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Les infos du 12 Juin 2024 : Dialogue de sourd - Le compte n'y est pas (encore) !

Les infos du 12 Juin 2024 : Dialogue de sourd - Le compte n'y est pas (encore) !

DIALOGUE DE SOURD   
Les organisations syndicales ont rencontré lundi le directeur de relations sociales pour une troisième réunion de négociation portant sur le calcul de la rémunération financière des salariés (participation et intéressement, P+i). Nous attendions son retour au sujet de la proposition portée à l’unanimité par l’intersyndicale la semaine dernière. Sa réponse a été claire : il nous a opposé une fin de non-recevoir absolue, martelant une fois de plus que la Société Générale était déjà bien assez généreuse avec ses employés. Vous êtes bien placés pour savoir que ce n’est pas vrai. Néanmoins, nous étions prêts à poursuivre le dialogue avec la direction. Mais pour cela, il faut que les deux parties y soient disposées et, comme l’atteste le mail reçu le 11 après-midi sur nos messageries professionnelles, cette dernière considère qu’il n’y a plus lieu de discuter. La direction se contente donc d’un simulacre de dialogue social, ce qui vous donne une idée de l’estime dans laquelle elle vous tient.

LA FORMULE MAGIQUE ?
Si la formule de base imposée par la direction n’a pas évolué, elle essaie tout de même de faire passer la pilule avec la promesse de «petites rallonges» plus qu’incertaines pour les exercices 2024 et 2025 (versées respectivement en 2025 et 2026). Ces rallonge, pouvant gonfler de 20% puis de 10% l’enveloppe globale, sont conditionnées à l’atteinte de cibles de ROTE bien aléatoires : >6% pour 2024 et indéterminées en 2025 ! Soit un chèque en blanc laissé à une direction assez coutumière des entourloupes… La première des entourloupes, inédite, est celle d’introduire cette notion de ROTE dans le calcul de la P+i. Sommes-nous responsables du pilotage de la direction financière et des engagements pris par la direction générale auprès des marchés ? Le premier risque est que cet objectif ne soit pas atteint (le ROTE était de 4,1% au 1er trimestre). Quelle est la probabilité que les 6% soient atteints en fin d’année ? La direction se garde bien de préciser tous ces éléments dans sa communication. Bref, la formule «lisible et durable» de la semaine dernière est devenue opaque et aléatoire. Autre entourloupe, la promesse d’une «amélioration très significative de la rémunération financière». D’une part, les chiffres globaux pour 2026 agités par la direction pour appâter les organisations syndicales ne reposent que sur des projections optimistes. Ces dernières années nous ont appris à nous en méfier. D’autre part, le montant individuel moyen prévisionnel mis en avant par la direction dans le cadre de son scénario le plus rose ne représenterait au final qu’environ 1,35 mois du salaire moyen en 2023. Si cela représente en effet un net progrès sur cette année de vaches maigres à la SG, cela reste très loin de ce que peuvent espérer nos collègues des autres établissements financiers pour une année normale. La proposition actuelle de la direction est donc un leurre.

Le seul axe de progression valable à nos yeux serait celui de l’augmentation des coefficients multiplicateurs de la formule reprise ci-dessous.
Pour l’heure, pour la CGT, le compte n’y est pas (encore) !  

Mais c’est maintenant à vous de nous dire ce que vous en pensez ! (en cliquant ici) 

Formule de la Direction proposée pour 2024-2026 :
P+i = (0,625% x RBE SG) + (0,837% x REX SG) + (2,682% x DIV) + RSE*

Dans les deux cas, le montant de la contribution de l’indicateur RSE est plafonné à 12 millions d’euros
Coefficient multiplicateur de 1,2 pour l’exercice 2024 en cas de ROTE > 6% et de 1,1 pour l’exercice 2025 en cas de dépassement de l’objectif de ROTE qui sera fixé pour cette année par la direction

 Le fichier PDF 
(Rappel : vous devez vous connecter au site avant de cliquer sur le lien pour avoir accès au fichier PDF)

mooncommission

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Les infos CGT SG 12 Juin 2024
Les infos du 20 Juin 2024 : P+i, l'épilogue ?  - Emploi, le compte n'est pas bon - Il est minuit moins une

Les infos du 20 Juin 2024 : P+i, l'épilogue ? - Emploi, le compte n'est pas bon - Il est minuit moins une

EPILOGUE ?
Le secret est bien gardé (pour l’instant) pour savoir qui des syndicats acceptent – ou pas – le projet d’accord «participation intéressement»(P+i) pour 2025 – 2028. La consultation des salariés lancée par la CGT a 2 caractéristiques cette fois-ci : très peu de réponses, mais les collègues qui ont répondu (et expliqué leur motivation) nous ont demandé de ne pas signer et de tenir bon sur notre contre-proposition (cf nos infos du 12 juin). En attendant, la direction nous a fait parvenir une invitation sous forme de «créneau prévisionnel pour la signature des accords» avec la DRH Groupe le lundi 24 juin matin. A suivre, donc.

LE COMPTE N’EST PAS BON ?
Il va falloir attendre aussi un peu pour avoir de la visibilité sur les postes qui subsisteront après le plan actuel dans les services centraux parisiens. En effet, la CGT a demandé des explications à la direction car il semblerait que des consignes de HRCO aient été données avant le plan pour «nettoyer tous les postes vacants». Ce qui a pour conséquence, d’une part, d’avoir un nombre de suppressions de postes dans le cadre officiel du plan plus proche de la réalité (et donc moins de fermetures précipitées des compteurs), mais a contrario, un nombre beaucoup plus important de suppressions de postes au final. Des suppressions de postes (budgétaires) hors plan, donc moins chères, qui auront des conséquences plus ou moins importantes sur la charge de travail des collègues qui seront encore dans les activités concernées à partir de septembre. Bien sûr, ce chiffrage n’a pas été non plus donné au cabinet indépendant (Secafi) missionné par le CSE sur ce plan de réorganisations, qui, nous le rappelons sera le plus massif en termes de suppressions de postes et le plus rapide : une blitzkrieg en terme guerrier. Bref, nous attendons avec impatience les éclaircissements nécessaires et l’ampleur du sujet.

IL EST MINUIT MOINS UNE
«Ce qu’il y a de bien avec le MEDEF (le syndicat des patrons – NDLR), c’est qu’on est jamais déçu !». «Il n’a jamais été ni courageux, ni réformiste». «Quel regard porte-t’il sur le bilan du gouvernement actuel à l’origine de 1000 milliards de dettes publiques supplémentaires, un déficit budgétaire hors de contrôle et les mesures antisociales qui ont été prises ?». Cette charge ne vient pas des rangs de la CGT mais de Matthieu Pigasse (banquier d’affaire et patron de presse) suite aux multiples prises de position du MEDEF contre le Nouveau Front Populaire. Pour M. Pigasse, il s’agit lors de ces élections d’«un choix de société et de valeurs» et il appelle clairement à voter pour les listes du Nouveau Front Populaire en expliquant que «les inégalités sont une bombe au cœur de notre société car elles sont inexplicables et injustifiables». Le MEDEF oublie sa lourde part de responsabilité dans le contexte actuel. Après avoir mené et contribué à une politique de destruction de notre modèle social (via les ordonnances Macron, la démolition du code du travail, les réformes de l’assurance chômage et celle de la retraite, l’austérité dans un contexte d’inflation, etc), il est hallucinant de vouloir se placer en juge, au-dessus des parties et de distribuer les bons points. De son côté, la CGT a rappelé qu’elle était indépendante, mais pas neutre. Elle a clairement pris position face au danger que représente l’extrême droite au pouvoir pour les droits, notamment pour les salariés. Et nous appelons les collègues à nous rejoindre. L’apolitisme revendiqué par certains est souvent un cheval de Troie de l’extrême droite. C’est aussi dans ce contexte que la direction nous a écrit pour «nous sensibiliser sur la posture que doivent avoir nos communications» et espérer que «l’entreprise demeure un lieu exempt de prise de positions clivantes». La démocratie ne s’arrête pourtant pas aux portes de l’entreprise. C’est une vieille chimère du patronat français, qui n’a majoritairement pas brillé par ses choix durant les heures les plus sombres de notre Histoire. Alors que le Front populaire ouvrait la voix au progrès social, aux congés payés et que le CNR créait ensuite la sécurité sociale dans un pays ruiné par la guerre. Ce n’est pas clivant. C’est l’Histoire.

 

 Le fichier PDF 
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moondissolution

Les infos CGT SG 12 Juin 2024
Les infos du 26 Juin 2024 : P+i, l'épilogue - Le compte n'est toujours pas là - Approche sectaire

Les infos du 26 Juin 2024 : P+i, l'épilogue - Le compte n'est toujours pas là - Approche sectaire

L’EPILOGUE
Il y avait finalement très peu de monde autour de la table et de la DRH Groupe lundi matin lors la réunion de signature des projets d’accord P+i (intéressement – participation). Si d’emblée le directeur des affaires sociales a précisé qu’il avait obtenu 3 signatures, ce fut pour la CGT l’occasion d’expliquer – à nouveau – pourquoi nous pensions, comme les salariés consultés qui nous ont répondu à 97,77%, que le compte n’y était pas !

LE COMPTE N’EST PAS BON !
Nous avons motivé notre refus de signer la proposition de la direction, qui n’améliore en rien la formule précédente, celle-là même qui a conduit à des montants ridicules cette année. La notification de la P+i versée en 2024 a été vécue comme une véritable provocation par les salariés car, même si pour certains, elle était boostée par le pacte faustien (« plus on fermait d’agences bancaires durant la période », plus les salariés s’approchaient du supplément d’intéressement lié au projet), pour tout le monde le niveau de participation a flirté entre le prix d’un petit kebab et celui d’une bonne pizza. Cette négociation était donc l’occasion de combler pour les 3 prochaines années le fossé qui existe entre la P+i versée à la SG et celui de nos principaux concurrents. Nous n’allons par reprendre à notre compte le fait que la direction aurait maintenu les variables (à la tête du client) en 2024 et encore moins celui qu’on peut espérer toucher plus, au motif que le nombre de départs et de suppressions de postes va augmenter et que les survivants seront moins nombreux à se partager un gâteau qui n’aura pas grossi …. Nous avons regretté que notre proposition de booster la formule en améliorant les coefficients multiplicateurs soit assujettie à la promesse de rentabilité faite au marché (> ROTE 6%). D’autant que le palier est brutal si la trajectoire de ROTE n’est pas au rendez-vous : la promesse passe de 20% à zéro. Enfin, ce n’est pas nous – non plus – qui reprendrons à notre compte les arguties de la direction sur la confiance dans la capacité des salariés d’atteindre ces 6%. Cela fait peser sur eux la triple peine : non seulement ils touchent des clopinettes en 2024 (et avant) à cause des erreurs stratégiques de la direction, mais en plus s’ils n’obtiennent pas mieux durant les 3 prochaines années, la responsabilité pèsera sur eux. Ce n’est pas ainsi que nous pensons « préserver les intérêts des salariés ». Il nous semblait, a contrario, que c’était le moment d’exiger, tous syndicats confondus, le supplément d’intéressement que nous aurions mérité en 2024 et de peser ensemble pour que la formule magique retenue pour la P+i soit enfin digne de ce nom à la SG. Il reste à espérer que l’avenir nous donne tort…

RESPONSABILITÉS INVERSÉES
En termes de stress aussi, la direction sait parfaitement inverser la responsabilité. Alors que la direction est (pénalement) responsable de la santé mentale et physique des salariés qu’elle embauche, il y a toujours une petite musique pour insinuer que cette responsabilité est à nuancer et doit aussi être l’affaire des principaux concernés … voire des principales victimes. La méthode TIPI, déployée à la SG depuis plusieurs années, fait partie des approches sectaires recensées par la Miviludes dans son «Guide santé et dérives sectaires ».  En gros, si vous êtes mal à l’aise dans votre vie, ce n’est pas à cause de votre environnement mais d’un conflit intérieur non résolu ou d’un événement non résolu. Vous comprendrez bien les impacts d’une telle approche dans l’environnement professionnel actuel et la raison pour laquelle cette méthode mérite d’être questionnée. La direction n’a, au minimum, pas été très curieuse quand elle a laissé cette méthode se développer. Espérons que ses juristes, si prompts à couvrir leurs arrières, ont fait leur travail en la matière. Sinon, ils ont mis la SG en risque... et les salariés avec.    

 

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Les infos CGT SG 12 Juin 2024
Les infos du 6 Septembre 2024 : L'affront républicain - Aucune résignation - Sans sommation

Les infos du 6 Septembre 2024 : L'affront républicain - Aucune résignation - Sans sommation

L’AFFRONT RÉPUBLICAIN
65% des français ont massivement exprimé leur choix politique le 30 juin dernier, suite à la dissolution de l’assemblée nationale décidée par E. Macron. Les électeurs ont alors confirmé le rejet massif de la politique menée par le président et son gouvernement lors des élections européennes (avec un résultat à 7%). Le 7 juillet, 63% d’entre eux se mobilisaient encore et allaient voter pour écarter - via le front républicain – l’accession programmée au pouvoir de l’extrême droite. Ce faisant, les électeurs plaçaient en tête la force politique (le NFP) qui répondait aux urgences principales auxquelles sont confrontés les français : pouvoir d’achat – retraite – emploi. Il aura fallu 50 jours pour que le président nomme un premier ministre, issu de la force politique arrivée en dernière position aux élections législatives et aux antipodes des urgences définies par les électeurs dans les urnes. Avec la désignation d’un premier ministre adoubé par le rassemblement national, E. Macron est passé du front républicain à l’affront national.

AUCUNE RÉSIGNATION
Face à ce coup de force et au déni démocratique, les urgences sociales ne vont pas se dissoudre et disparaître. Les votes à l’assemblée nationale vont repositionner ces questions à l’ensemble des députés. L’emblématique et déterminante question sur la réforme des retraites va rapidement clarifier les positionnements de l’ensemble des forces élues depuis plus de deux mois. En attendant, des manifestations sont prévues un peu partout le 7 septembre. Ce sera une première occasion pour ceux qui n’ont pas l’intention de se laisser voler leur vote de l’exprimer. La CGT avait préalablement proposé de manifester aussi le 1er Octobre, date de l’ouverture des débats sur la loi de finances 2025 à l’assemblée nationale.

SANS SOMMATION
La «gestion des affaires courantes» en plein été s’est aussi illustrée à la SG par la dénonciation de l’accord sur la «CPRI», commission paritaire de recours interne dans le cadre de licenciement disciplinaire. Sans sommation, ni motivation affichée, nous avons reçu de la direction, le 24 juillet, un courrier AR nous informant de la volonté de mettre fin à cette commission paritaire interne. Nous avons pris contact avec l’ensemble des autres organisations syndicales pour exiger ensemble de la direction qu’elle renonce à cette dénonciation. En attendant cette démarche commune, nous sommes allés plaider pour l’abandon de cette très mauvaise idée. Aux motivations plus ou moins affichées par la direction, nous pouvons ajouter : la suppression de la possibilité d’enquête interne par les représentants du personnel, la disparition de la vertu préventive d’une telle commission de recours (son existence était un frein pour certaines décisions totalement arbitraires, tout comme la possibilité d’enquête et un avis de ses pairs – qui connaissent et maîtrisent l’environnement professionnel - pour les salariés concernés). Au final, la mauvaise foi de la direction est totale (puisqu’elle est seule responsable du fait que la CPRI soit une chambre d’enregistrement, dans la mesure où, par exemple, même en cas d’avis unanime des délégations patronales et syndicales, elle s’asseyait sur cet avis !). Il faut noter que c’est aussi la suite logique de la mise en œuvre des barèmes Macron, qui donnent aux directions d’entreprises des droits de vie ou de mort (professionnels) en toute impunité … ou presque.

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 moondissolution

Les infos CGT SG 12 Juin 2024
Les infos du 5 Avril 2024 : Participation, intéressement ... communication

Les infos du 5 Avril 2024 : Participation, intéressement ... communication

NOYER LE POISSON
Vous avez tous reçu le 28 mars dernier une communication de la DRH annonçant le montant de la participation et de l’intéressement (P+i) au titre de l’année 2023. Montant d’autant plus en chute libre par rapport à l’année précédente que cette communication se garde bien de le comparer au montant total touché par les salariés de Société Générale et de Crédit du Nord l’année précédente. Le montant global chute à 113 millions d’euros, malgré un coefficient multiplicateur de 1,2 censé compenser l’augmentation des effectifs liée à la fusion avec le CdN. Mais la direction le compare au seul montant de 153 millions correspondant au périmètre historique SGPM sans prendre en compte les 60 millions distribués par les différentes banques du CdN en 2023. Votre P+i s’effondre donc de près de 50% d’une année sur l’’autre. 

L’ÉPREUVE ÉLIMINATOIRE
La réaction de la direction est donc d’essayer de masquer autant que possible cette réalité, n’hésitant pas à y mêler la «prime d’intéressement de projet» de 1000 euros qui sera versée aux seuls salariés concernés directement par la réalisation des objectifs de Vision 2025 (pour un budget de 27 millions d’euros). Cela n’a pourtant rien à voir et ne saurait nous faire oublier que les montants de la P+i distribués par Société Générale sont très sensiblement inférieurs à ceux distribués par les autres établissements financiers. Chez ces derniers les montant individuels se comptent en mois de salaire. A la SG, ce sera en semaine : 1,5 cette année, soit 3% de votre RAGB en moyenne. Après une NAO a minima, des variables en baisse et des augmentations individuelles réduites à la portion congrue, cela fait beaucoup de signaux négatifs pour votre pouvoir d’achat. 

LES CAUSES
Ces signaux sont d’autant plus négatifs que nous payons les erreurs commises par la direction. Si les résultats servant de base au calcul de la P+i sont en berne, c’est aussi à cause des erreurs stratégiques qui pèsent sur les comptes : 1,6 milliard d’euros de pertes provoquées par des couvertures de taux mal pensées, 617 millions de coût d’intégration de LeasePlan, 730 millions de charges de transformation… Pas étonnant qu’il ne reste plus rien pour les salariés ! Il n’y a même plus les suppléments d’intéressement d’une quarantaine de millions qui, pour des années comme 2017 et 2018, permettaient d’amortir le choc. Seuls les mandataires sociaux (DG et DGD) ne seront guère affectés financièrement s’il faut en croire les documents préparatoires à l’Assemblée Générale des actionnaires. 

LA SOLUTION
Les négociations pour un nouvel accord P+i commenceront le 21 mai prochain. La CGT avait seule refusé de signer celui actuellement en vigueur en soulignant que ce que proposait la direction était un marché de dupes et les faits lui ont malheureusement donné raison. Ce constat a été repris par l’ensemble des organisations syndicales lors de la réunion de ce 4 avril et cette unanimité s’est retrouvée pour demander à ce que cette négociation à venir débouche enfin sur un accord à la hauteur des attentes et de l’engagement de tous les salariés. Rendez-vous donc le 21 mai pour passer des paroles aux actes !

 Le fichier PDF Moon   
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 moonpigeon

Les infos CGT SG 5 Avril 2024
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  4. Les infos du 7 Février 2024 : Ballons d'essai - Précipitation - négociations - Challengeons ensemble !

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