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Les infos du 20 Décembre 2013 - article

C’EST NOËL !

Bernardo Sanchez Incera, le DG délégué venu de la grande distribution planchait le 11 décembre devant le CCE; le même qui annonçait en août 2011 qu’il n’y aurait pas de PSE à SGCIB. On peut donc lui faire confiance. Satisfait d’avoir été capable de « faire un travail rigoureux », il s’est auto félicité de résultats bien accueillis par la presse et les marchés, surtout salués par les marchés pour enchaîner immédiatement sur le besoin de « poursuivre la transformation de BDDF » aussi bien que « des financements spécialisés » dont le moteur est « l’efficacité » qui passe par la « réduction des gaspillages » pas pour lui, naturellement.

LOGEE, NOURRIE, BLANCHIE

C’est « L’indépendant », journal local qui nous l’a appris. Marine Le Pen a bénéficié du statut d’invitée dans la loge réservée par la Société Générale au stade de rugby de Perpignan. Juste civilité à l’égard du gros client de l’agence qu’est la fédération départementale du FN selon cette dernière, interrogée à la sortie du stade. Voilà qui va contribuer certainement à la renommée de la banque dans les media et à une fin de carrière peu glorieuse pour le Directeur local.

LES NOUVELLES DU FRONT

La 7ème session du PSE s'est terminée le 6/12. 8 reclassements, soit un total cumulé de 208 depuis le 26/08, 2 départs, soit un total cumulé de 173, 310 suppressions de postes sont réalisés sur un total de 350. On remarquera le très faible nombre de départs validés, qui confirme que les "directement concernés" ne postulent plus, ni à un départ, ni même à des postes pour remplacer des "non directement concernés" candidats à un départ volontaire. Cette situation génère un paradoxe que nous sentons de plus en plus fort, car des mobilités possibles sur des postes libérables par des NDC ne sont pas réalisées dès lors que les postulants sont eux-mêmes NDC. Les PSE qui se succèdent finissent par être un obstacle à la fluidité interne du personnel, fluidité qui est précisément le moyen affiché et demandé par la Direction générale pour éviter les licenciements économiques contraints ! Comme quoi lorsqu'un beau principe passe à la moulinette des RH, des juristes, des managers et consorts, il peut en sortir son contraire. La CGT a fait inscrire dans le CR officiel de la commission une précision importante : une mise en mobilité actée à une date donnée (généralement un trimestre) ne peut ensuite être reportée.

NOIX D’HONNEUR

une petite dernière 2013... au RRHL de la DEC de Rennes. Vous connaissez ces beaufs qui se croient seuls sur les routes en énormes 4x4 polluants équipés d’un coyote pour rouler à fond en évitant les radars. Qu’il y en ait bientôt un de plus est une affaire de choix personnel, on ne s’étonnera donc pas que le RRHL se comporte au travail comme sur la route. Mais qu’il se vante de s’offrir pour Noël son Porsche Cayenne avec son bonus a déclenché un flash parmi le petit peuple qui doit rouler à l’économie. Il faut dire qu’intervenant pile poil après le communiqué triomphal de la DRH sur la signature du très généreux accord salarial, le dérapage incontrôlé du RRHL a illustré dans le dur la place réservée à chacun selon sa condition.

 

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Olivier D. Les infos CGT SG 20 Décembre 2013

Les infos du 13 Décembre 2013 - article

SOUVENT TRACT VARIE

… bien fol qui s’y fie ! La fin de la négociation salaires s’est conclue par un rush des signataires annoncés pour être le premier à diffuser la nouvelle. L’un d’entre eux titrait pourtant le 18 décembre 2012 « foutage de gueule » dans un tract vilipendant le « mépris » de la Direction. Le mépris est devenu « des avancées constatées » en 2013. Quant à celui qui signa seul début 2013, il refait le coup du sondage, précédemment conduit entre le 20 décembre et le 10 janvier, expédié en 2013 entre le 11 et le 13 décembre. Notez la nuance, sondage et non pas consultation. Dommage que la communication prenne le pas sur le fond, quitte à se précipiter dans les filets tendus du Directeur des relations sociales, un expert en manipulation. Car, pour la 3ème année consécutive, sous des prétextes renouvelés, l’absence d’augmentation collective est validée par des signatures syndicales qui encouragent ainsi la Direction à poursuivre le chantage d’année en année. Mais il y a pire encore ! Le glissement dénoncé par la CGT en faveur du variable, ou du bonus, est quasi « institutionnalisé » par cet accord. Nous rappelions que cette masse dépasse allègrement maintenant plusieurs centaines de millions, distribuée tout à fait illégalement sans aucune motivation objective. La tentative de la CGT d’obtenir un accord pour inscrire une obligation de motiver le variable et instaurer une voie de recours a échoué en 2007… les autres syndicats invoquant leur hostilité au principe même du variable. L’accord salarial 2013 fait beaucoup mieux, il l’institutionnalise en échange de l’instauration pour le salarié du « droit » de demander au manager des « explications » ! La formule étant potentiellement illicite, l’accord pourrait bien être annulé par le juge… une question qui mérite d’être étudiée.

FIL ROUGE

Le débat engagé sur l’avenir du réseau d’agences s’est poursuivi dans l’instance de concertation Syndicats – Direction du 12 décembre. D’autres réunions se tiendront tout au long de l’année 2014, qui est la période fixée par la Direction du réseau pour mener des « expérimentations ». L’agenda de l’adaptation du réseau aux nouveaux comportements de la clientèle est « gérable » selon le patron du réseau, Laurent Goutard, qui affirme ne pas prévoir « de démarche radicale de réduction du maillage ». Bien entendu, la Direction proclame haut et fort sa volonté de rester une banque ouverte à toutes les gammes de clients, et elle partage nos préoccupations sur les délais bien trop longs pour obtenir un RDV avec un conseiller ou pour ouvrir un compte. Sans surprise, le multi canal et l’élargissement de l’offre Internet sont dans les expérimentations. Reste que « le fil rouge » officiel, l’évolution du modèle relationnel pourrait bien être doublé d’un autre fil, tel celui d’Ariane, reposant sur l’absorption des coûts de cette évolution par des gains de productivité rebaptisés « efficacité opérationnelle ». La segmentation de la clientèle, également rebaptisée pour la circonstance « différenciation » pourrait servir à une « mutualisation » des portefeuilles et ainsi aboutir au final à une réduction du nombre de conseillers. La CGT a mis en garde la Direction : il faudra bien accepter pour un temps un ROE moindre dans la banque de détail. Laurent Goutard a promis de poursuivre le dialogue en insistant sur le caractère expérimental de l’année 2014.

 

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Olivier D. Les infos CGT SG 13 Décembre 2013

Les infos du 06 Décembre 2013 - article

LE DOIGT ET LA LUNE

Comme si nous avions besoin de ça ! Encore une fois, la Générale fait les choux gras, épinglée par la presse, pour cause d’amende record infligée par l’UE : 446 millions, une paille… On notera que Barclays et UBS, dont les traders sont les initiateurs de ces manipulations, s’en tirent avec l’immunité du repenti et la dénonciation. Pour nous, dans cette affaire qui remonte à l’avant Kerviel, il apparaît une fois de plus que l’absence de contrôle est la source, mais que c’est encore la responsabilité de la banque, donc de nous tous par conséquence, qui est pointée à l’extérieur. Car le communiqué de Frédéric Oudéa n’y fait rien, que l’amende ne « remette pas en cause notre capacité à atteindre nos objectifs financiers », qu’il faille « tourner la page », nous fait une belle jambe ! Ces 446 millions vont bel et bien passer des poches de la Générale à celles de l’UE, s’accumulant avec les précédentes centaines passées dans une addition que nous ne finissons pas de payer au travers des suppressions d’emplois et d’une politique salariale peau de chagrin. Ce qui nous a particulièrement choqués, c’est que Frédéric Oudéa n’ait pas un mot pour le personnel, à part pour des menaces à peine voilées sur notre « responsabilité personnelle » et l’habituel appel à serrer les rangs. Et la sienne ? Que va-t-il faire alors qu’on nous propose une prime squelettique dans les négociations salariales qui pèserait misérablement pour quelques petits millions qui se comptent sur les doigts d’une main à côté des 446 millions à payer pour ces « agissements répréhensibles » «  d’un seul opérateur de marché » ? Ne serait-il pas temps de lui envoyer un message plus musclé ?

LIGNE ROUGE

Corollaire de la « négociation » salariale, la question des rémunérations variables est encore sur le point de franchir la ligne rouge. On sait que le conseil d’administration en réclame toujours plus, aveugle de ses certitudes libérales fondées sur le culte de la performance individuelle, source de toutes les excellences et des richesses… personnelles, naturellement. Sauf que cette politique heurte de plein fouet l’esprit d’équipe et le sens du collectif de travail. Et que veut faire la Direction en 2014… aller plus loin dans l’arbitraire en accentuant le caractère discriminatoire, même si elle préfère l’euphémisme « discriminant ». Or la situation est déjà critique. Tandis que la prime de 300€ en 2013 ne lui a coûté que 5 millions, l’intéressement et la participation 69 millions, le variable distribué a atteint 112,6 millions auquel s’ajoutent les bonus pour la partie SGCIB. Au final, plus de 10% de la masse salariale globale est désormais distribuée sans aucun contrôle ni recours, une situation totalement ubuesque et parfaitement illégale au regard du droit du travail qui impose l’obligation de définir des critères objectifs à ce type de rémunérations, mesurables par le salarié. Pour la CGT, la ligne rouge est franchie et la prétention d’aller encore plus loin inacceptable. Il faut d’abord un rééquilibrage en faveur des rémunérations de base, notamment des augmentations collectives. L’intéressement et la participation, qui sont encadrés par des règles de distribution légales et négociées, doivent rester la principale source de participation aux résultats. Enfin, il faut mettre en place des critères objectifs de répartition pour le variable et une voie de recours.

 

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Olivier D. Les infos CGT SG 6 Décembre 2013

Les infos du 29 Novembre 2013 - article

LES NOUVELLES DU FRONT

La tendance observée depuis la fin des 2 premiers mois s’accentue, le nombre de reclassements, 200, excède maintenant nettement celui des départs volontaires, 171, le nombre de départs étant lui-même fortement ralenti : 9 pour les 2 dernières sessions seulement. Officiellement, il reste donc 49 suppressions de postes à réaliser, sauf que, s’il y a bien 150 « non directement concernés » candidats à un départ, chez les « directement concernés », il n’y a quasiment plus personne qui lève le doigt. L’accord ne permettant pas de leur forcer la main, la Direction devra donc choisir entre laisser partir d’autres indirects, ou bien renoncer aux suppressions. Le nombre des départs comparé à la population des services centraux montre bien que l’accord du 13 février aura bien fonctionné, du moins de notre point de vue. Vu d’un autre œil, celui d’un membre du conseil d’administration, c’est moins rapide et efficace que le précédent. Sans doute la raison à l’origine du changement de règles signé par nos petits camarades pour SGSS France. Lorsque les 125 emplois supprimés car transférés à Bangalore seront réalisés nous ferons le bilan des reclassés dans le groupe.

COUP DE CHAPEAU

L’affaire a fait grand bruit, en ces temps de restriction au droit à la retraite pour cause de déficit, la retraite chapeau du futur ex-PDG de PSA, grand pourvoyeur de Pôle emploi, faisait un peu désordre. Bien que compatible « code du gouvernement d’entreprise » du MEDEF, ledit PDG fut contraint de renoncer… Son homologue maison fut plus prudent, il bénéficie d’une « compensation » pour absence du droit à ce régime attribué à quelques bénéficiaires des « avantages postérieurs à l’emploi » dont Messieurs Cabannes, Sanchez Incera, et Sammarcelli. Cette compensation atteint la modique somme de 300.000€ l’an. La somme est soumise à cotisations et impôts, ce qui, aux yeux doux de quelques commentateurs avisés, devrait nous en faire apprécier tout l’intérêt pour l’administration fiscale. Cette contribution à l’effort national est toutefois compensée elle aussi par la conversion de son variable en actions. Le léger malentendu de 2012, il n’avait pas « renoncé » à son variable qui fut converti en actions, est reconduit en 2013. Exit les cotisations et les 75%.

FULL METAL JACKET

On n’aurait pas pu l’inventer, le mail du COO de MARK, in english of course, qui annonçait la mise en place d’un « dress code » dans le nouvel immeuble des salles de marchés à Basalte. Et, pour ne rien rater, le mail recommandait de n’en rien dire aux syndicats, susceptibles de poser des problèmes, et donnait un lien de bonnes pratiques vestimentaires : le dress code d’UBS ! Un modèle du genre, qui s’occupe de la hauteur de la jupe : + ou – 5 cm depuis le milieu du genou, de la couleur du chemisier etc… UBS, expert en dress code est également connue pour son expertise en blanchiment et fraude fiscale, ainsi qu’en manipulations de marchés, une référence bien choisie. Évidemment, le mail a atterri dans notre boîte, ce qui a conduit la CGT à rappeler qu’il n’existait qu’une obligation en la matière, celle de respecter les dispositions du règlement intérieur. Conclusion de l’histoire : « il n’y a pas de dress code à Basalte ». Pas plus qu’ailleurs.

 

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Olivier D. Les infos CGT SG 29 Novembre 2013

Les infos du 22 Novembre 2013 - article

À VÔT’ BON CŒUR

Nous ne sommes pas certains que le message ait été bien entendu. Après la rencontre avec Frédéric Oudéa, la Direction a proposé une « mesure symbolique », 200€ pour les salaires inférieurs à 37.000€ lors de la seconde réunion des négociations salariales. Pas vraiment ce qu’on peut considérer comme un tournant remettant en cause le choix privilégiant la « discrimination accentuée » réclamée par le conseil d’administration. Il ne reste plus qu’une réunion, le 9 décembre. Après, chacun aura à prendre ses responsabilités si ces propositions restent dans le même ordre de grandeur. Il faudra choisir la voie de l’action ou celle du sauve-qui-peut, comme l’année dernière quand l’affaire fut conclue par une prime de 300€ pour les moins de 35.000€.

BANCO

La CGT a voté en faveur du projet de rachat de Newedge au CCE du 22 novembre. Nous sommes favorables au projet de moyen terme de constitution d’un pôle GBIS intégré au groupe reposant sur l’ensemble CIB, PRIV, SGSS, et la « brique » Newedge pour assurer un service complet à la clientèle. Ayant suffisamment relayé et partagé la critique de l’absence de stratégie visible de la Direction, la CGT a voulu marquer d’un acte fort l’affichage de la volonté de compter parmi les premiers acteurs du marché.

POINT D’ÉQUILIBRE

Parmi les projets nouveaux qui seront bientôt présentés, celui touchant les back-offices de SGCIB, OPER particulièrement, prenait une résonance particulière après la saignée de 2012 et le caractère particulier du projet : 80 emplois délocalisés à Bangalore sur un total de 850. Officiellement, il ne s’agit pas seulement de la nième opération de réduction des coûts, mais de satisfaire au besoin de disposer à Bangalore d’un centre de « résilience ». Ainsi, le « point d’équilibre » serait atteint, 70% des équipes et du travail seraient effectués sur la plateforme de Paris et 30% sur celle du groupe à Bangalore. Une nouvelle réunion de l’instance de concertation nous a permis de demander à Christophe Leblanc de « graver dans le marbre » ce point d’équilibre, ce qui entraîne qu’il n’y aura pas de nouveaux transferts dans les 2 prochaines années. La CGT a également proposé et obtenu que les CHSCT assurent le suivi, afin de vérifier que la baisse de 80 emplois supplémentaires n’entraîne pas une surcharge sur les équipes de Paris.

PLAT DE LENTILLES

Il faut être aveugle pour ne pas voir que l’accord qui vient d’être signé pour acter les suppressions de 125 emplois délocalisés à Bangalore chez SGSS France (ex Euro VL) est construit pour pousser le personnel au départ. Cet accord revient dangereusement sur l’acquis de l’accord du 13 février en mettant un gros chèque sous le nez des « volontaires », plutôt jeunes et de faible ancienneté : 80.000€ pour à peine un an d’ancienneté ! Les signataires, CFDT, FO, CFTC et SNB/CGC ont vendu leur âme pour un plat de lentilles en donnant le feu vert à la Direction pour se débarrasser de ces 125 jeunes plutôt que d’avoir à les reclasser dans le groupe, comme la loi et la logique de l’accord du 13 février l’auraient permis…. Même s’ils prétendent le contraire et se cachent derrière les proclamations d’intention.

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Olivier D. Les infos CGT SG 22 Novembre 2013
  1. Les infos du 15 Novembre 2013 - article
  2. Les infos du 08 Novembre 2013 - article
  3. Les infos du 31 Octobre 2013 - article
  4. Les infos du 25 Octobre 2013 - article

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