Les infos du 27 Août 2004 - article
  3. Les infos du 20 Août 2004 - article
  4. Les infos du 13 Août 2004 - article

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