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Les infos du 29 avril 2016 : Mobilité - Emploi - PSC

EN DESSOUS DES ATTENTES

Le mercredi 20 avril se tenait la dernière commission de suivi de l'accord Emploi du 13 Février 2013. Elle a permis d'examiner les dernières statistiques sur l'évolution de l'emploi (920 recrutements de jeunes de - de 26 ans, entretiens de fin de carrière, etc). Mais l'intérêt principal de cette réunion aura été de faire un nouveau point sur la mobilité dans les services centraux. Bon nombre de salariés s'impatientent face à une mobilité qui s'éternise et d'autres s'inquiètent de la raréfaction des postes disponibles sur la bourse des emplois. Et pour cause, s'il y a eu 2.473 mobilités actées en 2015,   au 24 février 2016, ce sont 1.449 salariés qui étaient en mobilité... pour 1.183 postes ouverts. Les PSE à répétition rendent moins fluide la mobilité. Nous aurions pu espérer une lueur d'espoir avec la nouvelle bourse des emplois, mais Job@SG a eu un démarrage très difficile... même si les plus optimistes de la DRH nous ont affirmé que sur 220 points majeurs de dysfonctionnement, 140 sont "déjà" résolus et appellent à la clémence. 

NOUVELLES DU FRONT

Une délégation de salariés du PSC de Rouen s'est rendue le 27 avril devant les Tours SG de la Défense, où se déroulait une nouvelle réunion de négociation sur l'avenir de l'ensemble des PSC et plus particulièrement sur l'accompagnement des salariés directement concernés par la fermeture de leur site programmée d'ici 2020. La CGT a rappelé que le succès de la négociation passait par quelques points incontournables, dont travailler sur la possibilité de maintenir le traitement des activités de la clientèle PRO (pour répondre à la situation de certains salariés qui ne pourraient être mobiles, et pour permettre une formation de proximité aux directeurs d'agence qui sont appelés à monter en expertise sur ce type de clientèle). Il faut aussi clarifier beaucoup plus précisément les dispositifs de mobilité et d'affectation (les possibilités de refus du salarié et de ses moyens de recours). Nous avons proposé que les indemnités de départ ne soient pas inférieures à 0,8 mensualité par semestre d'ancienneté (du fait de l'inversion du calendrier par la direction). Enfin, nous avons insisté sur la  nécessité de traiter l'évolution de la charge de travail pour qu'elle ne devienne pas une surcharge pour ceux qui restent. Nous sommes aussi intervenus pour dénoncer les dérives de certaines directions locales qui, depuis la présentation des projets, préemptent des postes ou proposent des opportunités à leurs favoris ce qui ne respecte pas les règles édictées au niveau national. Le directeur des relations sociales nous a répondu : "on va arrêter les démarches individuelles, remontez nous les cas et on interviendra". Il a ajouté : "on ira jusqu’à suspendre ou arrêter le mouvement par respect pour les salariés et les représentants que vous êtes." Nous avons fait pendant cette réunion de négociation une lecture page par page du document que la direction nous avait transmis la veille, la version 4 de leur proposition. Pendant 5 heures durant, l'ensemble des dispositifs de mobilité, de départs volontaires, d'indemnités de la mobilité géographique, etc, ont été rebalayés... Une nouvelle version devrait nous parvenir pour le 3 mai. D'ici là, retrouvez l'ensemble des documents sur nos sites et n'hésitez pas à partager vos commentaires avec nous.

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Olivier D. Les infos CGT SG 15 Avril 2016

Les infos du 06 mai 2016 : Rémunération - PSC - Elections

AU BON BEURRE
Comme chaque année le salaire des patrons défraye la chronique. Le pseudo code Afep Medef sur les rémunérations des dirigeants n'y change rien. La rémunération du patron d'Air France s'est envolée de 65 %. Les 16,7 millions du PDG de Sanofi sont passés en assemblée générale des actionnaires de justesse. Quant à celle de Renault, elle a eu beau voter à 54% contre les 7 millions accordés à Carlos Ghosn, le conseil d’administration s’est empressé de s’asseoir sur cet avis. Le ministre Macron aura beau sortir ses biscotos à l'Assemblée Nationale (pour menacer d'une nouvelle loi), il ne nous fera pas oublier que c'est la loi qui porte son nom qui a outrageusement favorisé la fiscalité des "actions gratuites de performance" dont sont en train de se gaver tous les dirigeants du CAC 40. On est loin de la déclaration lors de l'assemblée des Ambassadors à la SG où un participant prévenait : "Chaque euro dépensé doit être une souffrance". Les plans d'économies se succèdent, de secteurs en secteurs, d'année en année, comme seule stratégie affichée. L'emploi paye un lourd tribut. C'est dans ce contexte que Frédéric Oudéa s’octroie une augmentation de 55,4% d'augmentation de son variable, soit une hausse de 35,4% d'augmentation de salaire. N’est-ce pas lui qui juge les salaires trop élevés en France et impose le gel des négociations salariales depuis de trop nombreuses années ? Hasard du calendrier, la DRH nous a livré les dernières statistiques salariales (fixes et variables, par entité et niveau). Vous pouvez les retrouver sur nos sites intranet et internet.

PSC : NOUVELLES DU FRONT
Tandis que les salariés de Grenoble et de Rouen manifestaient devant leur PSC voué à la fermeture, se tenait la 6ème réunion de négociation. Un 5ème projet d'accord avait été remis aux organisations syndicales préalablement à la réunion. La direction y a précisé le calendrier de mise en œuvre et de présentation des projets au Comité Central d'Entreprise et aux représentants locaux des salariés. La direction a aussi fait une nouvelle proposition d'indemnité forfaitaire de mobilité géographique et l'essentiel des 3 heures de discussion aura porté sur ces mesures financières qui accompagnent les mobilités. Un nouveau texte devrait nous parvenir le lundi 9 mai. "Ce sera le texte définitif" aura prévenu le directeur des relations sociales. Mais chacun sait que pour qu'un texte soit réellement définitif, il faut qu'il soit signé et il semble qu'il reste encore un peu de travail pour que celui ci soit acceptable pour les salariés - même si les garanties fondamentales y sont (pas de licenciement, moyens importants pour accompagner la mobilité, maintien d'activité produit, etc). Une ultime réunion est prévue le 19 mai pour répondre à notre demande d'examiner les conditions du maintien de certaines activités localement et à proximité des DEC. De la réponse dépendra pour beaucoup la signature d'un accord ou la poursuite du mouvement.


TASK FORCE
131 candidats CGT seront au second tour des élections du CE des centraux et des délégués du personnel. Avec ceux déjà présentés au 1er tour, ce sont près de 150 salariés qui se proposent de former une véritable task force à votre service, ouverte et représentative de l'ensemble des salariés. Et les sujets qui s'annoncent vont le nécessiter : projets d'offshoring dans différents secteurs, accélération des plans d'économies.  Les observateurs les plus zélés pourront constater le véritable mercato syndical qui a succédé aux résultats du 1er tour. La valse des étiquettes n'aura jamais atteint ce niveau. La CGT et le SNB qui ont dépassé les 30% aux élections vont donc constituer la seule alternative que les salariés auront à trancher dès le 6 juin.

 

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Olivier D. Les infos CGT SG 15 Avril 2016

Les infos du 13 mai 2016 : PPI, PMAS, Loi travail

TROMPE L’ŒIL

Les belles promesses n’engagent que ceux qui y croient. Ce pourrait être la conclusion temporaire apportée par les notifications concernant la P+i (participation + intéressement). On devait voir ce qu’on allait voir avait prédit Frédéric Oudéa lors du CCE du 18 février. L’absence d’augmentation collective, la suppression du PMAS (augmentation de capital réservée) allaient être largement compensées par le nouvel accord sur la P+i. La « reconnaissance collective » des salariés devait passer par le «variable collectif» et non plus par la négociation collective du fixe… La CGT a donc profité de la présence de Bernardo Sanchez Incera, au CCE le 12 mai, pour lui faire part du mécontentement des salariés quand ils ont pu constater que le montant de la P+i était peu ou prou celui de l’an dernier. C’est bien parce qu’elle n’avait pas cru à ces belles promesses destinées à faire passer les pilules de l’absence de négociation salariale et de l’abandon du PMAS, que la CGT avait, seule, refusé ce marché de dupes. Les notifications fracassent les illusions que la direction avait réussi à faire croire aux organisations signataires de l’accord (CFTC, CFDT, FO et SNB-CGC). En attendant, la CGT a obtenu au cours de cette réunion du CCE que les renégociations de PPI pour le personnel puissent se faire tous les 12 mois (et non tous les 18 mois). Mais les salariés attendent toujours la reconnaissance du travail qui aura permis de faire croître les résultats de 50% à 4 milliards.   

ÇA OSE TOUT

Les enjeux de la loi dite travail sont énormes dans une entreprise comme la nôtre. Depuis le 26 février, où nous titrions nos Infos hebdo « 49-3 social », nous sommes souvent revenus sur le sujet – y compris dans nos mails réguliers – pour appeler à participer aux manifestations et dénoncer les effets négatifs sur chaque salarié de la SG. Il n’y a vraiment plus que Manuel Valls et Myriam El Khomri pour rappeler que cette loi scélérate a le soutien de la CFDT, la CFTC et la CGC. Aucun tract dans l’entreprise pour soutenir la loi… et pour cause ! Les salariés que nous sommes, sont bien placés pour mesurer les effets qu’aurait une telle loi. L’inversion de la hiérarchie des normes (prééminence de l’accord dans une entreprise même s’il est moins favorable que la loi) a un objectif idéologique dont ne se cache plus la plupart des candidats pour 2017 : supprimer les 35H… C'est-à-dire vos RTT. Il aura fallu de longs mois de bataille pour renégocier l’ensemble de notre convention collective et aboutir à une application des 35H qui permette d’avoir un nombre de jours RTT élevé (et un faible nombre de jours RTT employeurs). En 1999, une signature d’accord, même par un syndicat minoritaire permettait d’appliquer un accord… c’est ce que nous avions dû dénoncer auprès des tribunaux, puisque le SNB avait signé seul un accord de branche octroyant 1 petit jour RTT ! L’accord invalidé, il avait fallu renégocier, ce qui avait permis d’avoir l’accord RTT actuel et une convention collective digne de ce nom, signée à 5 syndicats ! Chacun mesure maintenant le terrible retour en arrière que représenterait l’application de la loi El Khomri avec le risque de suppression de tout ou partie des jours RTT … au motif que « c’est ça ou rien », « ça pourrait être pire ». Si la CGT Société Générale a su démontrer depuis longtemps qu'elle savait prendre ses responsabilités dans le cadre du dialogue social, elle ne peut que s’opposer fortement à l'inversion de la hiérarchie des normes réclamée par le MEDEF, défendue par le gouvernement et soutenue par certaines organisations syndicales. Le risque est trop élevé et les salariés feront les frais de cette compromission.  

 

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Olivier D. Les infos CGT SG 15 Avril 2016

Les infos du 8 Avril 2016 : #PANAMAPAPERS - #ONNEVEUTPASDECA

#PANAMAPAPERS

Encore une fois, la Société Générale se retrouve dans l’œil du cyclone médiatique. Ce ne sont pas ses dirigeants, convoqués par le Ministre des Finances, qui sont les principales victimes de ces campagnes mais bien son personnel. La fraude et l'évasion fiscale, que nous dénonçons depuis des années, ne sont pas une découverte. Ce sont les avatars de l'accaparement des richesses mondiales par une caste de privilégiés qui ont toujours cherché à échapper à l'impôt, légalement ou pas. Les multinationales font de même en délocalisant et en installant leurs sièges sociaux dans des paradis fiscaux pas si éloignés, tels que la Suisse, l'Irlande ou le Luxembourg, ou encore les îles Anglo-Normandes, liste noire ou pas liste noire. Les politiques, aussi bien celui qui convoque la Société Générale que le 1er Ministre d'Islande contraint à la démission, savent depuis longtemps que ce blanchiment existe, et s'ils font semblant de s'en offusquer aujourd'hui, ils l'ont laissé prospérer depuis des décennies.  Les banques, et pas seulement la Société Générale, ont elles aussi toutes contribué à ce que ce système global prospère. Pas une seule n'a les mains propres... au prétexte bien sûr que "si ce n'est pas moi qui le fais, un autre le fera", en s'abritant derrière "l'intérêt clientèle" ou en s'exécutant devant les exigences des directeurs financiers des grandes multinationales. Dans celles-ci, cela porte même un nom, ce n'est pas de l'évasion, c'est de "l'optimisation" fiscale. La CGT a depuis longtemps préconisé de prendre des mesures efficaces contre les paradis fiscaux et l'off shoring. Si ces activités n'étaient pas interdites avant 2012, bien que moralement condamnables, et qu'elles n'ont pas perduré après 2012 comme l'affirme Frédéric Oudéa, alors ce n'est que pur buzz médiatique. Buzz dont les salariés sont fatigués, tout autant que du Société Générale bashing, de l'ineffable Jérôme au candidat Président Jean Luc Mélenchon, qui tous trouvent là un opportun moyen de faire parler d'eux. Mais, s'il s'avère qu'il existe des affaires où la SG est mouillée, nous serons en droit de demander des comptes au nom des salariés qui sont chaque jour soumis, avec rigueur et sanctions à la clé, à l'exemplarité exigée par la direction générale ! Nous allons veiller à ce que le personnel ne subisse pas les conséquences de cette nouvelle tourmente, dans laquelle il n'a aucune responsabilité, tout en remarquant que la délocalisation à Bangalore d'une partie des dossiers de KYC ne va pas dans le bon sens de ce point de vue !

#onneveutpasdeça

Au-delà de l’habituel grand écart entre les chiffres de la police et de ceux des organisateurs, les media ont dû se résoudre à admettre que les manifestations contre le projet de loi El Khomri ont gagné en ampleur. Le profond rejet de cette politique va continuer de grandir. Tout le monde comprend bien qu’en rendant les licenciements plus faciles, ce n’est pas l’emploi qui en sortira gagnant. Dans les conditions d’aujourd’hui, nous parvenons tout juste à éviter les licenciements secs dans une banque réalisant plus de 4 milliards de profits en 2015, qu’en serait-il si les requins qui siègent au conseil d’administration recevaient un feu vert du gouvernement ? Au nom de quelle loi devrions nous admettre que les milliers de suppressions d’emplois, les délocalisations, les externalisations sont légitimés par le besoin d’atteindre un ROE de 15% ? Pour justifier les grasses rémunérations des dirigeants, leurs copieuses augmentations et celle des jetons de «présence» de leurs obligés ? Dans les négociations, le patronat chante toujours qu’il ne cèdera pas, jusqu’à la dernière seconde, avant qu’il ne lâche quand il y est contraint. Il faut continuer à maintenir la pression jusqu’à ce que le gouvernement cède : cette loi ne doit pas être votée.

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Les infos CGT SG 8 Avril 2016

Les infos du 26 Février 2016 : Merci Patron, 49.3, Mobilité

MERCI PATRON

Plus de 500.000 signatures sur la pétition contre le projet El Khomri. En moins d’une semaine, c’est un beau succès. Le projet du gouvernement n’a laissé aucun doute aux salariés sur son origine et son objectif : répondre aux injonctions du MEDEF, sur le dos des salariés. Après le Pacte de responsabilité (dont le Premier ministre remettait en cause l’efficacité tout récemment), le CICE, 40 milliards passés des poches des contribuables à celles des entreprises et de leurs actionnaires, la ministre du Travail propose maintenant de dynamiter le code du travail. Il n’y a pas que les indemnités prud’homales qui sont attaquées, et par là même, la mise en œuvre d’un permis de licencier sans cause réelle et sérieuse. Au-delà, c’est toute la base du droit collectif du travail qui est menacée. Le temps de travail, les heures supplémentaires, les astreintes, les licenciements économiques, le repos, tout y passe. Et vous, vous l’avez signée la pétition ?

49.3 SOCIAL

Dans une démocratie, la majorité est fixée à 50% + 1voix... Sauf que ce n’est pas ce qui se passe dans le monde de l’entreprise. En effet, il suffit de la signature d’un ou plusieurs syndicats représentant au moins 30% des voix lors des élections au CE pour qu’un accord d’entreprise devienne applicable. Les organisations représentant la majorité des salariés doivent faire opposition par exemple à un accord salarial vide ou, pire, à un accord sur l’emploi légitimant des pratiques antisociales pour en empêcher l’application. La loi El Khomri en rajoute en permettant aux entreprises de contourner  la loi en matière de RTT et de temps de travail par voie d’accord d’entreprise. Et pour éviter qu’une majorité de syndicats se rebiffe, le projet du gouvernement propose également de contourner l’obstacle par des référendums internes qui pourraient laisser libre court à toutes les dérives (« votez pour, sinon… »). Demander l’avis des salariés n’a rien de choquant, c’est même la base de notre pratique syndicale ! Nous transmettons les projets qui concernent les salariés, afin que ceux-ci puissent influer sur les négociations, participer activement et trancher au final pour ou contre un accord. Dans ce contexte, nous vous invitons donc à réfléchir sur votre propre vote (ou abstention) aux élections des CE : ne donnez pas un chèque en blanc à ceux qui voudraient s’attaquer encore davantage à vos acquis sociaux. La meilleure protection reste encore de voter pour les listes CGT, ou mieux, de se présenter dessus !

MOBILITÉ

En 2013, l’accord emploi à la SG  a détaillé les seules règles écrites dans l’entreprise sur la mobilité. Elles avaient été longuement et âprement discutées. Cette première rédaction aura toutefois permis parfois des interprétations déviantes de la part de la direction dans le réseau. La nouvelle devrait éviter ces dérives. Elle réaffirme notamment qu’une « affectation » ne peut être imposée si elle remet en cause un des éléments de base du contrat de travail : le temps de travail, les horaires, le lieu de travail, la rémunération. Bien sûr, nous savons tous qu’il ne suffit pas d’écrire une loi, aussi précise soit-elle, pour qu’elle soit respectée. Dans l’entreprise, ce sont les délégués du personnel qui sont là pour vous aider lorsque la loi n’est pas appliquée. Notons que le nouvel accord nous préserve des conséquences de ce que serait la mobilité version El Khomri : « un salarié qui refuse un changement dans son contrat peut être licencié »… comme le précédent nous avait protégés des conséquences de l’ANI. Nous avons fermement bataillé pour que ce ne soit pas le cas à la SG !

 

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Olivier D. Les infos CGT SG 26 Février 2016
  1. Les infos du 04 Mars 2016 : Manif 2.0, Task Force, Dinard
  2. Les infos du 11 Mars 2016 : Horizon 2020!, Monsieur 15%
  3. Les infos du 18 Mars 2016 : PSC, GIBS bis repetita
  4. Les infos du 25 Mars 2016 : #onneveutpasdeça - VOX POPULI

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