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Les infos du 19 Février 2016 : L'accord Emploi, Le péril rouge, Quiproquo en PDP

Les infos du 19 Février 2016 : L'accord Emploi, Le péril rouge, Quiproquo en PDP


EMPLOI
L’accord Emploi a finalement été signé par toutes les organisations syndicales. La consultation des salariés, organisée par la seule CGT, a fait ressortir la volonté de signer cet accord par plus de 80 % des salariés qui se sont exprimés. Ce dont nous avons pris acte en signant ensuite le projet. Au-delà de la signature, les votes des salariés étaient souvent accompagnés de remerciements pour le travail effectué et pour la transparence des échanges (la publication des différents projets, mais aussi, pour les différentes synthèses et points d’étape rendus publics au fur et à mesure de la négociation). D’autres salariés ont profité de l’occasion aussi pour exprimer leurs inquiétudes sur différents aspects de l’accord : par exemple, la mobilité qui pose régulièrement de grandes difficultés. Malgré les chiffres officiels des mobilités réalisées, la raréfaction des postes disponibles rend l’exercice de plus en plus compliqué (et va l’être d’autant plus que l’on s’approche du projet des Dunes). La «GPEC», la «carte des connaissances» et la définition des «emplois sensibles» sont aussi des sources d’inquiétude … et pas seulement pour les salariés ! Mettre en place des outils de gestion de l’emploi, sous la responsabilité de la DRH, a nécessité beaucoup d’interventions pour refreiner les ardeurs de certains syndicats à mettre en place ces outils, mais aussi pour couper court aux tentatives de la direction d’acter tout ça dans le marbre…Il est évident qu’il faudra maintenant avoir des représentants du personnel qui connaissent bien les arcannes de l’accord et ses risques pour que l’application qui sera faite pendant les 3 prochaines années ne se fasse pas au détriment des salariés concernés, qu’ils soient des centraux ou du réseau !

LE PERIL ROUGE
C’est assez rare pour être souligné, Fredéric Oudéa himself est venu à la séance plénière du comité central d’entreprise du 18 février. Ressorti avec sa chemise, il n’aura quand même pas échappé à une interpellation de la CGT pour lui rappeler que la «com» ne fait pas tout et qu’il est encore temps de revoir sa politique salariale. «Je mettrais en risque l’entreprise si je menais une politique salariale différente »… c’est sûr qu’il vaut mieux continuer à promettre un ROE hallucinant aux actionnaires.

ENCORE DES QUIPROQUO
Les évaluations de fin 2015 avaient généré quelques dérapages. Notamment par la confusion savamment orchestrée entre d’une part, la nécessité d’un «feedback régulier entre le manager et l’évalué» et d’autre part, la traduction que la direction en avait faite, le 360°. La commission de suivi des évaluations de début janvier avait corrigé et rappelé que les 360° ne sont pas permis par l’instruction 13.672. La campagne de fixation des objectifs qui s’ouvre, s’annonce tout aussi riche en innovations ! Farcies par le leadership model, les consignes qui sont passées, voire les formations dispensées, demandent aux salariés de s’auto fixer leurs objectifs. Non seulement c’est interdit par l’instruction, mais en plus, c’est ultra dangereux pour le salarié qui se risquerait à l’exercice. Difficile de contester en fin d’année des objectifs sur lesquels on se fait allumer, alors qu’on les a fixés soi même ! Le best of des innovations revient, dans les centraux, aux conférences organisées avec l’aide d’un cabinet (encore un qui coûte un bras) qui traduit par exemple, SMART par objectifs Ambitieux… au lieu d’Accessibles. Dans le réseau, certains salariés sont conviés chaque semaine à venir présenter leur carnet d’entretiens à leur responsable… certainement pour mettre fin à la bâtonnite comme le réclamait Laurent Goutard !

CGT 582 PDP

Les infos CGT SG 19 Février 2016

Les infos du 12 Février 2016 : Emploi, L'arrondi de 25 millions, broad-bide

EMPLOI : AU FINISH
La dernière réunion aura duré près de 9h00. Depuis le 3 novembre, une dizaine de réunions de négociation aura donc été nécessaire pour aboutir à un projet d’accord Emploi remplaçant celui du 13 février 2013. Le projet soumis à la signature des syndicats reprend,pour les 3 prochaines années, l’équilibre de l’accord précédent : pas de licenciement contraint, fluidité de la mobilité, priorité au reclassement interne en cas de grosse réorganisation et possibilités de départs volontaire ou de PTA (transition d’activité 3 ans avant la retraite). Les curseurs sur les indemnités et les modalités de départ ont changé. La CGT, conformément à ses habitudes, a rendu public le projet et consulte les salariés, avant d’apposer ou non sa signature. Nous allons publier une note de synthèse des changements et des nouveautés de l’accord afin de vous aider à appréhender le nouveau texte et donner votre avis avant le Jeudi 18 février.

L’ARRONDI DE 25 MILLIONS
L’annonce des «très bons résultats» n’aura pas empêché la propagation de la fièvre qui touche le cours des actions des banques. L’objectif d’un ROE à 10% retardé aura été salué par la chute du cours de 11%. Mais c’est un autre chiffre qui a retenu toute notre attention. Celui de l’augmentation du dividende qui passe de 1,20 à 2€. Le bénéfice net par action 2015 de 3,94 € aurait dû, logiquement, donner un dividende à 1,97€. Il a manifestement été arrondi à 2€. Nos dirigeants ont certainement jugé que 3 centimes ce n’était pas significatif. Sauf que ce sont 25 millions d’euros supplémentaires qui vont dans la poche des actionnaires. Les salariés devront se contenter d’un remerciement dans le communiqué de presse. 25 millions, c’était le montant des enveloppes d’augmentations collectives négociées avec les syndicats … Mais ça c’était avant. Avant que nous n’ayons plus que les succès, la sueur et les PSE à partager.

BROAD-BIDE

Cela fait maintenant trois ans qu’à la faveur de l’opération Mikado, la SG externalisait chez APTP, 120 de nos collègues faisant l’erreur de suivre, alléchés par la promesse mirobolante de participer à la construction du «1er acteur européen» de «post trading». Le volontariat avait été garanti de haute lutte, il faut dire que les pressions n’avaient pas manqué et que certains syndicats, comme la CFTC, avaient pesé de tout leur poids pour encourager l’opération en organisant des réunions de sergents-recruteurs. Ce que le personnel des secteurs concernés a sanctionné en votant massivement pour la CGT (70% à CB3). Las, une fois les flons-flons terminés et les lampions éteints, l’opération s’avère beaucoup moins prometteuse qu’annoncée. APTP peine à attirer d’autres clients et à développer les logiciels propres qui assurent la même qualité de traitement que ceux qui avaient été développés en interne. Ces derniers sont toujours utilisés faute d’avoir été remplacés par ceux du «leader mondial» BROADRIDGE, qui devaient générer 160 millions d’économies et qui génèrent en fait des surcoûts ! On comprend pourquoi il a fallu beaucoup ramer pour que Barclays accepte de monter dans ce navire APTP qui prend l’eau. À tel point qu’il est maintenant question de retour à la maison de Bangalore pour donner un peu de couleur au bilan financier de l’opération. En somme, Mikado part en sucette.

 

Les infos sous format PDF se trouvent ici

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Olivier D. Les infos CGT SG 12 Février 2016

Les infos du 05 Février 2016 : Emploi, le Moyen-Age, BDDF

NEGOCIATION EMPLOI

Il reste 2 réunions de négociation pour tenter d'aboutir à un projet de texte pour remplacer l'accord emploi du 13 février 2013. La réunion du 2 février aura été l'occasion de revenir sur les dispositifs de départs volontaires de l'entreprise. La direction a confirmé réfléchir à certains dispositifs "seniors", en temps de PSE ou non. La possibilité de prendre, hors PSE, un temps partiel payé 65 ou 70% pour faire une activité hors de l'entreprise, rejoint les traditionnels PTA (plans de transition d'activité) qui lors d'un PSE permettent aux salariés à 3 ans de la retraite de partir en préavis payé 70% (+ 50% du variable, plafonné à 50k€). Au delà, la direction a remis en discussion les conditions financières des départs volontaires dans le cadre des PSE, en les limitant aux salariés de plus de 3 ans d’ancienneté et à un plancher de 20.000 € jusqu’à 5 ans d’ancienneté, au-delà celui-ci passerait à 50.000 €. Elle propose d’introduire un booster de 5% pour celles et ceux qui « prendraient le risque supplémentaire de partir dès le 1er mois». Un bon moyen d’aller plus vite ! Suite et (peut être) fin des négociations les 8 et 11 février prochains.

MOYEN-AGE DIGITAL

L'accès à l'intranet de la SG par les syndicats ne date pas d’hier. Il aura fallu à l'époque lutter pendant 5 années pour obtenir en 2003 d’une direction rétrograde l'autorisation de publier des pages web statiques accessibles sur chaque poste de travail. Ce droit n'aura pas été obtenu en vain. Dans les moments les plus difficiles que nous avons connus, les salariés ont pu trouver les informations les concernant sur nos sites. L'annonce de la réorganisation de GBIS en 2012 avait généré 25.000 connexions en quelques jours… juste avant que la direction nous annonce le crash des serveurs qui nous étaient imposés et hébergés par elle. Les nouvelles réorganisations 2015 à peine annoncées, nous avons publié les projets ... avec le même succès et le même résultat sur les serveurs imposés par la direction. La révolution digitale tant brandie en interne aurait pu laisser espérer que ces pratiques étaient du passé, dont nous aurions fait table rase. Que nenni, la direction tente de nous imposer de rebrancher de nouveaux serveurs, sans tenir compte des évolutions technologiques depuis 2003. C'est donc un nouveau combat que nous menons afin d’obtenir des outils modernes et fiables afin que l'information soit au service réel des salariés et ne soit pas reléguée au rang de propagande syndicale, patronale ou sectaire.

REORGANISATION BDDF

"Nous sommes dans l'urgence positive, celle qui permet de bien gérer les projets" nous expliquait Laurent Goutard, le directeur du réseau, après nous avoir présenté la situation des banques et l'inéluctabilité des changements à venir. Nous avions exigé en réponse que chaque présentation de projet de fermeture d'agence (ou de modification de l'accueil) soit dument motivée,  justifiée économiquement auprès des représentants du personnel et que ceux-ci puissent vérifier que toutes les conditions sont réunies. Une exigence de dialogue en local inhabituelle qui a du mal à trouver sa place puisque les mauvaises habitudes du réseau ont repris le dessus dans quelques DEC ... 2016 à peine commencée, les projets étaient présentés aux CE sans les explications nécessaires, histoire de plier rapidement la consultation et passer à autres choses. La CGT a fait un rappel à l’ordre, mais ça relativise la réelle volonté de discussion de la direction. Et cela présage quelques difficultés pour  la suite des projets de réorganisations du réseau qui s'annoncent.

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Olivier D. Les infos CGT SG 4 Février 2016

Les infos du 28 Janvier 2016 : CRCm - Le front

SALAIRES : CA SENT LE SOUFFRE

La réunion concernant les CRCm (nos centres d’appels) a été l’occasion de revenir sur la négociation annuelle sur les salaires. En effet, les téléconseillers, du fait de leur faible ancienneté et de leur jeunesse, étant aussi malheureusement les moins bien lotis au niveau des salaires, nous avons exigé de la direction qu’elle revoit sa position jusqu’au-boutiste d’absence de mesure collective. Pour mémoire, la négociation sur les salaires, encore obligatoire dans les entreprises, s’est terminée en décembre 2015 après que la direction  lors de la 1ère rencontre (celle où l’on écoute poliment les syndicalistes excédés réclamer du pain) nous ait expliqué qu’elle « n’était pas en mesure de faire une proposition d’augmentation ou de prime cette année ». L’imminente  publication des résultats, qui s’annoncent bons, risque de rebattre les cartes… il ne manquerait plus que le conseil d’administration s’auto-octroie une augmentation des jetons de présence pour mettre le feu au poudre. Pour se débarrasser de la patate chaude, le directeur des relations sociales a noté qu’il n’y avait guère que la CGT pour revenir sur le sujet.

CRCM : L’AFNOR SOCIAL

Dans la foulée de l’annonce de la réorganisation du réseau, la direction des CRCm avait laissé bruiter le passage de 3 à 4 ans de postes pour les téléconseillers. Une rallonge de peine qui avait suscité l’émoi des salariés concernés par la prise d’appels en flux tendu. Sans écoute de leur mal-être pendant quelques mois, ils avaient été acculés à faire grève le 15 décembre … avec succès sur le nombre de grévistes, malgré les intimidations des uns et des autres, mais aussi et surtout, par la prise en compte de leurs demandes par la direction. En effet, la direction a dû réunir les syndicats pour examiner leurs situations actuelles et l’évolution de leur métier dans le «dispositif BDDF dans les années à venir». La direction a non seulement mis en avant les engagements rassurants concernant l’avenir de ces entités, mais nous a aussi présenté les mesures qui sont mises en œuvre pour traiter les racines du mal. Augmenter le recrutement pour pallier le sous-effectif de certains endroits, prioriser les demandes de mobilités des téléconseillers dans le réseau, etc. Parallèlement, elle convient de travailler à la refonte du parcours métiers, aux conditions de travail, au contenu du poste. Une liste d’engagements qui a vocation, d’après la direction elle-même, à faire de «2016 une année où l’on remet les choses d’aplomb». Un résultat, qui reste à concrétiser, dont les salariés sont directement à l’origine et dont nous veillerons à la bonne mise en œuvre !... un bon cas d’école.

NOUVELLES DU FRONT

Les réorganisations de certaines filières des centraux sont à peine amorcées fin 2015 que de nouvelles rumeurs bruissent sur d’autres secteurs. Les précédents des dernières années n’ont pas de quoi nous rassurer puisque les suppressions de postes se comptent en milliers. Il n’y a certes pas eu de licenciement économique contraint, mais la vigilance reste de mise pour l’avenir. C’est dans ce contexte que va bientôt se dérouler le renouvellement des élections des représentants du personnel dans les centraux. Les salariés avaient placé la CGT en tête des élections de 2013 (après Roméo, Mikado et les PSE). Depuis, la centaine d’élus de la CGT a tout mis en œuvre pour rester proche des salariés, disponible – surtout en cas de tempête - et efficace. Si vous pensez que notre travail vous a été utile, n’hésitez pas à nous soutenir  en rejoignant nos listes de candidats que nous devons déposer avant le mois de mars. Vous êtes les bienvenus ! 

 

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Olivier D. Les infos CGT SG 29 Janvier 2016

Les infos du 22 Janvier 2016 : NEGOCIATION EMPLOI – PSE - ACT FOR EQUALITY

NEGOCIATION EMPLOI

L’accord du 13 février 2013 sur l’emploi à la SG avait vocation à définir les conditions dans lesquelles les réorganisations d’ampleur pouvaient se faire dans les services centraux. Il faut se rappeler qu’à l’époque la crise de liquidité était une source importante d’inquiétudes sur l’avenir. L’équilibre de l’accord tournait autour de l’engagement de la direction de ne pas recourir aux licenciements économiques, tout autant que des garanties permettant de fluidifier les mobilités. Enfin, des possibilités de départs anticipés étaient prévues pour les salariés proches de la retraite.  Sur ces points, la Société Générale s’éloignait de l’accord national interprofessionnel, signé par la CFDT, CFTC et CGC, qui permettait aux directions d’entreprises de licencier un salarié qui avait le mauvais goût de refuser une mobilité imposée – et ce à moindre frais … L’accord SG arrivant à échéance au bout de 3 ans, quelques négociations se sont déroulées afin d’examiner les conditions de son renouvellement. Autant vous le dire de suite, malgré une bonne dizaine d’heures de négociation, nous ne sommes pas encore entré dans le vif du sujet. Certes, pour l’instant le projet en discussion réaffirme que la mobilité est décidée par le salarié, en accord avec son manager, et travaillée avec la ligne RH (et/ou le Campus pour les centraux). Le projet permet de préciser, plus clairement, pour le réseau, au-delà du régime usuel de gestion de la mobilité, que la direction doit respecter quelques règles avant d’envisager une affectation. Il reste maintenant à discuter des mesures spécifiques pour renforcer les dispositifs d’accompagnement des salariés en cas de PSE. Et là, nous ne sommes pas à l’abri d’une surprise… même si nous ne sommes manifestement plus dans l’état de santé critique dans lequel était la SG fin 2012.

PSE

Les avis de la direction sur les demandes de départs volontaires devraient être notifiés après la commission de validation du 29 janvier. Après la réception de cet avis, les protocoles de départs seront rédigés et présentés aux salariés ayant reçu des avis favorables. D’ici là, ceux qui ont présenté une demande de départ doivent vérifier que le consultant de Right Management a bien transmis leur dossier en vue de la commission de validation. Une réunion de la commission de suivi et de recours est d’ores et déjà prévue le 9 février pour examiner les conditions du déploiement du plan actuel, revenir sur les dérives et examiner les demandes de recours dont les salariés nous auront saisis. Pour l’heure, 250 entretiens ont été tenus. 110 concernaient des demandes de reclassements, 30 des demandes de PTA (plans de transition d’activité) et 110 demandes de départs volontaires (tous motifs confondus) dont 60% de salariés directement concernés par des suppressions de postes dans leur service.

ACT FOR EQUALITY

Une étude de l’université de Columbia, effectuée auprès de salariés américains a conclu que les femmes moins payées que les hommes ont tendance à tomber en dépression 2,5 fois plus souvent. L’explication viendrait d’une tendance à s’auto blâmer. Alors plutôt que d’arrêter de travailler le 20 de chaque mois si vous êtes payée 80% du salaire de votre collègue masculin, ou de sombrer à l’américaine dans la dépression, nous vous conseillons de venir prendre conseil et examiner ensemble les moyens de corriger les éventuelles injustices.

 

Les infos sous format PDF se trouvent ici

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Les infos CGT SG 21 Janvier 2016
  1. Les infos du 8 Janvier 2016 : Meilleurs vœux ! - On the road again - Mobilité
  2. Les infos du 18 Décembre 2015 : Alerte Evaluations - Esprit d'équipe au CRCm - Le pactol
  3. Les infos du 11 Décembre 2015 : Avenir du réseau - emploi des jeunes et des seniors
  4. Les infos du 15 Janvier 2016 : Evaluations - Indignés - le front CRCM

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